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29 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Aucun ours est d’une richesse thématique et formelle inépuisable, une mise en abyme imparable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le niveau d’urgence, de douleur et de frustration crie dans chaque plan du film et plus particulièrement dans un fragment saisissant où Panahi ne parvient pas à enjamber la ligne invisible pour quitter son pays. Mais, plutôt que de se complaire dans un rôle victimaire, Panahi choisit d’interroger, avec rigueur et profondeur, la responsabilité du filmeur et des images qu’il fait naître.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un bijou de cinéma.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film en miroir d’un gouvernement iranien bureaucratique et autoritaire qui aura eu raison de son réalisateur, Jafar Panahi, avec un emprisonnement. Sans doute le meilleur film du cinéaste iranien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Jafar Panahi a donné sa liberté de vivre et de créer mais sa voix continue de se faire entendre dans ce film tragique et fort.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
C’est le dernier film clandestin du cinéaste iranien Jafar Panahi, emprisonné depuis plusieurs mois à la prison d’Evin, à Téhéran : Aucun ours met en scène, avec un humour à froid irrésistible et absurde, son cinéma empêché et sa résistance.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Une forme de rébellion contre un ordre social hypocrite qui renvoie un écho prémonitoire aux révoltes actuelles des femmes d’Iran. En enlevant leur hijab, elles le disent à leur manière: circulez, y a rien à voir, aucun ours.
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Si la fiction ne peut plus être un refuge au chaos du monde, elle peut néanmoins toujours participer à son redressement. Et "Aucun ours" en est l’un des plus brillants exemples.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Mais Jafar Panahi, jusqu’à son incarcération, n’a cessé de faire du cinéma clandestinement. « Aucun Ours », Prix spécial du jury à la Mostra de Venise, rend compte avec une autodérision tragicomique de cette vie surveillée.
Ecran Large
par La rédaction
Aucun ours est un long-métrage troublant dans lequel il n’est pas confortable de s’installer. C’est un étrange montage de vérités et de mensonges, le panorama d’un monde dont même Panahi doute.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film glaçant et prémonitoire.
L'Obs
par François Forestier
Tout se mélange et se complète dans un fascinant puzzle, où il y a du pamphlet, de la pensée poétique et de la tragédie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Avec une verve et un humour toujours intact malgré la noirceur de son propos, Jafar Panahi nous parle de ses conditions de travail difficiles, de la question douloureuse de l’exil, et du soupçon généralisé dans un pays encore marqué par le poids des traditions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Depuis une dizaine d’années, Jafar Panahi, persécuté par le régime islamiste, s’est vu interdire de quitter l’Iran et de faire des films, tandis qu’il était assigné la plupart du temps à résidence. Mais Jafar Panahi, jusqu’à son incarcération, n’a cessé de faire du cinéma clandestinement. « Aucun Ours », Prix spécial du jury à la Mostra de Venise, rend compte avec une autodérision tragicomique de cette vie surveillée.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Aucun ours est particulièrement pessimiste. Mais il a été tourné avant le soulèvement et Panah Panahi veut croire que l'espoir est aujourd'hui permis.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
S’emparant d’une situation qui tient à la fois du rocambolesque et du réel tragique, Jafar Panahi signe un grand film incisif sur la situation intenable dans son pays.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Cette tension prend la forme métaphorique de la frontière, visible d’une colline, dans la splendide scène nocturne où Jafar Panahi, guidé par son assistant, s’aventure dans une zone de contrebande.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Récompensée par le Prix spécial du jury au festival de Venise, cette œuvre résonne de manière particulièrement forte aujourd’hui, alors que l’Iran est secoué par des manifestations et que Jafar Panahi y est incarcéré depuis plus de quatre mois.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Armin Arefi
Une impressionnante rencontre entre réalité et fiction.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Sept ans après l'admirable « Taxi Téhéran », Jafar Panahi redonne de ses nouvelles sur le grand écran dans « Aucun ours ». Avec ce nouvel autoportrait indirect, le cinéaste, plus que jamais viscéralement attaché à son pays natal, entraîne le spectateur dans un jeu de piste troublant qui honore celles et ceux qui sont prêts à tout pour vivre libres… quitte à en mourir. Une fiction à la fois malicieuse et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Une savante mise en abyme, au service d’un propos politique implacable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
«Aucun ours», puissante fiction autobiographique du cinéaste iranien aujourd’hui incarcéré pour dissidence, témoigne de l’épuisement du peuple face à un régime délétère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans cette petite merveille d'impertinence, le cinéaste joue son propre rôle et fait l'éloge de toutes celles et ceux qui luttent pour l'émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
En jouant à nouveau, après Taxi Téhéran (2015) et Trois Visages (2018), avec la limite floue entre documentaire et fiction, Jafar Panahi continue de déployer un petit théâtre pirandellien pour mieux exprimer sa détresse d’auteur en quête de personnages, et capter l’essence inquisitrice d’un pays aux citoyens effrayés par leur propre ombre. Bien
Première
par Gael Golhen
Voilà comment débute cet incroyable film où tout se brouille. La réalité, le film, la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec son incroyable vitalité et son obsession de l’image, Jafar Panahi tisse une narration magnifique, drôle, tragique et universelle
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
Avant d’être emprisonné pour “propagande contre le régime”, le cinéaste iranien a tourné ce poignant film à suspense sur l’oppression des femmes et des artistes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Par un habile jeu de mise en abyme, Pahani met en scène sa position de cinéaste contraint mais aussi sa propre impuissance, en fragilisant son habituel personnage de citadin éclairé et à l'écoute.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Aucun Ours a décroché un prix spécial du jury à Venise, comme pour saluer le geste et la persévérance du cinéaste. Cette récompense hors cadre souligne aussi les limites de cette œuvre. Car Aucun Ours est un ton en dessous de sa production habituelle, signe de la difficulté de créer les mains liées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Franceinfo Culture
Aucun ours est d’une richesse thématique et formelle inépuisable, une mise en abyme imparable.
Les Inrockuptibles
Le niveau d’urgence, de douleur et de frustration crie dans chaque plan du film et plus particulièrement dans un fragment saisissant où Panahi ne parvient pas à enjamber la ligne invisible pour quitter son pays. Mais, plutôt que de se complaire dans un rôle victimaire, Panahi choisit d’interroger, avec rigueur et profondeur, la responsabilité du filmeur et des images qu’il fait naître.
Ouest France
Un bijou de cinéma.
aVoir-aLire.com
Un film en miroir d’un gouvernement iranien bureaucratique et autoritaire qui aura eu raison de son réalisateur, Jafar Panahi, avec un emprisonnement. Sans doute le meilleur film du cinéaste iranien.
20 Minutes
Jafar Panahi a donné sa liberté de vivre et de créer mais sa voix continue de se faire entendre dans ce film tragique et fort.
Bande à part
C’est le dernier film clandestin du cinéaste iranien Jafar Panahi, emprisonné depuis plusieurs mois à la prison d’Evin, à Téhéran : Aucun ours met en scène, avec un humour à froid irrésistible et absurde, son cinéma empêché et sa résistance.
Cahiers du Cinéma
Une forme de rébellion contre un ordre social hypocrite qui renvoie un écho prémonitoire aux révoltes actuelles des femmes d’Iran. En enlevant leur hijab, elles le disent à leur manière: circulez, y a rien à voir, aucun ours.
Culturopoing.com
Si la fiction ne peut plus être un refuge au chaos du monde, elle peut néanmoins toujours participer à son redressement. Et "Aucun ours" en est l’un des plus brillants exemples.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mais Jafar Panahi, jusqu’à son incarcération, n’a cessé de faire du cinéma clandestinement. « Aucun Ours », Prix spécial du jury à la Mostra de Venise, rend compte avec une autodérision tragicomique de cette vie surveillée.
Ecran Large
Aucun ours est un long-métrage troublant dans lequel il n’est pas confortable de s’installer. C’est un étrange montage de vérités et de mensonges, le panorama d’un monde dont même Panahi doute.
Elle
Un film glaçant et prémonitoire.
L'Obs
Tout se mélange et se complète dans un fascinant puzzle, où il y a du pamphlet, de la pensée poétique et de la tragédie.
La Croix
Avec une verve et un humour toujours intact malgré la noirceur de son propos, Jafar Panahi nous parle de ses conditions de travail difficiles, de la question douloureuse de l’exil, et du soupçon généralisé dans un pays encore marqué par le poids des traditions.
Le Dauphiné Libéré
Depuis une dizaine d’années, Jafar Panahi, persécuté par le régime islamiste, s’est vu interdire de quitter l’Iran et de faire des films, tandis qu’il était assigné la plupart du temps à résidence. Mais Jafar Panahi, jusqu’à son incarcération, n’a cessé de faire du cinéma clandestinement. « Aucun Ours », Prix spécial du jury à la Mostra de Venise, rend compte avec une autodérision tragicomique de cette vie surveillée.
Le Figaro
Aucun ours est particulièrement pessimiste. Mais il a été tourné avant le soulèvement et Panah Panahi veut croire que l'espoir est aujourd'hui permis.
Le Journal du Dimanche
S’emparant d’une situation qui tient à la fois du rocambolesque et du réel tragique, Jafar Panahi signe un grand film incisif sur la situation intenable dans son pays.
Le Monde
Cette tension prend la forme métaphorique de la frontière, visible d’une colline, dans la splendide scène nocturne où Jafar Panahi, guidé par son assistant, s’aventure dans une zone de contrebande.
Le Parisien
Récompensée par le Prix spécial du jury au festival de Venise, cette œuvre résonne de manière particulièrement forte aujourd’hui, alors que l’Iran est secoué par des manifestations et que Jafar Panahi y est incarcéré depuis plus de quatre mois.
Le Point
Une impressionnante rencontre entre réalité et fiction.
Les Echos
Sept ans après l'admirable « Taxi Téhéran », Jafar Panahi redonne de ses nouvelles sur le grand écran dans « Aucun ours ». Avec ce nouvel autoportrait indirect, le cinéaste, plus que jamais viscéralement attaché à son pays natal, entraîne le spectateur dans un jeu de piste troublant qui honore celles et ceux qui sont prêts à tout pour vivre libres… quitte à en mourir. Une fiction à la fois malicieuse et émouvante.
Les Fiches du Cinéma
Une savante mise en abyme, au service d’un propos politique implacable.
Libération
«Aucun ours», puissante fiction autobiographique du cinéaste iranien aujourd’hui incarcéré pour dissidence, témoigne de l’épuisement du peuple face à un régime délétère.
Marianne
Dans cette petite merveille d'impertinence, le cinéaste joue son propre rôle et fait l'éloge de toutes celles et ceux qui luttent pour l'émancipation.
Positif
En jouant à nouveau, après Taxi Téhéran (2015) et Trois Visages (2018), avec la limite floue entre documentaire et fiction, Jafar Panahi continue de déployer un petit théâtre pirandellien pour mieux exprimer sa détresse d’auteur en quête de personnages, et capter l’essence inquisitrice d’un pays aux citoyens effrayés par leur propre ombre. Bien
Première
Voilà comment débute cet incroyable film où tout se brouille. La réalité, le film, la fiction.
Sud Ouest
Avec son incroyable vitalité et son obsession de l’image, Jafar Panahi tisse une narration magnifique, drôle, tragique et universelle
Télérama
Avant d’être emprisonné pour “propagande contre le régime”, le cinéaste iranien a tourné ce poignant film à suspense sur l’oppression des femmes et des artistes.
Critikat.com
Par un habile jeu de mise en abyme, Pahani met en scène sa position de cinéaste contraint mais aussi sa propre impuissance, en fragilisant son habituel personnage de citadin éclairé et à l'écoute.
L'Humanité
Aucun Ours a décroché un prix spécial du jury à Venise, comme pour saluer le geste et la persévérance du cinéaste. Cette récompense hors cadre souligne aussi les limites de cette œuvre. Car Aucun Ours est un ton en dessous de sa production habituelle, signe de la difficulté de créer les mains liées.