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Votre avis sur Flo ?
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Les voiles s'élancent, la mer gronde sur la coque du trimaran dirigée par Stéphane Caillard...Le film parcourt le récit d'une femme libre, forte et hurleuse de vie. Elle prend ses contours LA marin, fallait-il qu'une femme s'impose, vogue fièrement et, qu'à nous, soit possible de le voir. Un grand film qui rend honneur à la navigatrice, l'amante, l'humain...libre ! Une polémique sans sens...la vie ça passe sur des vagues ; elle, Florence, nous montre qu'on les terrasse avec la rage de vivre ! Faut-il juste le voir ce film pour s'en rendre compte..."vivre d'orgie" ou d'ivresse de vivre ! Bravo !
Film très émouvant
Musique au top et bon jeu d acteurs
On ressort décoiffés du film
A voir et à revoir
Musique au top et bon jeu d acteurs
On ressort décoiffés du film
A voir et à revoir
Un film aussi épris de liberté que son personnage principal, une Florence Arthaud sans doute un peu fantasmée mais tellement magnétique, incarnée par une comédienne transfigurée.
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2023/11/flo-de-geraldine-danon-energisant-et.html
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2023/11/flo-de-geraldine-danon-energisant-et.html
très bon film. Très bon jeu de l actrice. les autres comédiens sont bons. un vent de fraîcheur et se souvenir de Florence ne fait pas de mal.
Une femme de caractère,de passions, ivre de liberté, courageuse et douée, très bien incarnée par une comédienne ravissante et expressive de visage et de corps pour un film qui donne à la mer sa place sauvage et désirable. Une ode à la femme quand elle ose être elle même contre vents et marées !!
Un grand film sur la liberté magnifiquement interprété et réalisé - à voir au cinéma! Les scènes qui se déroulent sur l'eau sont somptueuses et la musique du film nous emmène. Je suis surpris de certaines critiques, l'ensemble des spectateurs de notre séance sont sortis conquis
Le scénario est confus par moments si on ne connait pas toute la bio de Florence Arthaud. L'agent est trop mois sur sa personnalité plus ou moins fantasmée. Certains moments sont inutiles et indescents comme les scènes intimes, on s'attend plus à voir son extraordinaire carrière professionnelle. Heureusement qu'il y les les très belles scènes de mer et une très bonne comédienne.
Il y avait beaucoup d’attentes pour ce biopic sur l’une des navigatrices les plus célèbres au monde, si ce n’est la plus célèbre : on parle bien sûr de Florence Arthaud, décédée tragiquement sur le tournage d’une émission en 2015. D’abord, il s’agit d’un premier film, ensuite le rôle principal est tenu par une tête d’affiche quasiment inconnue au bataillon, puis le film a été présenté à Cannes hors compétition et enfin il souffle un vent de polémique autour de cette transposition de la vie de la navigatrice qui ne serait pas présentée sous un jour flatteur selon la famille.
Et malheureusement, lesdites attentes ne seront majoritairement pas tenues, ce « Flo » rentrant dans la droite lignée de pas mal de biopics du genre à la française, de « Dalida » à « L’Odyssée » (pour Cousteau) en passant par « Coluche, l’histoire d’un mec » : illustratifs et programmatiques sans être jamais renversants. Sauf que celui-ci est peut-être encore moins réussi car il ne peut compter sur la musique ou les chansons comme le biopic musical, d’incroyables scènes sous-marines ou encore la gouaille et l’aura de la personnalité. Bref, on est loin de la maestria de « La Môme » devant ce film longuet, répétitif et qui ne fait pas ressortir l’essence la plus intéressante de la vie de la navigatrice. Quant aux images de la mer et bien elles sont bien tristounettes et similaires, le film ne capitalisant que très mal visuellement sur la passion de son personnage principal.
Répétitif et lassant seront les termes qui nous viendront le plus à l’esprit plus les (més)aventures de Florence Arthaud (et le film) avancent. Car le choix du script est d’alterner paresseusement scène de navigation qui tombent un peu comme un cheveu sur la soupe et scène de beuverie qui finissent par devenir fatigantes. Dans les deux cas, il y en a de trop et ce montage alterné comme cette redondance sur plus de deux heures finissent par désintéresser. Qui plus est, « Flo » peine à se conclure et s’avère donc à la limite de l’ennui poli. On sent poindre par instant un souffle épique nécessaire à telle trajectoire hors du commun, une petite bourrasque d’énergie qui tend à pointer le bout de son nez... Mais, las, cela ne vient jamais vraiment et le premier long-métrage de Géraldine Danon rentre assez vite dans le rang et n’ose jamais rien d’autre que du très consensuel.
En somme, le film est commun à la plupart des biopics filmés, prévisible et programmatique et sans aucune trace de velléités innovantes sur la forme. Mais, et il y a un gros mais : « Flo » nous révèle Stéphane Caillard. Et c’est peu dire que son énergie (qui ne se diffuse malheureusement pas dans tout le film), son charme et sa pétulance, forcent le respect et l’admiration. Elle campe une Florence Arthaud convaincante autant dans sa détermination que dans ses failles et parvient même à nous émouvoir et nous sortir de notre torpeur le temps d’une scène. En plus d’un constat plutôt probant sur ce monde d’hommes, encore plus à l’époque, ce sont les deux seules raisons de se farcir ce biopic générique et manquant de souffle.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Et malheureusement, lesdites attentes ne seront majoritairement pas tenues, ce « Flo » rentrant dans la droite lignée de pas mal de biopics du genre à la française, de « Dalida » à « L’Odyssée » (pour Cousteau) en passant par « Coluche, l’histoire d’un mec » : illustratifs et programmatiques sans être jamais renversants. Sauf que celui-ci est peut-être encore moins réussi car il ne peut compter sur la musique ou les chansons comme le biopic musical, d’incroyables scènes sous-marines ou encore la gouaille et l’aura de la personnalité. Bref, on est loin de la maestria de « La Môme » devant ce film longuet, répétitif et qui ne fait pas ressortir l’essence la plus intéressante de la vie de la navigatrice. Quant aux images de la mer et bien elles sont bien tristounettes et similaires, le film ne capitalisant que très mal visuellement sur la passion de son personnage principal.
Répétitif et lassant seront les termes qui nous viendront le plus à l’esprit plus les (més)aventures de Florence Arthaud (et le film) avancent. Car le choix du script est d’alterner paresseusement scène de navigation qui tombent un peu comme un cheveu sur la soupe et scène de beuverie qui finissent par devenir fatigantes. Dans les deux cas, il y en a de trop et ce montage alterné comme cette redondance sur plus de deux heures finissent par désintéresser. Qui plus est, « Flo » peine à se conclure et s’avère donc à la limite de l’ennui poli. On sent poindre par instant un souffle épique nécessaire à telle trajectoire hors du commun, une petite bourrasque d’énergie qui tend à pointer le bout de son nez... Mais, las, cela ne vient jamais vraiment et le premier long-métrage de Géraldine Danon rentre assez vite dans le rang et n’ose jamais rien d’autre que du très consensuel.
En somme, le film est commun à la plupart des biopics filmés, prévisible et programmatique et sans aucune trace de velléités innovantes sur la forme. Mais, et il y a un gros mais : « Flo » nous révèle Stéphane Caillard. Et c’est peu dire que son énergie (qui ne se diffuse malheureusement pas dans tout le film), son charme et sa pétulance, forcent le respect et l’admiration. Elle campe une Florence Arthaud convaincante autant dans sa détermination que dans ses failles et parvient même à nous émouvoir et nous sortir de notre torpeur le temps d’une scène. En plus d’un constat plutôt probant sur ce monde d’hommes, encore plus à l’époque, ce sont les deux seules raisons de se farcir ce biopic générique et manquant de souffle.
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Un joli film qui nous permet de retrouver une femme libre et courageuse, interprété par une actrice solaire
Je connaissais son nom et maintenant j'en ai une image beaucoup plus affinée .Le film nous trace l'image d'une femme éprise de liberté , de mer ... Avec un caractère fougueux , déterminé, rebel et festif qui ne laisse pas indifférent .
La première moitié du film, qui dessine la personnalité de Flo m'a paru un peu long avant que commence vraiment sa conquête de la route du Rhum. De beaux moments en mer , de belles prises de vue. Dommage que les relations entre Skippers, navigateurs se résument a les scènes festives et de sexe ... J'attendais a plus ressentir cette ambiance de grande course ... Qu'on ne ressent qu'à la fin lors de sa victoire sur la route du rhum . Un film qui ne laisse pas indifférent sur une femme déterminée mais à la vie cahotique et entachée de drames.
La première moitié du film, qui dessine la personnalité de Flo m'a paru un peu long avant que commence vraiment sa conquête de la route du Rhum. De beaux moments en mer , de belles prises de vue. Dommage que les relations entre Skippers, navigateurs se résument a les scènes festives et de sexe ... J'attendais a plus ressentir cette ambiance de grande course ... Qu'on ne ressent qu'à la fin lors de sa victoire sur la route du rhum . Un film qui ne laisse pas indifférent sur une femme déterminée mais à la vie cahotique et entachée de drames.
Trop de sexe et peu de bateau… dommage. Entre les scènes de sexe et les atermoiements de « Flo », on aurait pu attendre un peu plus de mer et de défis. Pas adapter à des jeunes ados.
Toute femme dans un univers virile qui perce traverse les difficultés de Florence , on s y reconnaît . Trahison amoureuse , destin tragique ; allez y et rêvez , de cette liberté et indépendance totale . Magnifique
Quel beau film ! Le budget est là, et on en a plein la vue. Les costumes des années 60 sont soignés. La voiture a un accident avec des tonneaux vertigineux qui ne sont pas ceux d'une petite maquette pour un téléfilm. Les bateaux sont de vrais navires de course. Ils sont filmés sous plusieurs angles, sous plusieurs climats et latitude, avec en prime, des cieux étoilés scintillants que seuls connaissent les navigateurs au long cours.
Les rebondissements ne manquent pas. La réalisatrice a sans doute souhaité que le spectateur comprenne que sa vie ressemble à celle du marin, parce qu'il est confronté à des vagues, qui tantôt l'élèvent, et tantôt l'abaissent. La plus grande et la plus réussie de ces ondulations est la régate de la Route du rhum, magnifiquement filmée, et très intelligemment découpée et assemblée au montage.
La musique est la meilleure. Les violons prolongent la note quand il faut retenir son souffle. Ils accélèrent quand Florence court. Ils pleurent quand elle est triste. Et la chanteuse Janis Joplin vient apporter sa voix rocailleuse pour donner un surcroit d'émotions.
Il a été reproché des atteintes à la pudeur. C'est vrai que les deux ou trois scènes de califourchon n'étaient pas nécessaires. Les deux ou trois scènes de monokini rappellent que c'était la mode autrefois. Elles peuvent faire croire que l'on a chaud sur l'eau, alors qu'on s'y pèle de froid, à cause de l'humidité et du manque de sommeil quand on fait de la compétition. Les autres reproches, sur le fait qu'elle ne conduisait pas lors de l'accident, et qu'elle n'a pas eu de liaison amoureuse avec Kersauson, ne m'ont pas gêné. Par contre, j'aurais aimé que la mère n'ait pas l'accent parisien ni l'attitude soumise qu'elle a dans le film, car en réalité, elle était une femme du Maghreb pleine de fougue, qui fut la source de l'énergie de sa fille. J'aurais aimé aussi que la comédienne fut un peu plus hautaine, comme l'était Florence.
Les rebondissements ne manquent pas. La réalisatrice a sans doute souhaité que le spectateur comprenne que sa vie ressemble à celle du marin, parce qu'il est confronté à des vagues, qui tantôt l'élèvent, et tantôt l'abaissent. La plus grande et la plus réussie de ces ondulations est la régate de la Route du rhum, magnifiquement filmée, et très intelligemment découpée et assemblée au montage.
La musique est la meilleure. Les violons prolongent la note quand il faut retenir son souffle. Ils accélèrent quand Florence court. Ils pleurent quand elle est triste. Et la chanteuse Janis Joplin vient apporter sa voix rocailleuse pour donner un surcroit d'émotions.
Il a été reproché des atteintes à la pudeur. C'est vrai que les deux ou trois scènes de califourchon n'étaient pas nécessaires. Les deux ou trois scènes de monokini rappellent que c'était la mode autrefois. Elles peuvent faire croire que l'on a chaud sur l'eau, alors qu'on s'y pèle de froid, à cause de l'humidité et du manque de sommeil quand on fait de la compétition. Les autres reproches, sur le fait qu'elle ne conduisait pas lors de l'accident, et qu'elle n'a pas eu de liaison amoureuse avec Kersauson, ne m'ont pas gêné. Par contre, j'aurais aimé que la mère n'ait pas l'accent parisien ni l'attitude soumise qu'elle a dans le film, car en réalité, elle était une femme du Maghreb pleine de fougue, qui fut la source de l'énergie de sa fille. J'aurais aimé aussi que la comédienne fut un peu plus hautaine, comme l'était Florence.
Très beau film qui retrace bien la vie de cette navigatrice d'exception. Belle image et belle bande son.
Très bon moment. Rencontre avec une femme forte qui essayait de vivre pleinement telle qu'elle était.
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