Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
À bien des égards, Anhell69 répond aux préceptes baziniens sur les arts plastiques comme actes d’embaumement, capables "d’exorciser le temps" et de sauver "d’une seconde mort spirituelle".
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Premier film d’un jeune cinéaste, Anhell69 est tout du long hanté par la mort. En narrateur revenu des enfers, Theo Montoya nous donne à voir son propre corps trimballé par un corbillard à travers Medellín, dérive nocturne prétexte au portrait d’un groupe de jeunes hommes queer.
Critikat.com
par Robin Vaz
Theo Montoya s’empare des moyens du cinéma pour faire émerger une mémoire et une culture commune de la négation même de leur existence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Theo Montoya fourmille d’idées dans ce film-essai brillant, entre le documentaire militant et le traité de poésie géographique, et nous donne à voir un Medellín alternatif, monde lazaréen où la mort et sa conjuration circulent pour ne former qu’une communauté unie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Le premier long de Theo Montoya est un sublime essai hybride sur la jeunesse queer de la métropole colombienne. La mort de l’un de ses acteurs avant le tournage en a fait un manifeste endeuillé et vital.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Cl.F.
Le jeune réalisateur d’Anhell69, Theo Montoya, s’est glissé dans le cercueil à l’arrière, yeux clos dans la lumière tamisée. Pendant plus d’une heure, sa voix off nous raconte le dispositif de cette œuvre hybride, mi-documentaire, mi-surréelle, habitée par des fantômes aux yeux rougis.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Chloé Caye
Anhell69 est un objet formellement décadent et hybride, constamment à cheval entre réalité et fiction.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un documentaire percutant sur un projet de tournage interrompu, à la fois journal intime et portrait poético-réaliste d’une jeunesse meurtrie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Mad Movies
par S.A.
Une superficialité esthétique clipesque, dopée à Instagram, qui n'a d'égal que l'inconsistance politique du propos des interviewés : rêves de richesse, célébrité et stupéfiants.
Les Inrockuptibles
À bien des égards, Anhell69 répond aux préceptes baziniens sur les arts plastiques comme actes d’embaumement, capables "d’exorciser le temps" et de sauver "d’une seconde mort spirituelle".
Cahiers du Cinéma
Premier film d’un jeune cinéaste, Anhell69 est tout du long hanté par la mort. En narrateur revenu des enfers, Theo Montoya nous donne à voir son propre corps trimballé par un corbillard à travers Medellín, dérive nocturne prétexte au portrait d’un groupe de jeunes hommes queer.
Critikat.com
Theo Montoya s’empare des moyens du cinéma pour faire émerger une mémoire et une culture commune de la négation même de leur existence.
Les Fiches du Cinéma
Theo Montoya fourmille d’idées dans ce film-essai brillant, entre le documentaire militant et le traité de poésie géographique, et nous donne à voir un Medellín alternatif, monde lazaréen où la mort et sa conjuration circulent pour ne former qu’une communauté unie.
Libération
Le premier long de Theo Montoya est un sublime essai hybride sur la jeunesse queer de la métropole colombienne. La mort de l’un de ses acteurs avant le tournage en a fait un manifeste endeuillé et vital.
Le Monde
Le jeune réalisateur d’Anhell69, Theo Montoya, s’est glissé dans le cercueil à l’arrière, yeux clos dans la lumière tamisée. Pendant plus d’une heure, sa voix off nous raconte le dispositif de cette œuvre hybride, mi-documentaire, mi-surréelle, habitée par des fantômes aux yeux rougis.
Positif
Anhell69 est un objet formellement décadent et hybride, constamment à cheval entre réalité et fiction.
aVoir-aLire.com
Un documentaire percutant sur un projet de tournage interrompu, à la fois journal intime et portrait poético-réaliste d’une jeunesse meurtrie.
Mad Movies
Une superficialité esthétique clipesque, dopée à Instagram, qui n'a d'égal que l'inconsistance politique du propos des interviewés : rêves de richesse, célébrité et stupéfiants.