Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Bouleversante, intense, la comédienne Nathalie Boutefeu est le feu sous une glace qui ne demande qu’à se fissurer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Frederick Wiseman alterne les scènes de monologue avec des plans d’arbres, de fleurs, d’insectes et d’eau qui éclatent de vie, rayonnent par contraste et contrepoint avec cette confession attristée d’un naufrage conjugal qu’interprète avec retenue et dignité Nathalie Boutefeu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Une fiction poids plume mais d’une grande force par un maître du documentaire. “Un couple” à découvrir absolument.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
En filmant Nathalie Boutefeu, totalement seule à l’écran pendant l’heure que dure Un couple, Wiseman fait plus que donner vie aux textes de Sophie Tolstoï, la femme de l’écrivain. Le cinéaste semble se régénérer dans un bain de nature, loin de la lourdeur du contemporain et de la responsabilité parfois écrasante qui incombe à qui s’occuperait de le déchiffrer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thomas Baurez
L'actrice française Nathalie Boutefeu impressionne.
Positif
par Lætitia Mikles
L’interminable guerre que se mènent avec assiduité les hommes est au cœur de l’œuvre de Wiseman [...]. Un couple ne fait que poursuivre ce voyage et interroge le plus simplement possible – un jardin, une journée, une femme – notre rapport à l’autre, ce vertige, cette insupportable mais indispensable promiscuité avec notre alter ego.
Transfuge
par Séverine Danflous
Au milieu du règne minéral, animal, végétal, le cinéaste capte quelque chose de l’humain, ses faiblesses et sa puissance, derrière les contradictions d’un couple pris dans les rets du mariage, affrontant de concert les tribulations et les nécessaires exigences de l’art.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
C’est peut-être là que réside la beauté inaccomplie d’Un couple, dans la façon dont Wiseman assume le hasard dans la fiction : partir de quelques éléments, une actrice, un jardin proche de l’océan, une chambre avec une table et une bougie, un texte, puis laisser l’ensemble jouer librement devant sa caméra.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Entre les falaises battues par les vagues et un splendide jardin qui fait écrin à la parole, la mise en scène laisse toute la place à l’interprétation de Nathalie Boutefeu. Un châle noir fleuri sur les épaules, coiffée de tresses relevées, elle donne corps à un texte charnel et étrangement contemporain qui dit toute la difficulté de vivre en couple.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par É. S.
À plus de 90 ans, le documentariste américain ose tout. Acteur chez Rebecca Zlotowski (le gynécologue) dans Les Enfants des autres, il signe une fiction inspirée de la correspondance de Sophia Tolstoï avec son mari Léon. Fiction, il faut le dire vite. On peut voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Wiseman signe cette fiction (annoncée erronément comme sa première) sans abandonner sa démarche documentaire : malgré N. Boutefeu, la magie ne prend pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Wiseman sur les traces du cinéma de Straub et Huillet, croit à la force du texte, à sa possible incarnation à l’écran. Il cherche - et trouve - un parfait dépouillement. Ici, une vague s’écrasant sur un rocher a la même force qu’une récrimination à l’adresse d’un mort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Pour tempérer ce qui ressemble parfois à un enfer conjugal, Wiseman a la bonne idée de filmer le paradis sur terre : un magnifique jardin où resplendissent toutes sortes de fleurs. « Ah, si l’amour pouvait être aussi harmonieux ! », semble-t-il nous chuchoter…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Corentin Lê
On reconnaît certes ponctuellement la griffe du cinéaste, mais il ne reste ici du cinéma de Wiseman que la part la plus platement démonstrative. Après le sommet que constituait il y a deux ans le monumental City Hall, le grand écart est pour le moins déconcertant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
[Un] film bien âpre, et paradoxalement unique en soi.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. J.
Le film a les atours d’un film du dimanche, d’un film d’amitié, à deux et pour deux, qu’on pénètre en intrus, et qui fait songer aux films de Danièle Huillet et Jean-Marie Straub, cinéastes du texte et de la nature rendus indémêlables, mais sans atteindre au même vertige, ni à la même précision.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur propose dans ce film bref de découvrir Sophia Tolstoï. Souvent poignant, le texte enchevêtre des lettres et extraits de journaux intimes. Malheureusement, Wiseman s'enferme dans un principe de mise en scène monotone qui consiste à scander ce monologue de plans de vagues, de fleurs ou d'animaux.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'Obs
Bouleversante, intense, la comédienne Nathalie Boutefeu est le feu sous une glace qui ne demande qu’à se fissurer.
La Croix
Frederick Wiseman alterne les scènes de monologue avec des plans d’arbres, de fleurs, d’insectes et d’eau qui éclatent de vie, rayonnent par contraste et contrepoint avec cette confession attristée d’un naufrage conjugal qu’interprète avec retenue et dignité Nathalie Boutefeu.
Les Inrockuptibles
Une fiction poids plume mais d’une grande force par un maître du documentaire. “Un couple” à découvrir absolument.
Libération
En filmant Nathalie Boutefeu, totalement seule à l’écran pendant l’heure que dure Un couple, Wiseman fait plus que donner vie aux textes de Sophie Tolstoï, la femme de l’écrivain. Le cinéaste semble se régénérer dans un bain de nature, loin de la lourdeur du contemporain et de la responsabilité parfois écrasante qui incombe à qui s’occuperait de le déchiffrer.
Ouest France
L'actrice française Nathalie Boutefeu impressionne.
Positif
L’interminable guerre que se mènent avec assiduité les hommes est au cœur de l’œuvre de Wiseman [...]. Un couple ne fait que poursuivre ce voyage et interroge le plus simplement possible – un jardin, une journée, une femme – notre rapport à l’autre, ce vertige, cette insupportable mais indispensable promiscuité avec notre alter ego.
Transfuge
Au milieu du règne minéral, animal, végétal, le cinéaste capte quelque chose de l’humain, ses faiblesses et sa puissance, derrière les contradictions d’un couple pris dans les rets du mariage, affrontant de concert les tribulations et les nécessaires exigences de l’art.
Cahiers du Cinéma
C’est peut-être là que réside la beauté inaccomplie d’Un couple, dans la façon dont Wiseman assume le hasard dans la fiction : partir de quelques éléments, une actrice, un jardin proche de l’océan, une chambre avec une table et une bougie, un texte, puis laisser l’ensemble jouer librement devant sa caméra.
L'Humanité
Entre les falaises battues par les vagues et un splendide jardin qui fait écrin à la parole, la mise en scène laisse toute la place à l’interprétation de Nathalie Boutefeu. Un châle noir fleuri sur les épaules, coiffée de tresses relevées, elle donne corps à un texte charnel et étrangement contemporain qui dit toute la difficulté de vivre en couple.
Le Figaro
À plus de 90 ans, le documentariste américain ose tout. Acteur chez Rebecca Zlotowski (le gynécologue) dans Les Enfants des autres, il signe une fiction inspirée de la correspondance de Sophia Tolstoï avec son mari Léon. Fiction, il faut le dire vite. On peut voir.
Les Fiches du Cinéma
Wiseman signe cette fiction (annoncée erronément comme sa première) sans abandonner sa démarche documentaire : malgré N. Boutefeu, la magie ne prend pas.
Première
Wiseman sur les traces du cinéma de Straub et Huillet, croit à la force du texte, à sa possible incarnation à l’écran. Il cherche - et trouve - un parfait dépouillement. Ici, une vague s’écrasant sur un rocher a la même force qu’une récrimination à l’adresse d’un mort.
Télérama
Pour tempérer ce qui ressemble parfois à un enfer conjugal, Wiseman a la bonne idée de filmer le paradis sur terre : un magnifique jardin où resplendissent toutes sortes de fleurs. « Ah, si l’amour pouvait être aussi harmonieux ! », semble-t-il nous chuchoter…
Critikat.com
On reconnaît certes ponctuellement la griffe du cinéaste, mais il ne reste ici du cinéma de Wiseman que la part la plus platement démonstrative. Après le sommet que constituait il y a deux ans le monumental City Hall, le grand écart est pour le moins déconcertant.
Le Journal du Dimanche
[Un] film bien âpre, et paradoxalement unique en soi.
Le Monde
Le film a les atours d’un film du dimanche, d’un film d’amitié, à deux et pour deux, qu’on pénètre en intrus, et qui fait songer aux films de Danièle Huillet et Jean-Marie Straub, cinéastes du texte et de la nature rendus indémêlables, mais sans atteindre au même vertige, ni à la même précision.
Les Echos
Le réalisateur propose dans ce film bref de découvrir Sophia Tolstoï. Souvent poignant, le texte enchevêtre des lettres et extraits de journaux intimes. Malheureusement, Wiseman s'enferme dans un principe de mise en scène monotone qui consiste à scander ce monologue de plans de vagues, de fleurs ou d'animaux.