Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une superbe docufiction aux accents mélo de Rainer Frimmell et Tizza Covi.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Malgré l’économie de son dispositif, le film parvient à se déployer peu à peu pour embrasser, au-delà du portrait de Vera, celui, saillant mais toujours très sensible, de l’Italie contemporaine sur fond de lutte des classes, des petites tromperies et faiblesses de chacun·e.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Ce docufiction sensible offre à la fille de Giuliano Gemma, star de westerns spaghetti dans les années 60, l’occasion de s’affranchir de la célébrité paternelle pour se révéler dans toute son humanité, loin de son image de bimbo superficielle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Si La Pivellina (2009) et Mister Universo (2016) exploraient les coulisses de cirques de petite taille, Vera a ceci de troublant que la fille de star cabossée renvoie au couple de réalisateurs le miroir déformant de leur art.
L'Obs
par F. F.
Solitude, destin, sentiment d’une vie éphémère : un cocktail doux-amer, étonnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par J. Ma.
Le métier d’acteur et le passage du temps étant ce qu’ils sont, la voici aujourd’hui, démunie devant la caméra de l’Italienne Tizza Covi et de l’Autrichien Rainer Frimmel, et transplantée dans une ordalie pasolinienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
À mi-chemin entre fiction et réalité – Vera est véritablement la fille de Giuliano Gemma, ce film, qui mêle personnages réels et inventés, dresse le portrait d’une fille d’actrice assez inquiétante au départ, émouvante ensuite, et finalement tragique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce petit film à la lisière entre fiction et documentaire vaut surtout par le portrait étonnant de son interprète, Vera Gemma, malmenée par une société par rapport elle est toujours un peu en marge, et à qui la caméra du duo Tizzia Covi / Rainer Frimmel rend enfin justice.
Télérama
par Jérémie Couston
Vera Gemma, authentique dans son propre rôle, nous émeut.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par Thierry Cheze
Vera Gemma y crève l'écran, même si les deux cinéastes peinent à embrasser sa personnalité hors normes et la réduisent à des clichés.
Première
par Thierry Chèze
Car l’intrigue qu’ils développent (sa relation avec un gamin de 8 ans et son père, arnaqueur à la petite semaine) vient parasiter le portrait, lui, attachant, de cette femme qui, depuis toujours, peine à se faire un prénom et à exister pour ce qu’elle est.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Une superbe docufiction aux accents mélo de Rainer Frimmell et Tizza Covi.
Les Inrockuptibles
Malgré l’économie de son dispositif, le film parvient à se déployer peu à peu pour embrasser, au-delà du portrait de Vera, celui, saillant mais toujours très sensible, de l’Italie contemporaine sur fond de lutte des classes, des petites tromperies et faiblesses de chacun·e.
Libération
Ce docufiction sensible offre à la fille de Giuliano Gemma, star de westerns spaghetti dans les années 60, l’occasion de s’affranchir de la célébrité paternelle pour se révéler dans toute son humanité, loin de son image de bimbo superficielle.
Cahiers du Cinéma
Si La Pivellina (2009) et Mister Universo (2016) exploraient les coulisses de cirques de petite taille, Vera a ceci de troublant que la fille de star cabossée renvoie au couple de réalisateurs le miroir déformant de leur art.
L'Obs
Solitude, destin, sentiment d’une vie éphémère : un cocktail doux-amer, étonnant.
Le Monde
Le métier d’acteur et le passage du temps étant ce qu’ils sont, la voici aujourd’hui, démunie devant la caméra de l’Italienne Tizza Covi et de l’Autrichien Rainer Frimmel, et transplantée dans une ordalie pasolinienne.
Le Parisien
À mi-chemin entre fiction et réalité – Vera est véritablement la fille de Giuliano Gemma, ce film, qui mêle personnages réels et inventés, dresse le portrait d’une fille d’actrice assez inquiétante au départ, émouvante ensuite, et finalement tragique.
Les Fiches du Cinéma
Ce petit film à la lisière entre fiction et documentaire vaut surtout par le portrait étonnant de son interprète, Vera Gemma, malmenée par une société par rapport elle est toujours un peu en marge, et à qui la caméra du duo Tizzia Covi / Rainer Frimmel rend enfin justice.
Télérama
Vera Gemma, authentique dans son propre rôle, nous émeut.
Ouest France
Vera Gemma y crève l'écran, même si les deux cinéastes peinent à embrasser sa personnalité hors normes et la réduisent à des clichés.
Première
Car l’intrigue qu’ils développent (sa relation avec un gamin de 8 ans et son père, arnaqueur à la petite semaine) vient parasiter le portrait, lui, attachant, de cette femme qui, depuis toujours, peine à se faire un prénom et à exister pour ce qu’elle est.