Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Arno
3 abonnés
6 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 27 mai 2023
Nous sommes allés voir une avant première à 3 adultes plutôt "bon public". Malheureusement, on n'a pas rit, mais pas du tout. On s'est même fait la remarque qu'il y avait bien longtemps qu'on n'avait pas vu un film si mauvais.
La comédie de l’année ! Je pèse mes mots foncez le voir c’est trop bien :)) Que vous soyez fan du livre ou pas FONCEZ ainsi ai-je parlé moi Lola J. Blagues sur mak-ron (precaution anti-ban) excellentes et la chanteuse est également une parodie d’Angèle réussie. Juste trauma de la scène des toilettes turc (faut le voir pour le croire) et un peu déçue que les jumelles qui sont coiffeuses dans le livre soient devenues des influenceuses…
Peut-on m’expliquer pourquoi Pierre-François Martin-Laval, dont je pense qu’il est bourré de talent et de sensibilité, s’ingénie à n’écrire et réaliser que des nanars XXL comme Essaye-moi, King Guillaume, Les Profs, Gaston Lagaffe – un must au royaume des navets -. Un seul de ses films trouvera grâce dans cette série calamiteuse, le très beau et touchant Fahim. Et après 90 minutes d’un long calvaire pour cinéphile, ma constatation n’a pas changé d’un iota. Instituteur à la retraite, Robert Poutifard n'a plus qu'une idée en tête : se venger de ses anciens élèves qui ont gâché sa vie ! Pour l’aider à mettre en place son plan diabolique, il a la meilleure des complices à ses côtés... sa maman. Ensemble, ils vont leur en faire voir de toutes les couleurs ! La vengeance est un plat qui se mange froid, et Robert Poutifard leur prépare une vraie surprise du chef. Quasiment rien à sauver de ce nouveau naufrage à éviter de toute urgence. C’est le roman pour enfant, La troisième vengeance de Robert Poutifard de Jean-Claude Mourlevat qui a donné naissance à ce machin informe qu’on appelle une comédie de l’été. Quand comprendra-t-on que ce n’est pas parce qu’on s’adresse en priorité à un jeune public qu’on est autorisé à faire de la m… Tous les cinéastes qui ont adapté JK. Rowling à l’écran ont su offrir des spectacles grandioses et intelligents, alors, pourquoi pas PEF ? En dehors du fait que les différentes vengeances atteignent des records d’invraisemblance, le film dans son ensemble, est laid. A l’instar des personnages, tout est moche et une méchanceté ambiante et généralisée – sans compter une bêtise pesante -, réduit considérablement les possibilités d’évolution dans le scénario. Donc, à part un petit twist décalé à la toute fin, on n’y croit pas un instant tant tout sonne faux, comme les postiches ridicules dont les acteurs et actrices sont affublés pendant une bonne partie de ce qu’on a du mal à désigner par le mot « film ». Une fois de plus, Christian Clavier s’est compromis dans ce genre de comédie indigne. Tout comme Isabelle Nanty, que je n’avais jamais vue aussi mauvaise. – Je sais que les maquilleurs peuvent faire des miracles, mais voir Nanty jouer la mère de Clavier alors qu’elle à près de 15 ans de moins que lui… là non plus, ça ne marche pas -. On pourra sauver la fantaisie de la canadienne Jennie-Anne Walker, et c’est tout, car tous les autres sont entraînés par le maelstrom de mauvais goût qui aspire le film vers les tréfonds. Si vous voulez quend même voir ce film, faites vite, il ne restera sûrement pas longtemps à l’affiche… et ce ne sera que justice.
La bande annonce est sympa ! Je me suis laissée tenter et...c'est nul ! On s'ennuie, c'est mal construit, c'est forcé. Dans la salle personne ne riait, quelle tristesse ! Un téléfilm qui passerait en 1ère diffusion sur Guilli....et encore :( Donc 4 élèves qui faisaient des bêtises, 3 vengeances et des ressorts comiques qui sont rouillés. 2/5
PAF repart pour une nouvelle comédie et après le catastrophique "Gaston Lagaffe"je m'attendais pas à grand chose. Disons que ce n'est pas la même daube que le film cité plus haut, cela reste un film sympatoche dans son ensemble. J'ai trouvé que l'idée de ce venger de ces mioches et la façon dont cela se passe reste pas trop mal. Trouvez que Clavier cabotine trop , il gesticule pour pas grand chose par moment, Nanty mouais donne pas de plus au film mais aller cela passe. Ce que j'ai trouvé dommage c'est de pas être aller au bout de l'idée de nous pondre un moment "mielleux" , histoire d'attendrir le spectateur que nous sommes et cela casse le rythme totalement!!!! Déjà que c'était pas génial mais ce final piou surtout qu'ils auraient pu aller au bout de cette vengeance tout en mettant la scène du pardon pour faire "bienveillant"...dommage. Et preuve que c'est pas une grande réussite, pas entendu rire, même la petite qui était venu. NOTE : 3/10
Un naufrage cinématographique : Les Vengeances de Maître Poutifard
Les Vengeances de Maître Poutifard est un film qui non seulement déçoit, mais qui illustre également la médiocrité croissante de Christian Clavier en tant qu'acteur. Ce long métrage est un exemple flagrant de la décadence du cinéma français, un naufrage artistique qui laisse le spectateur avec un goût amer.
Dès les premières minutes, il devient évident que Les Vengeances de Maître Poutifard manque cruellement de qualité. Le scénario est chaotique, incohérent et dépourvu de tout intérêt. Les personnages sont mal développés, leurs motivations sont floues et les relations entre eux sont artificielles. On a l'impression que le script a été écrit à la hâte, sans aucune réflexion ni profondeur.
Mais le plus grand échec de ce film réside dans la performance de Christian Clavier. Autrefois talentueux et capable de susciter l'admiration du public, Clavier semble avoir perdu tout son élan créatif. Son interprétation dans Les Vengeances de Maître Poutifard est terne, sans passion et dépourvue de toute émotion réelle. Il se contente de répéter les mêmes mimiques et intonations de voix qu'il a utilisées dans d'anciens rôles, sans ajouter de nuances ou de profondeur à son personnage.
Cette médiocrité de Clavier dans le film est d'autant plus décevante lorsque l'on se remémore certains de ses rôles mémorables dans des comédies françaises à succès. Des films tels que Les Visiteurs ou Les bronzés ont montré son talent pour le timing comique et sa capacité à incarner des personnages drôles et attachants. Malheureusement, dans Les Vengeances de Maître Poutifard, il semble avoir abandonné tout effort et toute volonté de livrer une performance digne de son héritage cinématographique.
En ce qui concerne le cinéma français dans son ensemble, ce film est une triste illustration de la stagnation créative qui semble le frapper ces dernières années. Les Vengeances de Maître Poutifard n'est qu'un exemple parmi tant d'autres de la multiplication des productions médiocres et sans originalité qui inondent les écrans. Il est décourageant de constater que l'industrie cinématographique française semble manquer d'idées novatrices et se reposer sur des formules éculées.
En conclusion, Les Vengeances de Maître Poutifard est un véritable désastre cinématographique. Son scénario faible, sa performance décevante de Christian Clavier et son manque d'originalité font de ce film une expérience insipide et frustrante. Il est temps que le cinéma français retrouve son élan créatif et cesse de se reposer sur des succès passés. Les spectateurs méritent mieux que ce genre de productions médiocres qui contribuent à l'affaiblissement de l'industrie cinématographique nationale.
Cette comédie ne vol pas haut, mais pourtant ce n'est pas du tout un film nul
Résumé : Robert Poutifiard est instituteur en école primaire. Durant une année, quatres élèves de CM2 lui on fait la misère, jusqu'au point de détruire son couple. Alors, ils s'est mis en tête plus tard de se venger. 20ans après, nous retrouvons les Vengeances de cette instituteur avec pour complice sa maman.
Qu'on soit bien d'accord, ce n'est pas la meilleure comédie de l'année et ni la meilleure comédie de Christian Clavier. Je ne suis pas du tout entrain de dénigrer le film. Au contraire c'est une comédie française qu'on aura plaisir de regarder même si nous n'aimons pas les gags, les répliques ou scène du film. Comédie simplet et légère qui nous fera sourire ou rire mais sans arriver à l'extase du rire. C'est dommage. Surtout qu'après la première vengeance du maître Poutifiard, on aura quelques sourires ou rire mais pas autant que la première partie du film (en tout cas pour ma part) Mais tout de même de bons points ressortent. La première vengeance est tout de même bien écrite et réalisé. C'est pour moi le meilleur moment. Le jeu de Christian Clavier est top et c'est ceci qui permet au film d'être cool, car même si quelques gags et scène sont bien, je pense pas que cela aurait été apprécié. On voit que Christian Clavier sait tout de même amusé sur le tournage, cela ce ressent. Le rôle d'Isabelle Nanty change, ça fait du bien. Car elle est toujours attribué aux Tuches qui n'est pour moi, pas l'un de ces meilleurs rôles. Enfin, la dernière vengeance, qui se base plus sur la moralité plutôt que la comédie me laisse perplexe. Certes c'est bien, le fait que mette en avant :
SPOILERS : Un enfant malade auquel sa mère cherche juste à le protèger en chantant. Ce qui va rendre impossible cette vengeance pour l'instituteur car il va être touché par cette situation.
Mais pour moi c'est pas assez poussé. On aurait pu aller plus loin sur le sujet, tout en gardant l'effet comique. Oui, on perd le charme comique de ce film en mettant en avant ce côté dramatique, mais pour moi au contraire, cela aurait pu être d'autant plus intriguant si le mélange comique et dramatique était plus travailler. (Même si le film n'est pas dramatique de base)
Il faut savoir aussi, que ce film est tiré d'un livre du même nom. À savoir si le film est meilleur ou non que le livre et si il le retrace bien.
En tout cas PEF, nous offrent une nouvelle comédie humoristique, dans lequel on retrouve sa touche d'humour. Un peu du revu avec les deux films "Les Profs". Des gags et scène ne faisant que sourire et un pon longuet à partir de la deuxième vengeance. On arrivera tout de même à passer un bon moment pour cette comédie familiale. Pour moi ce film nous permet de passer un bon moment, c'est un pari réussi.
Quelle déception ! Le film m'a arraché un demi sourire tout au plus. Le scénario est poussif, lent et les acteurs sont dans la caricature excessive en permanence. Le film avait pourtant du potentiel mais le soufflet est très vite retombé. Une fin de film qui joue la carte de la morale de contes pour enfants, la vengeance ... houuu pas bien !
Les vengeances de maître Poutifard confirme l’indéniable talent de metteur en scène de Pef, après des adaptation très fidèles (mais inégales) des bandes dessinées Les Profs et Gaston Lagaffe. Nous retrouvons d’ailleurs un découpage en petites vignettes soigneusement colorées et cadrées comme emprunté à l’univers de la BD, alors qu’il s’agit d’une adaptation de littérature de jeunesse (Mourlevat) : l’appartement des Poutifard mère et fils où le temps semble suspendu dans les années 70, la salle de classe stéréotypée, la ville à l’architecture flamande que la photographie capte avec élégance. Le principal intérêt du long métrage tient au regard qu’il porte non plus sur les élèves, sujet des Profs, mais sur un professeur des écoles qui a subi son métier davantage qu’il ne l’a apprécié – réalité bien connue mais peu représentée au cinéma, que Pef aborde ici avec ce burlesque qui lui est cher et qui lui permet de traiter un sujet sérieux avec humour. Les moqueries, les manques de respect, les coups bas, tout est catalogué par le premier acte puis répété sous l’aspect de flashbacks traumatiques qui s’incarnent dans la pièce secrète de l’enseignant, véritable base de données où se décante sa vengeance. L’application de cette dernière promet une suite de gags souvent drôles qui s’emparent de thématiques sociales telles que les réseaux sociaux et leurs influenceurs, la haute gastronomie et sa course autoritaire aux étoiles, la chanson pop sans parole ni voix véritables – mais avec beaucoup de cœur ! – pour mieux, lors d’un retournement de situation, révéler aux instigateurs la vacuité profonde d’une entreprise qui rejoue gratuitement la violence et, ce faisant, l’entretient. La réconciliation dans les coulisses d’un spectacle musical nous touche par sa simplicité et sa brièveté, renvoyant dos à dos élèves et professeur, rappelant aux uns la culpabilité depuis portée et à l’autre la nécessité de savoir pardonner à ceux et celles qui ne restent que des enfants. Cette clausule positive ne condamne nullement le film à l’optimisme, doctrine à la mode aujourd’hui qui rendait le dernier Dany Boon si pénible, mais rétablit un sentiment d’égalité et de justice qui réconforte en ces temps politiques troublés. Bien écrit et réalisé, Les vengeances de maître Poutifard bénéficie enfin de l’interprétation réjouissante de Christian Clavier et d’Isabelle Nanty, duo attachant et énergique. Une excellente surprise qui témoigne de la survivance d’un cinéma populaire de qualité, à l’heure où le passable Indiana Jones 5 fait claquer son fouet sans jamais y croire.
Film sympathique le duo .Isa. Nanty et C. Clavier fonctionne à merveille , pour le pire et le meilleur des vengeances de Maitre Poutifard avec ces jeunes élèves devenus adultes. Des bons gags avec un scénario cohérent.
Ce n'est évidemment pas le film du siècle. Mais on passe un bon moment, à condition - ce qui est mon cas - d'aimer Clavier et Nanty. L'atmosphère dégagée par le film est assez étrange : on est loin de la réalité, dans un univers un peu onirique, presque dans un univers de conte, d'autant plus que l'image est plutôt terne, comme filtrée, ainsi qu'on le voit dans certains films fantastiques. Les deux premières vengeances - la toute première surtout - sont fort réussies. Dommage que la troisième tourne court et nous renvoie à un mélodrame édifiant sur fond de morale bien pensante. Au bout du compte, une comédie dans la moyenne, avec un petit plus : il n'y a - comme toujours avec Clavier - aucune vulgarité et les dialogues sont bien ficelés.
je ne regarde pas du cinéma aussi débile, le pitch est affligeant. je suis étonné de ne pas y voir Danièle Laroque ou Sandrine Kimberlain. Quant à Clavier, c' est un acteur de série Z, ce genre de scénario est à sa portée. Le cinéma français est mort et seul Dupontel ou Geney sauvent la mise.
Nous avons trouvé ça nul. A part Clavier dont le jeu d'acteur est immuable, le reste est affligeant de vide, humour potache en dessous du niveau de la mer ....