Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Corentin Lê
À mi-chemin entre le documentaire animalier et le cinéma expérimental, "Il fait nuit en Amérique" pose un regard alerte sur les conditions matérielles d’existence de la faune tout en restant attentif aux dynamiques plus strictement esthétiques du monde animal.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Une balade dans un entre-deux aussi poétique qu'éphémère, où le règne animal reprend timidement ses droits.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Cl. F.
Afin d’obtenir une atmosphère crépusculaire, Ana Vaz a opté pour des pellicules périmées, susceptibles de modifier le grain ainsi que la texture des couleurs. Pour la cinéaste, prise de vues rime avec prise de risque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Robin Vaz
Dans la pénombre artificielle de la nuit américaine, Ana Vaz invente une fable alternative, à la fois atmosphérique et fantastique, qui recompose le monde moderne en se détachant du point de vue anthropocentrique habituel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Le cinéma d’Ana Vaz affirme sa place technique et politique, dans le domaine précis du perceptible et de l’imperceptible, sur le front mondial de la lutte pour la vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Une expérience formelle absolue dans laquelle Ana Vaz hybride le documentaire animalier et le cinéma expérimental.
Télérama
par Pauline Demange-Dilasser
Dans sa recherche visuelle autant que dans son propos, Il fait nuit en Amérique est une expérience de cinéma aussi étrange que bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Une oreille qui se dresse, une tête qui se tourne, une paupière qui s’abaisse : la durée des plans laisse par moments entrevoir ce qui tisse le « monde propre » (l’« Umwelt », selon le biologiste Jakob von Uexküll) de chaque animal. La cinéaste scrute les yeux, tantôt pour déceler des affects, tantôt pour établir une forme de réciprocité du regard.
Première
par Emma Poesy
Porté par sa photographie somptueuse, ce documentaire restitue avec beaucoup de grâce les tensions entre une urbanisation devenue folle et la faune silencieuse qui perd, peu à peu, son droit de cité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
La plasticienne Ana Vaz interroge la place des animaux sauvages exilés dans la ville de Brasilia et propose une expérience sensorielle faite de fragments hétéroclites et d’images hypnotiques, sans support intellectuel clair. Au spectateur d’y trouver son compte.
Critikat.com
À mi-chemin entre le documentaire animalier et le cinéma expérimental, "Il fait nuit en Amérique" pose un regard alerte sur les conditions matérielles d’existence de la faune tout en restant attentif aux dynamiques plus strictement esthétiques du monde animal.
Ecran Large
Une balade dans un entre-deux aussi poétique qu'éphémère, où le règne animal reprend timidement ses droits.
Le Monde
Afin d’obtenir une atmosphère crépusculaire, Ana Vaz a opté pour des pellicules périmées, susceptibles de modifier le grain ainsi que la texture des couleurs. Pour la cinéaste, prise de vues rime avec prise de risque.
Les Inrockuptibles
Dans la pénombre artificielle de la nuit américaine, Ana Vaz invente une fable alternative, à la fois atmosphérique et fantastique, qui recompose le monde moderne en se détachant du point de vue anthropocentrique habituel.
Libération
Le cinéma d’Ana Vaz affirme sa place technique et politique, dans le domaine précis du perceptible et de l’imperceptible, sur le front mondial de la lutte pour la vie.
Transfuge
Une expérience formelle absolue dans laquelle Ana Vaz hybride le documentaire animalier et le cinéma expérimental.
Télérama
Dans sa recherche visuelle autant que dans son propos, Il fait nuit en Amérique est une expérience de cinéma aussi étrange que bouleversante.
Cahiers du Cinéma
Une oreille qui se dresse, une tête qui se tourne, une paupière qui s’abaisse : la durée des plans laisse par moments entrevoir ce qui tisse le « monde propre » (l’« Umwelt », selon le biologiste Jakob von Uexküll) de chaque animal. La cinéaste scrute les yeux, tantôt pour déceler des affects, tantôt pour établir une forme de réciprocité du regard.
Première
Porté par sa photographie somptueuse, ce documentaire restitue avec beaucoup de grâce les tensions entre une urbanisation devenue folle et la faune silencieuse qui perd, peu à peu, son droit de cité.
Les Fiches du Cinéma
La plasticienne Ana Vaz interroge la place des animaux sauvages exilés dans la ville de Brasilia et propose une expérience sensorielle faite de fragments hétéroclites et d’images hypnotiques, sans support intellectuel clair. Au spectateur d’y trouver son compte.