Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne et Olivier Rossignot
Entre la pulsion et la raison, un gouffre existe. Et c’est tout le mérite de la cinéaste de fouiller là où ça gratte, à travers la psyché de son héroïne, formidablement interprétée par l’étonnante Sol Miranda qui n’a pas froid aux yeux et se met littéralement à nu à l’écran au sens propre comme au figuré.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Cl. F.
Dans des plans d’une troublante plasticité, la cinéaste brésilienne filme la liberté d’une femme qui se réapproprie des fantasmes masculins en les rejouant selon ses propres règles. Jamais rien vu de tel au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Entre l’intime et le politique, il y a une pornographie modelée par et pour internet. Mais aussi tout un spectre de désirs que cette œuvre ultra-contemporaine explore avec empathie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Nicolas Geneix
Conscient que tout est politique, ce film peut être d'utilité publique et intime.
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Belle et brûlante chronique d’une jeunesse brésilienne qui refuse la violence que la société lui impose, par la talentueuse Júlia Murat.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
Bien qu’un peu déjà vu et didactique, le film propose des pistes de réflexions intéressantes tout en dressant le portrait d’une génération avec empathie, sans céder au voyeurisme putassier malgré la crudité de certaines scènes. Sa jeune comédienne est épatante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
La performance bluffante de l’actrice Sol Miranda sème le trouble sans toutefois susciter l’émotion.
Première
par Estelle Aubin
Règle 34 fait ici écho à Mustang de Deniz Gamze Ergüven (2015), 50 nuances de Grey de Sam Taylor-Johnson (2015) ou Jeune et jolie de François Ozon (2013). Mais se place à côté, dans registre autre : cru et doux, féministe et mélancolique. En dehors de toutes les balises morales.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Dans des scènes très sensuelles, le corps même de Simone devient le lieu même d’interrogations fécondes sur l’affirmation du désir, l’identité mais aussi la violence d’État ou le racisme inhérent à la société brésilienne. Stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
[...] parce qu’il invite à complexifier les formes d’émancipation des minorités, [Règle 34] avait a priori de quoi défier l’ordre moral, qui plus est en plein cauchemar Bolsonaro. Hélas, [le film] ne se construit qu’au fil de calculs scénaristiques.
L'Obs
par François Forestier
Ce film est pataud dans sa démonstration, agaçant dans son besoin de titiller, peu crédible dans ses prémisses (une avocate qui gagne sa vie en s’exhibant sur des sites pornos ?).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Laura Tuillier
Rien de sulfureux ne transpire de la mise en scène, pas la moindre petite mise en danger qui viendrait brouiller un message paradoxalement flou : qu’est-ce qui anime Simone lorsqu’elle invite in fine un homme ultra-violent chez elle ? Règle 34 n’aura pas donné envie de le savoir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
Entre la pulsion et la raison, un gouffre existe. Et c’est tout le mérite de la cinéaste de fouiller là où ça gratte, à travers la psyché de son héroïne, formidablement interprétée par l’étonnante Sol Miranda qui n’a pas froid aux yeux et se met littéralement à nu à l’écran au sens propre comme au figuré.
Le Monde
Dans des plans d’une troublante plasticité, la cinéaste brésilienne filme la liberté d’une femme qui se réapproprie des fantasmes masculins en les rejouant selon ses propres règles. Jamais rien vu de tel au cinéma.
Les Inrockuptibles
Entre l’intime et le politique, il y a une pornographie modelée par et pour internet. Mais aussi tout un spectre de désirs que cette œuvre ultra-contemporaine explore avec empathie.
Positif
Conscient que tout est politique, ce film peut être d'utilité publique et intime.
aVoir-aLire.com
Belle et brûlante chronique d’une jeunesse brésilienne qui refuse la violence que la société lui impose, par la talentueuse Júlia Murat.
Le Journal du Dimanche
Bien qu’un peu déjà vu et didactique, le film propose des pistes de réflexions intéressantes tout en dressant le portrait d’une génération avec empathie, sans céder au voyeurisme putassier malgré la crudité de certaines scènes. Sa jeune comédienne est épatante.
Les Fiches du Cinéma
La performance bluffante de l’actrice Sol Miranda sème le trouble sans toutefois susciter l’émotion.
Première
Règle 34 fait ici écho à Mustang de Deniz Gamze Ergüven (2015), 50 nuances de Grey de Sam Taylor-Johnson (2015) ou Jeune et jolie de François Ozon (2013). Mais se place à côté, dans registre autre : cru et doux, féministe et mélancolique. En dehors de toutes les balises morales.
Télérama
Dans des scènes très sensuelles, le corps même de Simone devient le lieu même d’interrogations fécondes sur l’affirmation du désir, l’identité mais aussi la violence d’État ou le racisme inhérent à la société brésilienne. Stimulant.
Cahiers du Cinéma
[...] parce qu’il invite à complexifier les formes d’émancipation des minorités, [Règle 34] avait a priori de quoi défier l’ordre moral, qui plus est en plein cauchemar Bolsonaro. Hélas, [le film] ne se construit qu’au fil de calculs scénaristiques.
L'Obs
Ce film est pataud dans sa démonstration, agaçant dans son besoin de titiller, peu crédible dans ses prémisses (une avocate qui gagne sa vie en s’exhibant sur des sites pornos ?).
Libération
Rien de sulfureux ne transpire de la mise en scène, pas la moindre petite mise en danger qui viendrait brouiller un message paradoxalement flou : qu’est-ce qui anime Simone lorsqu’elle invite in fine un homme ultra-violent chez elle ? Règle 34 n’aura pas donné envie de le savoir.