Les Vengeances de Maître Poutifard : Critique presse
Les Vengeances de Maître Poutifard
Note moyenne
2,0
5 titres de presse
Télé 2 semaines
Télé Loisirs
La Voix du Nord
Le Parisien
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Télé 2 semaines
par Olivier Rajchman
Christian Clavier joue formidablement la rancœur survoltée et le duo qu'il forme avec sa mère (Isabelle Nanty) est cruel et savoureux.
Télé Loisirs
par Olivier Rajchman
La première partie de cette comédie cartoonesque est jubilatoire. [...] Dommage qu'au final la méchanceté se teinte de morale et que l'acide se dilue dans l'eau de rose.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une sorte de « Ducobu » à l’envers, sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Renaud Baronian
Non, à part un chien sympathique mais martyrisé par le scénario, il n’y a rien à sauver de cette sinistre farce mesquine qui donne une image désastreuse de l’Éducation nationale et de ceux qui en sont les héros obstinés : à fuir !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Nicolas Didier
Une comédie anti-jeunes et anti-woke, aussi pénible que deux longues heures de colle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé 2 semaines
Christian Clavier joue formidablement la rancœur survoltée et le duo qu'il forme avec sa mère (Isabelle Nanty) est cruel et savoureux.
Télé Loisirs
La première partie de cette comédie cartoonesque est jubilatoire. [...] Dommage qu'au final la méchanceté se teinte de morale et que l'acide se dilue dans l'eau de rose.
La Voix du Nord
Une sorte de « Ducobu » à l’envers, sans surprise.
Le Parisien
Non, à part un chien sympathique mais martyrisé par le scénario, il n’y a rien à sauver de cette sinistre farce mesquine qui donne une image désastreuse de l’Éducation nationale et de ceux qui en sont les héros obstinés : à fuir !
Télérama
Une comédie anti-jeunes et anti-woke, aussi pénible que deux longues heures de colle.