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    Pas de vagues
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    Sdugomme
    Sdugomme

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2024
    Ce film est une pépite, passionnant du début à la fin, émouvant, brillant. François Civil est exceptionnel dans son rôle.
    Pierrot
    Pierrot

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2024
    Pas grand intérêt, le film nous laisse sur notre faim sans vraiment nous emporter, malgré un super François Civil certaines scènes manquent de crédibilité. À voir si le synopsis vous intéresse.
    AdrienPhilosophie
    AdrienPhilosophie

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2024
    Pas de vagues dénonce l'inertie dont peut faire preuve l'Éducation Nationale lorsqu'un enseignant est mis en cause ou rencontre des difficultés dans son travail.
    On y découvre un jeune enseignant - excellemment joué par François Civil - accusé par l'une de ses élèves de harcèlement sexuel, et qui s'enfonce dans le désespoir à mesure que ses collègues, son proviseur et le rectorat le lâchent, les uns après les autres, face aux intimidations, aux attaques et aux violences dont il est la cible.

    Le déroulement du récit permet d'appréhender cette mécanique infernale dans toutes ses articulations, et de montrer l'ampleur des dysfonctionnements académiques dans cette affaire - inspirée d'une histoire vraie, celle du réalisateur, qui sont en grande partie imputés à la volonté de l'institution d'éviter toute mauvaise publicité : "Pas de vagues".

    Pour autant, cette dénonciation est totalement décrédibilisée par la sélection d'un exemple impliquant une fausse accusation de harcèlement sexuel par une élève décrite comme une affabulatrice en quête d'attention.
    Le film devient alors porteur d'un second message - qui selon la sensibilité du spectateur pourra passer au premier plan - mettant en cause la libération de la parole des victimes de violences sexistes et sexuelles.

    Quel gâchis, et pourquoi ce choix ? Je ne me l'explique pas, sauf à croire que Teddy Lussi-Modeste avait la volonté d'attaquer à la fois l'Éducation Nationale et le mouvement féministe MeToo.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    118 abonnés 342 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2024
    A vu "Pas de vagues" de Teddy Lussi-Modeste. Les problèmes structurels et fondamentaux de l'Education Nationale sont ils proportionnels au nombre de films actuellement sur les écrans qui les dénoncent ? Probablement ! Après l'excellent (pour moi) film allemand "La Salle des Profs", le moins réussi mais plus collectif "Un métiers sérieux" de Thomas Lilti, voici une autre proposition tout aussi intéressante avec ce long métrage, en attendant encore dans les mois à venir de nouveaux films sur le même sujet. "Pas de vagues" a en commun avec "La salle des Profs" l'ambiance anxiogène crescendo, la solitude d'un prof seul face à une classe de plus en plus hostile. Teddy Lussi-Modeste s'est inspiré de sa propre expérience de professeur pour écrire le scénario de son film. Il ne se donne pas toujours la part belle partant d'un bon mais naïf et incompréhensible sentiment de vouloir récompenser ses élèves de 4ème d'avoir bien travaillé, Julien (Teddy Lussi-Mideste) jeune prof de lettres, invitent au restaurant certains d'entre eux. Plusieurs ne comprennent pas le geste quand d'autres se sentent floués... à partir de ce moment Julien ne pourra presque plus enseigner dans des conditions normales et va être accusé par une élève d'harcèlement. La direction, les collègues, le rectorat... personne ne le soutient et tous sont unanimes sur la marche à suivre : "Pas de vagues". Le rythme est haletant, le scénario judicieusement écrit. La caméra suit au plus près François Civil qui se retrouve isolé et enfermé dans son drame et par les murs du collège qui deviennent de plus en plus ceux d'une prison où l'atmosphère est explosive et l'énergie négative palpable. François Civil compose grâce à cette partition originale une interprétation dense, concentrée, puissante, vulnérable et très juste. C'est la première fois que je le trouve si intense et si bon comédien. Dans le rôle de Julien il est idéal et parfait. Le film lui doit beaucoup. Les seconds rôles sont bien caractérisés en évitant toujours la caricature. Très beau travail sur le casting de jeunes qui interprètent avec fougue et justesse les élèves ingérables et solidaires. Alors qu'on entend aux informations que des proviseurs démissionnent alors qu'ils sont victimes de faux témoignages d'élèves les accusant d'agression, que des professeurs sont assassinés à cause du contenu de leur enseignement, ce film permet de mettre des images justes et effrayantes sur des faits quotidiens qui dépeignent avec pudeur une réalité jusqu'à il y a peu balayée sous le tapis par les institutions et le Ministère. La mise en scène est un peu convenue mais ne tombe jamais dans la catégorie téléfilm. "Pas de vagues" est un bon film non sans défauts (la scène finale est incompréhensible par exemple) qui soulève des questions sans jamais y répondre (dommage). Entre autre "Pourquoi en 2024 est il devenu de plus en plus impossible de faire étudier les poèmes de Ronsard, de montrer des tableaux baroques, avec des muses dénudées...."
    joelle g
    joelle g

    92 abonnés 879 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2024
    Tiré d’une histoire vraie , ce film décrit avec justesse et beaucoup de pudeur la descente aux enfers d’un professeur de français accusé par une de ses élèves de comportement inapproprié…..il se retrouve seul face à la société , non soutenu par l’institution ÉDUCATION NATIONALE ….ne pas faire de vague….
    François Civil , tout en retenu , colle à la peau de Julien qui ne sait que faire une fois tombé , malgré lui , dans ce tourbillon….broyé par le système….pourtant il voulait juste «  être un professeur dont on se souvient »…
    Ce film tombe à point nommé alors qu’un proviseur d’établissement vient de démissionner suite à des menaces de mort….
    Corinne76100
    Corinne76100

    51 abonnés 322 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2024
    Quelle force de ce film ! Histoire très bien interprétée où l'on sent la tension monter au fur et à mesure.
    Marie-Ange Coste-chareyre
    Marie-Ange Coste-chareyre

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2024
    Bravo à François Civil qui est excellent dans ce rôle ! Film qui donne à réfléchir pour éviter les dérives de la société actuelle
    Yves G.
    Yves G.

    1 511 abonnés 3 530 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2024
    Julien (François Civil) est un jeune et enthousiaste professeur de français. Dans le collège de banlieue où il est affecté, il essaie de transmettre sa passion à ses élèves, pas toujours faciles. Mais un beau jour, Leslie, une élève taiseuse, écrit une lettre à la CPE : elle reproche à son professeur de lui avoir fait des avances. Bientôt une plainte est déposée à la police. Très vite, Julien se retrouve seul face à ces accusations infondées : face au frère aîné de Leslie, un voyou psychopathe qui le menace de mort, face à la police qui refuse d’enregistrer sa propre plainte, face aux autres parents d’élèves parmi lesquels la suspicion monte, face à ses collègues qui, après lui avoir spontanément manifesté son soutien, remettent en cause ses méthodes pédagogiques transgressives, face à son directeur enfin qui rechigne à lui accorder la protection fonctionnelle qui lui permettrait de payer un avocat pour sa défense…

    La salle de classe est devenu le lieu où se cristallisent bon nombre de tensions qui traversent nos sociétés. Les questions de laïcité, de masculinité, d’autorité sont plus brûlantes qu’ailleurs dans ce lieu où est censée régner l’égalité républicaine et où chaque parent nourrit l’espoir légitime que son enfant trouvera l’éducation qui lui permettra de trouver sa place dans le monde.

    Le cinéma a toujours été un miroir tendu à notre société. Il le montre en multipliant ces jours-ci les films sur l’école : l’excellent film allemand "La Salle des profs", que je recommande chaudement, le hongrois "L’Affaire Abel Trem", sorti le même jour que "Pas de vagues", et que j’irai voir ce week-end, en attendant le belge "Un esprit libre" programmé le 17 avril.

    Pas de vagues est un film d’une brûlante actualité. Il résonne avec le mouvement #MeToo. Il en est d’ailleurs devenu, à son corps défendant, une cible : l’annonce de sa sortie a suscité ses critiques, le reproche étant fait à son scénario de minorer la voix de la jeune victime qui dépose plainte contre son professeur. Il résonne aussi avec l’inquiétude grandissante dans le corps enseignant d’être désormais la cible d’une violence aveugle : les assassinats de Samuel Paty en 2020 et de Dominique Bernard en 2023 l’ont dramatiquement montré. Pas plus tard que cette semaine, un fait divers fait la une de la presse et provoque même une sortie du Premier ministre au 20 heures mercredi dernier : le proviseur du lycée Maurice-Ravel à Paris, menacé de mort sur les réseaux sociaux pour avoir demandé à une élève de retirer son voile, qui avait déposé une plainte vite classée sans suite mais montée en épingle, a préféré démissionner de ses fonctions.

    C’est cet étouffant engrenage que raconte non sans efficacité "Pas de vagues". Des faits anodins sont grossis pour transformer un jeune professeur plein de zèle en suspect sinon en coupable. Chaque tentative qu’il entreprend pour s’innocenter l’enfonce un peu plus. Les appuis sur lesquels il espérait pouvoir compter lui font défaut l’un après l’autre.

    On ne saurait reprocher au film un quelconque manichéisme. Julien, interprété avec la fougue toute mousquetairienne qu’on lui connaît et le charme de Julien Civil, a eu le tort de vouloir travailler « hors du cadre ». La jeune Leslie quant à elle n’est pas une mythomane. Même si elle s’est trompée sur l’attitude de son professeur, sa parole doit être entendue.

    Plutôt que son manichéisme, c’est par sa prévisibilité que "Pas de vagues" pèche. Ce film se réduit à un seul argument : un enseignant, lâché par sa hiérarchie, se bat sans succès contre l’accusation infondée d’une de ses élèves. Dès le pitch, dès la bande-annonce, tout est écrit. Et tout se déroulera sans surprise jusqu’à un dénouement frustrant qui nous laissera sur notre faim/fin. La Salle des profs précité était autrement plus riche grâce à toutes les bifurcations inattendues qu’il savait ménager.
    Jean-Christophe NGUYEN LE
    Jean-Christophe NGUYEN LE

    15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2024
    Bon film
    Qui met en avant une situation malheureuse en France et peut-être même en Europe.
    L'acteur principal joue bien.
    Ce film nous parle du manque de courage d'une institution face aux problèmes de violences.
    ELIANE Tondeur
    ELIANE Tondeur

    5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2024
    Magnifique film inspiré d'une histoire vraie ! Interprétation magnifique par François Civil, excellent acteur dans tous ses rôles ! A noter également, les très bons jeunes acteurs du film ! Je recommande à 100% !
    The Mister Movie
    The Mister Movie

    60 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2024
    Avec “Pas de vague “ Teddy Lussi-Modeste s’inspire de sa propre vie en mettant en scène François Civil qui l’incarne à merveille dans ce personnage nommé Julien un professeur de lettres qui nous fait plonger dans sa dépression suite à l’accusation d’une élève. Teddy Lussi-Modeste et Audrey Diwan ont rédigé le scénario ensemble. Shaïn Boumedine et Mallory Wanecque du casting secondaire ont réussi à se faire remarquer grâce à leur performance. Le film est un genre de thriller dépressif qui nous plonge dans l'harcèlement, mais aussi avec le professeur et les personnes qui en subissent les conséquences. La mise en scène est plutôt classique, avec quelques idées originales par moments. La musique est un élément clé du film, ce qui nous plonge dans l'intrigue.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    349 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2024
    "Pas de vagues" est inspiré d'une histoire vrai celle du réalisateur par ailleurs enseignant dans le secondaire.
    Le film a les défauts de ses qualités.
    Engagé mais manquant de profondeur, bien interprété mais créant un malaise, le personnage principal attirant tout autant notre compassion que notre agacement ( on a un peu envie de le secouer à certains moments de l'intrigue).
    Sa principale qualité est de poser l'ensemble des éléments du débat sur la table et son principal défaut est de ne pas proposer de direction claire ou de solutions possibles à ce qu'il dénonce.
    On sort donc un peu sur notre faim d'autant que la dernière séquence qui semble montrer la sincérité de l'enseignant dans le domaine privé ne règle aucun des récits développé dans le film.
    Eric Montialoux
    Eric Montialoux

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2024
    Film bien dans notre actualite,on voit la lachete de l administration,on voit aussi la folie de notre societe .
    Celui qui accuse a raison ,on oublie la presomption d innocence,on voit egalement le role mortifere des reseaux sociaux.
    On se demande si il va supporter la pression,il pose egalement le choix du suicide...
    Ca ne vaut pas les risques du metier avec jacques brel,mais c est un film a ne pas negliger
    Je dis bravo a nos profs pour supporter ce climat qui est bien reel malheureusement
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    784 abonnés 1 542 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2024
    Malgré quelques défauts, ce film dramatique tiré de l'histoire réellement vécue par le réalisateur Teddy Lussi-Modeste m'a véritablement secoué et halluciné !
    Comment ce professeur investi, dévoué, créatif et tentant d'aider ses élèves en difficulté avec les meilleurs intentions du monde, peut-il se retrouver dans une telle situation dramatique en étant accusé de harcèlement ??
    Cette oeuvre égratigne une école semblant totalement perdue et dépassée face à la perte générale d'autorité et de repères de notre société, elle n'oublie pas de dénoncer au passage l'immobilisme choquant des différentes instances dirigeantes de notre institution éducative !
    Un film coup de poing sur les dérives autoritaires et procédurières de notre monde actuel, porté par un François Civil encore une fois excellent.
    Une claque qui pique les tripes et qui agace l'âme !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Jean Baptiste P.
    Jean Baptiste P.

    3 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mars 2024
    Je l'ai trouvé léger pour un film censé être dur. Le prof est utopiste et finit par le regretter. Un peu trop woke sur les bords également.
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