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Un film qui fait ouvrir les yeux sur tout un tas de problèmes au collège, sur le respect la vie privé et la relation professeurs / élèves..
Même si l’histoire est prenante par moment le scénario et la mise en scène fait un peu trop feuilleton.
Sans être ému mais une histoire prenante et qui montre surtout à quel point notre société laisse certains soucis dans l’éducation nationale de côté.
Ou comment l’élève a le pouvoir sur le professeur, et qu’avec beaucoup de mauvaises volontés et de l’irrespect : il peut faire ce qu’il veut. En dessous de « la salle des profs » on rentre moins dedans mais malgré tout François civil reste très bon dans son rôle, et signe ici un beau rôle, la fin est géniale !
Même si l’histoire est prenante par moment le scénario et la mise en scène fait un peu trop feuilleton.
Sans être ému mais une histoire prenante et qui montre surtout à quel point notre société laisse certains soucis dans l’éducation nationale de côté.
Ou comment l’élève a le pouvoir sur le professeur, et qu’avec beaucoup de mauvaises volontés et de l’irrespect : il peut faire ce qu’il veut. En dessous de « la salle des profs » on rentre moins dedans mais malgré tout François civil reste très bon dans son rôle, et signe ici un beau rôle, la fin est géniale !
Rien de nouveau, vu et revu avec les clichés habituels et les "passages obligés" de notre époque... Bref, pour passer le temps et si vous avez une carte d'abonnement uniquement. PS : pourtant j'adore François Civil
Ce film est saisissant !
On sent bien l'engrenage s'enclencher dès le début puis tout va crescendo. On est alors traversés par une multitude d'émotions et de sentiments qui serrent la gorge et le ventre.
Le jeu des acteurs est formidable.
On sent bien l'engrenage s'enclencher dès le début puis tout va crescendo. On est alors traversés par une multitude d'émotions et de sentiments qui serrent la gorge et le ventre.
Le jeu des acteurs est formidable.
Je n'ai qu'un mot: excellent.... Tout est excellent ds ce film, profondément réaliste et juste !!! Excellent le jeu de François Civil, littéralement habité par son personnage de prof au bord du gouffre, et en tant qu'enseignante moi-même, sur le point de quitter le métier car à bout moi aussi, je suis honorée et fière qu'il se soit approprié notre quotidien aussi brillamment !!! Excellent le réalisme, du langage vulgaire et insultant des élèves, tjrs sans filtres, en passant par les fractures intra-enseignants si mortifères, sans oublier la lâcheté, caractéristique et caractérisée, tellement qu'elle en devient criminelle, d'une direction et d'une Éducation Nationale politisée qui coule sous la honte, le mensonge et le DÉNI..... Excellent de vérité, celle que personne ne veut voir, à part p.être ce formidable réalisateur, cette vérité d'un prof, parmi les rares ayant encore la sacro-sainte "Vocation", qui s'effondre à son tour, ds le désespoir infini du "rien voir, rien dire, rien entendre" pervers et généralisé..... Bref, un film ABSOLUMENT ESSENTIEL, sur cet immense tabou sociétal..... enfin.....
Très bon film qui explique à travers ses dialogues la complexité de la fonction.
L engrenage,les petites lachetees de chacuns.
L engrenage,les petites lachetees de chacuns.
De très beaux idéaux du personnage principal, qui se fracassent sur le mur de la réalité... Honnêtement, pourquoi se donner autant de mal, en sortant du film, on a juste envie de laisser toutes ces personnes dans leur merde...?
Quelle horreur c'est devenu ce métier, et quel courage il faut encore pour le faire, ça, le film vous le fera prendre conscience...
Quelle horreur c'est devenu ce métier, et quel courage il faut encore pour le faire, ça, le film vous le fera prendre conscience...
Excellent film d'actualité. François Civil est très crédible dans son rôle de prof dépassé par des accusations délirantes, non soutenu par sa hiérarchie, lâché par ses collègues, face à ces ados machiavéliques. Rythme crescendo du film, on souffre de concert avec cet enseignant modèle mais naïf.
Bien que la forme puisse être un peu poussée (gros plans à répétitions, jeux de lumières à tout va), on retiendra ici le fond qui s'empare de plusieurs sujets de sociétés (et d'actualité). "Pas de vagues" frappe donc par son angoisse qui monte au fur et à mesure du récit, faisant ressurgir un malaise profond.
Narcisse chez les cannibales, la déroute mécanique et crépusculaire d'un jeune professeur qui découvre que l'enfer est réellement pavé de bonne intention. Il se crispe dans l'arrogance, puis s'enfonce dans la peur et la paranoïa. Un super film de recrutement pour l'éducation nationale.
Un film plus que crédible dans le monde de l'éducation nationale en banlieue parisienne où François Civil interprète un prof de français qui se fait accuser de harcèlement. Le thème est plus que dans l'air du temps à l'heure des confrontations profs élèves quand ce n'est pas entre ados eux-mêmes, agités et provocateurs. Teddy Lussi-Modeste a un regard juste. Regard qui nous laisse plus que perplexe face aux défis de l'enseignement à notre époque si complexe. A voir !
Ce drame montre justement le mécanisme qui broye un homme à cause d'un "malentendu". Ce qu'il montre d'une jeunesse bien pauvre d'esprit a de quoi effrayer. Le drame humain qui touche ce prof vaillant et concerné est bien moins sidérant que le drame social qui se joue dans nos banlieues. Le harcèlement dont est victime notre brave prof est pertinent et le mécanisme est parfaitement construit. Maintenant, le film ne parvient pas totalement à ses fins d'où une certaine frustration à la fin... Le film ne trouve pas le ressort suffisant pour atteindre un point d'encrage qui lui donnerait une certaine plénitude. On en ressort un peu lessivés, preuve que l'effet souhaité est néanmoins réussi.
Bienvenue dans la fabrique des c.... qui tente de se faire forte, puis qui faiblit pour finir par totalement capituler. Comme d'habitude les ados voyous sont plus « natures » que jamais et les profs tombent de haut.
Rien de neuf sous le soleil....
Rien de neuf sous le soleil....
Un vrai chef d’œuvre ! Bouleversant émouvant ! Choix des musiques est excellent ! François civil joue très bien son rôle ! Un peu déçue de la fin qui laisse perplexe
François Civil.
Très bon film sur une une société (école comme la vie hors les murs), qui a force de ne pas vouloir être responsable de quoi que ce soit par manque de courage et de se protéger en permanence par peur du scandale, ne protège personne professeurs comme enfants.
François Civil tout en sobriété intelligente sans artifice est superbe avec des acteurs autour au diapason.
Aller voir ce film fort !
Très bon film sur une une société (école comme la vie hors les murs), qui a force de ne pas vouloir être responsable de quoi que ce soit par manque de courage et de se protéger en permanence par peur du scandale, ne protège personne professeurs comme enfants.
François Civil tout en sobriété intelligente sans artifice est superbe avec des acteurs autour au diapason.
Aller voir ce film fort !
Pas de vagues cherche à ériger l'école comme une institution vertueuse, transmetteuse du savoir, sans remise en question de son fonctionnement. Le seul chemin valable pour "éduquer" les élèves retors serait-il de les moucher, de leur tenir tête, de surenchérir ? L'enseignant présenté ici apparaît comme très autoritaire et défenseur de la méritocratie.
Toutefois, on observe l'incompatibilité entre le bon déroulement des cours et les notations permettant aux directeurs des établissements d'en changer. La sollicitation policière, elle, est présentée comme parfaitement inefficace et injuste.
Mais là où le film pose problème, c'est dans la remise en cause de la parole de la jeune fille. À peine a-t-on le temps d'écouter son témoignage que l'on est amenés à rallier le parti de l'enseignant, plaçant le film en récit d'injustice sociale, réglant ses comptes avec le mouvement MeToo. spoiler: Dans le cas présent, il se trouve que la jeune fille reconnaît avoir menti, mais il reste crucial de comprendre que cette résolution est rare, et peut encourager à délégitimer les accusations de harcèlement, qui, le plus souvent, sont fondées
.
Le traitement des personnages féminins pose aussi question. Toutes sont cantonnées à tenir des rôles antagonistes : les deux policières désagréables, l'enseignante accusatrice, la collègue culpabilisante, l'élève calomnieuse et la jeune fille perturbatrice.
Toutefois, on observe l'incompatibilité entre le bon déroulement des cours et les notations permettant aux directeurs des établissements d'en changer. La sollicitation policière, elle, est présentée comme parfaitement inefficace et injuste.
Mais là où le film pose problème, c'est dans la remise en cause de la parole de la jeune fille. À peine a-t-on le temps d'écouter son témoignage que l'on est amenés à rallier le parti de l'enseignant, plaçant le film en récit d'injustice sociale, réglant ses comptes avec le mouvement MeToo. spoiler: Dans le cas présent, il se trouve que la jeune fille reconnaît avoir menti, mais il reste crucial de comprendre que cette résolution est rare, et peut encourager à délégitimer les accusations de harcèlement, qui, le plus souvent, sont fondées
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Le traitement des personnages féminins pose aussi question. Toutes sont cantonnées à tenir des rôles antagonistes : les deux policières désagréables, l'enseignante accusatrice, la collègue culpabilisante, l'élève calomnieuse et la jeune fille perturbatrice.
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