Mourir à Ibiza (Un film en trois étés) : Critique presse
Mourir à Ibiza (Un film en trois étés)
Note moyenne
3,7
12 titres de presse
Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Libération
Marie Claire
Ouest France
aVoir-aLire.com
L'Obs
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Au fil des parenthèses estivales, les liens se nouent et se dénouent. Également placé sous le patronage de Rozier (improvisation et dérives buissonnières), ce film subtil et touchant avance au gré des élans d’une jeunesse contemporaine un peu schlag et aspirant à une utopie collective en rupture avec l’idéal libéral de réussite individualiste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Loin de tout cliché estival et de tout portrait générationnel, Mourir à Ibiza s’offre surtout en incision clairvoyante dans ce moment de la vie où l’esprit se déchire et laisse s’immiscer la folie, la mélancolie, la tristesse, le goût amer de ce qui échappe : l’amitié, l’amour.
Critikat.com
par Marin Gérard
Doutes sentimentaux, ellipses plus ou moins amères entre les étés, changements de coiffure et autres tâtonnements philosophiques : c'est dans les plis du temps que naît l'imparable mélancolie traversant le film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Frais, léger, juste et pas mal habile, Mourir à Ibiza tient admirablement ses presque deux heures, révélant au passage une poignée de jeunes interprètes franchement renversants, à commencer par César Simonot, genre de Wyatt Russell incommodé, et la très énigmatique Elsa Rapu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Ce qu'un certain cinéma naturaliste a de plus léger et primesautier à nous offrir. Rohmer n'est pas loin…
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Thierry Cheze
Une bande de comédiens débutants épatants.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Enfin un film sur une jeunesse d’aujourd’hui qui ne se perd pas dans les clichés et s’illumine au gré de dialogues sensibles et délicats.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Les trois cinéastes, sans chercher à cacher leur inspiration rohmérienne (avec un soupçon de Rozier), saisissent la naissance et la fragilité d’une amitié estivale traversée par un sentiment amoureux qui n’éclot jamais vraiment. L’écriture est subtile, mais la mise en scène un peu linéaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt.
C’est aussi un film malin, stratégique, sachant brandir certains fétiches estampillés Nouvelle Vague pour les appliquer aux jeunes gens d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Trois réalisateurs, trois étés, une fille et trois garçons... Mourir à Ibiza joue la carte de la simplicité et du naturel et se bonifie au fil des années de tournage, jusqu’à enfin nous cueillir. Il faut, pour cela, passer une première demi-heure assez bancale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Une oasis de légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Michel Bezbakh
L’aspect artisanal de ce film en fait finalement le charme. L’amitié, la solitude et le désir se mélangent dans cette subtile mélodie du temps qui passe, du temps qu’il reste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Au fil des parenthèses estivales, les liens se nouent et se dénouent. Également placé sous le patronage de Rozier (improvisation et dérives buissonnières), ce film subtil et touchant avance au gré des élans d’une jeunesse contemporaine un peu schlag et aspirant à une utopie collective en rupture avec l’idéal libéral de réussite individualiste.
Cahiers du Cinéma
Loin de tout cliché estival et de tout portrait générationnel, Mourir à Ibiza s’offre surtout en incision clairvoyante dans ce moment de la vie où l’esprit se déchire et laisse s’immiscer la folie, la mélancolie, la tristesse, le goût amer de ce qui échappe : l’amitié, l’amour.
Critikat.com
Doutes sentimentaux, ellipses plus ou moins amères entre les étés, changements de coiffure et autres tâtonnements philosophiques : c'est dans les plis du temps que naît l'imparable mélancolie traversant le film.
Libération
Frais, léger, juste et pas mal habile, Mourir à Ibiza tient admirablement ses presque deux heures, révélant au passage une poignée de jeunes interprètes franchement renversants, à commencer par César Simonot, genre de Wyatt Russell incommodé, et la très énigmatique Elsa Rapu.
Marie Claire
Ce qu'un certain cinéma naturaliste a de plus léger et primesautier à nous offrir. Rohmer n'est pas loin…
Ouest France
Une bande de comédiens débutants épatants.
aVoir-aLire.com
Enfin un film sur une jeunesse d’aujourd’hui qui ne se perd pas dans les clichés et s’illumine au gré de dialogues sensibles et délicats.
L'Obs
Les trois cinéastes, sans chercher à cacher leur inspiration rohmérienne (avec un soupçon de Rozier), saisissent la naissance et la fragilité d’une amitié estivale traversée par un sentiment amoureux qui n’éclot jamais vraiment. L’écriture est subtile, mais la mise en scène un peu linéaire.
Le Monde
C’est aussi un film malin, stratégique, sachant brandir certains fétiches estampillés Nouvelle Vague pour les appliquer aux jeunes gens d’aujourd’hui.
Les Fiches du Cinéma
Trois réalisateurs, trois étés, une fille et trois garçons... Mourir à Ibiza joue la carte de la simplicité et du naturel et se bonifie au fil des années de tournage, jusqu’à enfin nous cueillir. Il faut, pour cela, passer une première demi-heure assez bancale.
Première
Une oasis de légèreté.
Télérama
L’aspect artisanal de ce film en fait finalement le charme. L’amitié, la solitude et le désir se mélangent dans cette subtile mélodie du temps qui passe, du temps qu’il reste.