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Ufuk K
"Causeway" diffusé sur Apple TV est un drame américain avec des qualités. En effet même si le fond et la forme sont peut-être trop simpliste, la performance de Jennifer Lawrence (injustement oublié des oscars) et Brian Tyree Henry (nommé aux oscars cette année) vaut le détour par leur justesse et émotion qui se dégage de ce tandem dans un récit sur le traumatisme, la résilience, la reconstruction et l'amitié dans un film sensible et généreux.
Jorik V
Après plusieurs années d’absence, Jennifer Lawrence revient en toute pudeur et humilité avec un petit film issu du milieu indépendant, un style et une mouvance du cinéma américain qui l’a fait connaître. Rien que cela c’est beau. Adolescente elle s’était fait connaître avec l’excellent polar neigeux « Winter’s bone » et la revoilà des années plus tard faire son retour avec ce drame qui réunit deux âmes écorchées par la vie dans une belle histoire d’amitié et de soutien. Et c’est peu dire que les retrouvailles de l’actrice avec le cinéma sont brillantes à l’instar de sa prestation toute en justesse et en finesse. Tout comme l’est d’ailleurs son partenaire, Brian Tyree Henry, et leur association à l’écran. Et tout comme l’est bien sûr ce beau film qu’est « Causeway ».
L’interprétation est donc pour beaucoup dans le sentiment de réussite qui parcourt le film. Avec une douceur et une délicatesse inouïe, ce long-métrage nous emporte dès les premières minutes et nous touche durablement. Cette histoire plus ou moins banale tell que la vie en offre tant nous absorbe naturellement. Pourtant, on en a vu beaucoup des œuvres sur le retour de militaires américains du champ de bataille avec leurs traumatismes physiques et/ou psychologiques; mais celui-ci prend des petits chemins de traverses peu communs et plutôt bienvenus. L’émotion y vient moins de la tristesse des situations que de la douceur et la joliesse des sentiments humains exposés. Cette histoire d’amitié entre deux êtres que tout oppose en apparence est d’une simplicité qui confine au sublime.
Certes, il y a quelques moments un peu trop appuyés et une scène pivot (celle de la piscine) qui force un tantinet sur la psychologie de bazar et instrumentalise leurs traumas, mais cela reste marginal et ne gêne pas la conduite de l’ensemble. Surtout que le final, tout aussi juste, beau, délicat, pudique et réussi que le reste, rattrape bien le coup. Le décor de La Nouvelle-Orléans est aussi bien utilisé et assez rare. « Causeway » est donc plutôt une excellente surprise, un film qui fait du bien, doucement, en prenant son temps, et qui enchaîne des séquences à priori anodines mais qui mises bout à bout en font un grand film. De plus, c’est bien dialogué, réaliste et le rythme est là malgré la lenteur inhérente au récit. Un joli moment de cinéma en toute simplicité!
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
L’interprétation est donc pour beaucoup dans le sentiment de réussite qui parcourt le film. Avec une douceur et une délicatesse inouïe, ce long-métrage nous emporte dès les premières minutes et nous touche durablement. Cette histoire plus ou moins banale tell que la vie en offre tant nous absorbe naturellement. Pourtant, on en a vu beaucoup des œuvres sur le retour de militaires américains du champ de bataille avec leurs traumatismes physiques et/ou psychologiques; mais celui-ci prend des petits chemins de traverses peu communs et plutôt bienvenus. L’émotion y vient moins de la tristesse des situations que de la douceur et la joliesse des sentiments humains exposés. Cette histoire d’amitié entre deux êtres que tout oppose en apparence est d’une simplicité qui confine au sublime.
Certes, il y a quelques moments un peu trop appuyés et une scène pivot (celle de la piscine) qui force un tantinet sur la psychologie de bazar et instrumentalise leurs traumas, mais cela reste marginal et ne gêne pas la conduite de l’ensemble. Surtout que le final, tout aussi juste, beau, délicat, pudique et réussi que le reste, rattrape bien le coup. Le décor de La Nouvelle-Orléans est aussi bien utilisé et assez rare. « Causeway » est donc plutôt une excellente surprise, un film qui fait du bien, doucement, en prenant son temps, et qui enchaîne des séquences à priori anodines mais qui mises bout à bout en font un grand film. De plus, c’est bien dialogué, réaliste et le rythme est là malgré la lenteur inhérente au récit. Un joli moment de cinéma en toute simplicité!
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Un très bon film indépendant où Jennifer Lawrence incarne une militaire américaine qui a des traumatismes de la guerre en Afghanistan . Une très belle performance d'actrice.
Cinéphiles 44
Très jolie prestation de Jennifer Lawrence dans le rôle d'une soldat qui tente de se reconstruire suite à un traumatisme. Elle donne également la part belle à Brian Tyree Henry qui joue ce nouvel ami qui la soutient par sa générosité.
Dans ce film certaine qualité son indéniables comme le casting.
Bien sûre Jennifer Lawrence est comme toujours génial et sont duo avec le fabuleux Bryan Tyree Henry marche plutôt bien. La musique composé par Alex Somers qui s'occupait il y a quelques années de la BO de Captain Fantastic est dingue.
Mais le long métrage est long, vraiment super long !
La réalisation est presque inexistante et le montage est vraiment au fraise.
Parfois on a des champ contre champ vraiment hideux (c'est que l'on reprochait a Bohemian Rhapsody quand même).
Bref . . . C'est Chian mais asser bien exécuté.
Mais c'est quand même Chian !
Bien sûre Jennifer Lawrence est comme toujours génial et sont duo avec le fabuleux Bryan Tyree Henry marche plutôt bien. La musique composé par Alex Somers qui s'occupait il y a quelques années de la BO de Captain Fantastic est dingue.
Mais le long métrage est long, vraiment super long !
La réalisation est presque inexistante et le montage est vraiment au fraise.
Parfois on a des champ contre champ vraiment hideux (c'est que l'on reprochait a Bohemian Rhapsody quand même).
Bref . . . C'est Chian mais asser bien exécuté.
Mais c'est quand même Chian !
Outre le processus difficile de reconstruction (et pour cause!) et une jolie amitié naissante, tout autour est relativement triste et lourd. Et c'est le défaut principal de ce drame post-traumatique. Un récit assez terne, qui ne décolle pas et ne va pas au bout de ses intentions. On peut être en attente d'un scénario plus travaillé, dommage...
Une ingénieur survivante d'une attaque en Afghanistan, Jennifer Lawrence à un don pour les rôles de cette envergure. Sans prétention le film raconte son retour à sa vie d'avant, et les syndromes post-traumatique. Ce n'est pas un film à grand rebondissement, mais c'est la modestie de la vie que la réalisatrice a voulu montrer selon moi. Une belle histoire, de beaux acteurs, un bon moment.
Le retour compliqué à la vie civile pour une soldate blessée en Afghanistan. Je dois avouer qu’avec Jennifer Lawrence et la thématique du film, je m’attendais à un véhicule à Oscars ultra putassier et mélo. « Causeway » est tout le contraire préférant jouer la carte de la sobriété et de la délicatesse. L’actrice y trouve d’ailleurs sans doute l'un de ses meilleurs rôles depuis ses débuts dans « Winter’s Bone ». Elle est accompagnée de Bryan Tyree Henry, lui aussi excellent, mais que l’affiche n’a pas l’élégance de citer malgré l’importance de son personnage. Un beau duo de comédiens pour la rencontre de deux êtres abimés par la vie. Modeste, classique sûrement, "Causeway" n'est pas là pour vous mettre sur le cul, mais c'est typiquement le genre de film que j’aime bien dans le genre « less is more ». Dispo sur Apple +.
Grande déception, film plat sans grand intérêt, les minutes passent et on attend quelque chose de fort, et bien non, rien qui justifie cette perte de temps
Joli retour au cinéma indépendant pour Jennifer Lawrence dans "Causeway"
Au cours d'une mission en Afghanistan, Lynsey, ingénieure dans l'armée, est blessée par un engin explosif. Souffrant de lésions cérébrales, elle retourne aux États-Unis. Elle entame alors une douloureuse et lente guérison au cours de laquelle elle réapprend à marcher et à faire fonctionner sa mémoire, avec le soutien d'une aide-soignante. Lorsqu'elle retourne chez elle à la Nouvelle-Orléans, elle doit faire face à des souvenirs douloureux. Vivant avec sa mère malgré leurs rapports conflictuels, Lynsey ne souhaite qu'une seule chose : retrouver son poste d'ingénieure. Elle fait alors la rencontre de James Aucoin. Petit à petit, ils se soutiennent l'un et l'autre et se tiennent compagnie. James, lui aussi, refoule son passé.
Jennifer Lawrence y est juste et tout en émotion rentrée.
Mais la vraie révélation de ce film est Brian Tyree Henry qui interprète James Aucoin et qui jouait Phastos l'un des premiers personnage ouvertement gay de la MCU dans "The eternal". Il démontre une capacité de jeu dramatique qui à mon avis lui ouvrira d'autre rôles du même acabit.
Au cours d'une mission en Afghanistan, Lynsey, ingénieure dans l'armée, est blessée par un engin explosif. Souffrant de lésions cérébrales, elle retourne aux États-Unis. Elle entame alors une douloureuse et lente guérison au cours de laquelle elle réapprend à marcher et à faire fonctionner sa mémoire, avec le soutien d'une aide-soignante. Lorsqu'elle retourne chez elle à la Nouvelle-Orléans, elle doit faire face à des souvenirs douloureux. Vivant avec sa mère malgré leurs rapports conflictuels, Lynsey ne souhaite qu'une seule chose : retrouver son poste d'ingénieure. Elle fait alors la rencontre de James Aucoin. Petit à petit, ils se soutiennent l'un et l'autre et se tiennent compagnie. James, lui aussi, refoule son passé.
Jennifer Lawrence y est juste et tout en émotion rentrée.
Mais la vraie révélation de ce film est Brian Tyree Henry qui interprète James Aucoin et qui jouait Phastos l'un des premiers personnage ouvertement gay de la MCU dans "The eternal". Il démontre une capacité de jeu dramatique qui à mon avis lui ouvrira d'autre rôles du même acabit.
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