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I. GIZ
28 abonnés
109 critiques
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2,5
Publiée le 8 mai 2024
La vraie question, c'est pourquoi faire un biopic d'une chanteuse de jazz connue que par les amateurs de jazz et les bobos qui veulent se donner un genre . Car des vies comme elle , il y en a des millions et c'est une chanteuse qui n'était pas mondialement connue. On fait des biopic sur tout le monde et ça en devient laissant, on accentue le côté dramatique de cette pauvre fille , certes talentueuse mais banale comme il yen a des millions. Bientôt un biopic sur "pascal le grand frère" . Tester de faire l'exercice d'un micro trottoir pour savoir si plus de 10% des gens interrogés la connaissent et qu'il chantent plus de 3 chansons de son répertoire...... Alors le film n'est pas mauvais, bien réalisé, l'actrice tiens son rôle , ça se regarde......mais bon, aucun intérêt. Qu'elle repose en paix.
Le gros point fort du film est l'ambiance et le style, une chanteuse d'un autre temps dans le monde moderne. Et si Marisa Abela s'en tire très bien dans son rôle d'Amy offrant d'incroyable performances vocales qui donne des scènes de chants vraiment percutantes, le film souffre de sérieux problèmes scénaristiques.
Le film est présenté de manière trop lisse, manquant cruellement de profondeur et de la noirceur de son histoire, la face sombre de son histoire d'amour n'apparait presque pas. La descente aux enfers d'Amy semble artificiel, sans connaitre son histoire la conclusion du film pourrait même sembler surprenante. Alors c’est surement une volonté artistique de vouloir la montrer sous un jour meilleur pour qu'on se souvienne d'elle "pour qui elle est" mais je trouve pas que ça lui rende justice.
J'aurais espéré un film plus émouvant et percutant, à la hauteur de la tragédie de son existence mais j'en suis sorti presque indifférent.
Il faut saluer la qualité d’actrice et le fait que celle ci chante dans le film. Oser faire cela compte tenue de la prestance d’ Amy est assez courageux . Cependant même si ce film est un bon film celui ci est une fiction . Il faut prendre celui ci comme étant une histoire . Ce qui me dérange c’est que comme tout biopic celui ci mets en valeurs certaines personnes encore vivantes . De ce fait cela enlève l’hommage qui aurait du être rendu à amy whinehouse . On a l’impression dans le film que c’est son Mari qui a une prise de conscience alors que celui ci l’a détruite . Il a eu jusqu’à la fin un comportement pervers en essayant de revenir et en ne la laissant jamais tranquille . Il Est revenu vers elle pour l’utiliser . A toujours eu une double vie et c’est en s’en rendant compte que celle ci a pris la décision de divorcer . Cela n’est pas de son fait à lui ! De plus le père d’Amy passe pour un père qui a tout fait pour sa fille hors, Il ne l’a pas arrêté de monter sur scène au moment de sa grande détresse parce qu’il fallait monter sur scène pour rentabiliser les concerts . Au moment de sa cure de désintoxication lorsqu’elle est partie sur une île pour se refaire une santé . Elle était heureuse et il est arrivé avec des caméras pour faire de l’argent . Je pense qu’une artiste comme elle méritait plus que ça et pas un film comme celui ci visant à seulement faire de l’argent et mettant en avant des personnes à son détriment . Je pense que pour quelqu’un qui à souffert des médias et du déballage de sa vie en place publique, ce film n’est pas à la hauteur . Je pense que cela ne lui plairait pas et je regrette d’avoir payer pour ça vis à vis d’elle .
« Je dois faire quelque chose de bon à partir de quelque chose de mal. » On dit parfois que les meilleurs artistes sont les plus torturés et Amy Winehouse faisait partie de cette catégorie même si ses démons ne sont pas comparables à ceux qui ont vraiment eu une vie tragique... C'est sur cette descente aux enfers que se focalise le biopic de Sam Taylor-Johnson. Si la carrière et la vie privée de la chanteuse sont indissociables puisqu'elle puise son inspiration dans ce qu'elle vit, et cela donne l'un des meilleurs moments du film quand spoiler: "Back To Black" se lance avec tout ce que cela évoque pour elle , tout ce qui concerne le processus de création musicale est quasiment inexistant. Matt Greenhalgh, le scénariste, met l'accent sur cette histoire d'amour toxique et dangereuse, et spoiler: sur l'impact que cela a eu sur elle au même titre que la perte de sa grand-mère. Si le traitement biographique reste superficiel, je pense que tout ce qui l'a fait basculer est évoqué tout comme l'acharnement grotesque des tabloïds. Il y a donc plus de bas que de hauts, mais quand même quelques beaux moments lorsqu'on découvre une femme forte et sûre d'elle qui n'avait pas envie d'être une simple foutue Spice Girls. Je ne suis pas assez familier avec l'artiste pour savoir si Marisa Abela fait une bonne Amy Winehouse, mais j'ai trouvé sa performance excellente. Au final, c'est plutôt pas mal même s'il n'y a aucune prise de risque.
Une belle reconstitution de la vie d’Amy Whinehouse et sa personnalité complexe et autodestructrice. Une voix merveilleuse portée par une actrice de grand talent , un esprit très anglais aussi. Un beau spectacle visuel et sonore
"Back to Black" très attendu cette année dans les salles, biopic consacré à l'immense Amy Winehouse est un film imparfait mais avec des qualités. En effet la réalisatrice Sam Taylor-Johnson (Cinquante Nuances de Grey) qui s'est fait descendre par la presse, livre aux spectateurs un biopic trop aseptisé, lisse et qui fait parfois téléfilm sur le destin tragique d'une icône légendaire, cependant saluons la performance de Marisa Abela qui vampirise l'écran avec des shows musicaux entrainant, rendant un bel hommage à la chanteuse britannique disparue tragiquement à 27 ans.
Trop lisse, trop distanciel, trop superficiel, le biopic de Sam Taylor-Johnson se sert abondamment de la relation d’Amy Winehouse avec Blake Fielder-Civil (Jack O’Connell) comme fil conducteur. Le scénario ne fait qu’effleurer les addictions de la chanteuse et montre un père (Eddie Marsan) bien "propre" et pas aussi intéressé qu’il ne l’était réellement. Du coup et malgré la très bonne interprétation de Marisa Abela, je n’ai été que moyennement sensible à l’édulcoré « Back to Black » qui subit désavantageusement la comparaison avec le documentaire autrement plus pragmatique d’Asif Kapadia.
Cette Amy Winehouse a des faux airs de Britney Spears, ne trouvez vous pas? Blake Fielder redore son image... mais était-il dans l'ombre de cette production? Back To Black expose la personnalité d'Amy bien avant son idylle et son mariage. Alcoolique par nature pour affronter sa timidité sur scène, on découvre autrement cette jeune artiste, bien plus néfaste pour elle même qu'il n'y paraissait... à travers les images laissées dans le documentaire Amy (2015). Ce biopic de 2024 reinstaure certains faits. Il est certain qu'on a plaisir à retrouver Eddie Marsan dans le rôle du père ou Lesley Manville dans celui de la grand-mère, mais surtout on vit cet amour et on comprend le seul lien terrestre qu'il reste à la jeune femme en la personne de Blake, sous les traits d'un Jack O'Conell concupiscent pour une relation en tout point dévorante.
Quoiqu'en dise la critique Presse , j'ai personnellement trouvé ce Biopic sur cette grande chanteuse , partie beaucoup trop tôt ; intéressant ! Il nous plonge dans la tumultueuse vie , c'est le moins que l'on puisse dire , d'une rock star aspirant à devenir une icône du jazz qu'incarne avec brio Marisa Abela ! La seule petite chose regrettable étant que l'artiste n'apparaisse pas en vrai à la fin du film en forme d'hommage !
Une version édulcorée et raccourcie de la courte vie d'Amy Winehouse, néanmoins touchante, portée par le jeu de l'actrice qui a vraiment réussi à s'approprier le personnage. Si j'ai beaucoup apprécié le film, j'ai quand même préféré le film docu Amy.
Un biopic ultra-classique dans sa construction. Sur la forme, c'est bien réalisé avec une bonne maîtrise du rythme, des placements de caméra et de la photographie. Sur le fond, le réalisateur défend une thèse - pas fausse mais sujette à discussion - voulant que les déboires sentimentaux de Amy Winehouse sont à l'origine de son succès et de sa déchéance. La simplification dr la réalité est probablement abusive. Mais peu importe, le spectacle de regarde dans déplaisir. A voir, ne serait-ce que pour la très belle performance de Marisa Abela.
Back To Black raconte son histoire d'amour avec Blake Fielder-Civil, son ascension musicale et survole ses addictions. Malgré une interprétation touchante de Marisa Abela et le plaisir des grandes chansons, un biopic linéaire et édulcoré de la vie chaotique d'Amy Winehouse.
Perplexe devant ce biopic qui, à force d'ellipses sur sa période ascensionnelle, nous laissera de marbre! La première demie heure consacrée à son père, sa grand-mère, ses agents est insignifiante, car présentant Amy comme une gentillette minette qui aime le jazz et l'alcool. Elle gratouille sa guitare et c'est musicalement inintéressant sans talent! La rencontre avec Black est ratée : il la drague lourdement (il lit son avenir dans une pinte de bière et c'est le coup de foudre). Cette relation toxique est à l'origine de son addiction à l'alcool, alors qu'on nous montre un gars qui sniffe et qui l'incite à sniffer comme lui. On ne comprend rien à la raison de sa célébrité, on ne parle pas de ses 2 uniques disques... Père omniprésent qui ne la protège pas de son Black. Oui ABELA performe dans l'imitation dans l'interprétation de ces chansons, mais c'est trop lisse : regardez quelques youtube de concerts live de Amy et vous comprendrez : elle était littéralement ivre, ne tenait pas debout... Film non respectueux!
C’est une petite déception pour moi. Je suis toujours facilement entraîné quand il s’agit d’un biopic d’un artiste musical. Et ici, je n’ai pas retrouvé l’engouement que j’ai d’habitude. La première heure est assez plate. Pour preuve, j’ai dû fermer les yeux quelques minutes. Ça s’emballe un peu sur la deuxième partie de film. Malgré une belle prestation de l’actrice Marisa Abela, j’ai très peu ressenti de puissance lors des chansons.
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