Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Hong Sang-Soo filme cette bête qui rôde (la dépression) avec une telle intelligence (cette inversion architecturale entre l’état dépressif de Byungsoo et sa montée progressive dans les étages de l’immeuble est du génie) prouvant une fois de plus la vitalité sans pareille de son imaginaire métaphysique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
L’art hongien de la fragmentation consiste d’abord à découper l’édifice par niveaux afin d’y faire se dérouler les différents segments de son récit. La stratification spatiale fournit l’architecture temporelle : à la suite d’une visite guidée des lieux qui se termine au sous-sol, les trois parties suivantes nous font successivement monter du premier au troisième étages, chaque ascension s’accompagnant d’une avancée dans le temps.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Allant toujours plus loin dans l’épure, Hong Sang-soo resserre l’intrigue de son nouveau film au sein d’un décor unique, un immeuble où il observe la vie des personnages défiler à chaque étage, pour cartographier aussi bien leurs désirs que leurs angoisses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Ma. Mt.
Tout se passe comme si Walk Up n’était pas seulement un film maison, mais un film de maison hantée. Le héros se laisse lentement happer par cette demeure qui semble se refermer sur lui et ouvrir le passage vers l’autre monde. Et le film de faire résonner l’hypothèse d’un fantastique discret, presque imperceptible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Arthur Bouet
Un film sec, radical, qui porte la méthode Hong Sangsoo à son point d’incandescence tout en révélant ses limites.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Tout en y déployant les qualités habituelles de son cinéma, notamment cette façon de faire jaillir le sublime, l’intense et le profond au milieu du banal, du bénin et du trivial, Hong Sang-soo signe un film particulièrement habité, dont le sujet est même, au fond, l’habitation de soi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Si Walk Up s’inscrit plutôt dans la catégorie des films jalons, croquis de travail bichromique (trop ?) rapidement exécuté, et ne sera pas la meilleure porte d’entrée à qui ne serait pas familier du Sud-Coréen, il permet quand même de goûter son art de plus en plus concentré de la direction d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Un modèle de douceur et de minimalisme espiègle.
Paris Match
par Yannick Vely
Le film dégage une mélancolie presque métaphysique, grâce au jeu tout en nuance de Hae-hyo Kwon.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Séverine Danflous
Une œuvre délicate magnifiée par un noir et blanc teinté de mélancolie.
Télérama
par Louis Guichard
Le prolifique auteur coréen poursuit son œuvre minimaliste au long cours. L’alliage finement dosé de second degré et d’amertume fait toujours mouche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fiction volontairement dispersée, mineure, pas désagréable en bouche, mais qui, à force de ne se projeter dans aucun enjeu un tant soit peu nouveau ni tangible, laisse l’impression d’un exercice de style inégalement inspiré.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Damien Leblanc
Au-delà de l’image en noir et blanc et des amusantes séquences de discussions, le réalisateur réussit miraculeusement à créer du trouble avec cette douce rêverie où les frontières temporelles s’abolissent et où amours et fantasmes se mêlent pour former un portrait mélancolique, plus ou moins autobiographique, d’un artiste d’âge mûr qui continue à découvrir les mystères du désir et les joies du lâcher-prise.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
HSS reste fidèle à son univers et sa démarche qui sont ici radicalisés. Le film est indéniablement beau et profond mais il est permis de peiner à entrer dans le dispositif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
D'une ascèse sans concession, ce dernier film radical de Hong Sangsoo peine à nous emporter. Une mise en scène inventive, une narration singulière, et les saillies de drôlerie ne suffisent pas à nous réveiller de la torpeur dans laquelle le film nous plonge, à l'instar du personnage principal, qui finit par se recroqueviller sur son lit et dans sa solitude.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Culturopoing.com
Hong Sang-Soo filme cette bête qui rôde (la dépression) avec une telle intelligence (cette inversion architecturale entre l’état dépressif de Byungsoo et sa montée progressive dans les étages de l’immeuble est du génie) prouvant une fois de plus la vitalité sans pareille de son imaginaire métaphysique.
Cahiers du Cinéma
L’art hongien de la fragmentation consiste d’abord à découper l’édifice par niveaux afin d’y faire se dérouler les différents segments de son récit. La stratification spatiale fournit l’architecture temporelle : à la suite d’une visite guidée des lieux qui se termine au sous-sol, les trois parties suivantes nous font successivement monter du premier au troisième étages, chaque ascension s’accompagnant d’une avancée dans le temps.
Critikat.com
Allant toujours plus loin dans l’épure, Hong Sang-soo resserre l’intrigue de son nouveau film au sein d’un décor unique, un immeuble où il observe la vie des personnages défiler à chaque étage, pour cartographier aussi bien leurs désirs que leurs angoisses.
Le Monde
Tout se passe comme si Walk Up n’était pas seulement un film maison, mais un film de maison hantée. Le héros se laisse lentement happer par cette demeure qui semble se refermer sur lui et ouvrir le passage vers l’autre monde. Et le film de faire résonner l’hypothèse d’un fantastique discret, presque imperceptible.
Les Fiches du Cinéma
Un film sec, radical, qui porte la méthode Hong Sangsoo à son point d’incandescence tout en révélant ses limites.
Les Inrockuptibles
Tout en y déployant les qualités habituelles de son cinéma, notamment cette façon de faire jaillir le sublime, l’intense et le profond au milieu du banal, du bénin et du trivial, Hong Sang-soo signe un film particulièrement habité, dont le sujet est même, au fond, l’habitation de soi.
Libération
Si Walk Up s’inscrit plutôt dans la catégorie des films jalons, croquis de travail bichromique (trop ?) rapidement exécuté, et ne sera pas la meilleure porte d’entrée à qui ne serait pas familier du Sud-Coréen, il permet quand même de goûter son art de plus en plus concentré de la direction d’acteurs.
Marie Claire
Un modèle de douceur et de minimalisme espiègle.
Paris Match
Le film dégage une mélancolie presque métaphysique, grâce au jeu tout en nuance de Hae-hyo Kwon.
Transfuge
Une œuvre délicate magnifiée par un noir et blanc teinté de mélancolie.
Télérama
Le prolifique auteur coréen poursuit son œuvre minimaliste au long cours. L’alliage finement dosé de second degré et d’amertume fait toujours mouche.
L'Obs
Une fiction volontairement dispersée, mineure, pas désagréable en bouche, mais qui, à force de ne se projeter dans aucun enjeu un tant soit peu nouveau ni tangible, laisse l’impression d’un exercice de style inégalement inspiré.
Première
Au-delà de l’image en noir et blanc et des amusantes séquences de discussions, le réalisateur réussit miraculeusement à créer du trouble avec cette douce rêverie où les frontières temporelles s’abolissent et où amours et fantasmes se mêlent pour former un portrait mélancolique, plus ou moins autobiographique, d’un artiste d’âge mûr qui continue à découvrir les mystères du désir et les joies du lâcher-prise.
aVoir-aLire.com
HSS reste fidèle à son univers et sa démarche qui sont ici radicalisés. Le film est indéniablement beau et profond mais il est permis de peiner à entrer dans le dispositif.
Franceinfo Culture
D'une ascèse sans concession, ce dernier film radical de Hong Sangsoo peine à nous emporter. Une mise en scène inventive, une narration singulière, et les saillies de drôlerie ne suffisent pas à nous réveiller de la torpeur dans laquelle le film nous plonge, à l'instar du personnage principal, qui finit par se recroqueviller sur son lit et dans sa solitude.