Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Entre ville fantôme et chaleur accablante, Les Aventures de Gigi la Loi se joue brillamment du genre – ici l’enquête policière – sans pour autant œuvrer au crépuscule de la fiction.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Ce regard non exempt de stoïcisme n'est pas sans véritablement receler un poids idéologique dans un monde contemporain dominé par le culte de la performance. De façon inattendue, le film d'Alessandro Comodin est peut-être le petit cousin parfait du formidable "Il Buco" de Michelangelo Frammartino sorti cette année.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Michaël Mélinard et Sophie Joubert
À la lisière de la fiction et du documentaire, ce film hybride, ironique et onirique d’Alessandro Comodin joue des contrastes afin de mieux perdre le spectateur au fil d’une intrigue pourtant simple.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Point de cynisme ici, mais un portrait drôle et empathique qui progresse au rythme de son antihéros fantasmant derrière son pare-brise un réel où l’ennui prime.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Tel un voltigeur, aux aguets, le spectateur se balance d’un trapèze à un autre, du polar au réel, du surréalisme au naturalisme, promenant son regard sur cet étrange policier qui s’invente peut-être des histoires, d’amour et de crime. Mieux vaut renoncer à le déchiffrer, pour profiter du fabuleux jeu d’images d’Alessandro Comodin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Présenté dans l’exigeante sélection du Festival de Locarno, Les Aventures de Gigi la loi nous entraîne dans la torpeur estivale du nord de l’Italie dans les pas d’un policier quinquagénaire. Alessandro Comodin nous régale encore de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le grand talent de Comodin consiste à exprimer le burlesque dans sa forme la plus éthérée, se limitant à quelques dérèglements que leur rareté et leur surgissement inopiné rendent d’autant plus savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
En résulte une baguenaude hallucinée, mi-paradisiaque mi-paranoïaque, pleine de dialogues insensés, tellement anodins qu’ils en deviennent martiens, où se nouent d’étranges et touchantes relations, et tout semble se dérouler dans un monde non cartographié.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Cheze
Le film séduit par sa finesse dans l'absurde.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Alessandro Comodin s’attache davantage à son dispositif documentaire, collé au pare-brise et à la route, faisant de la ronde policière un délicieux road-movie du surplace, de la vacance, de l’oisiveté.
Télérama
par Frédéric Strauss
Appelée par un sentiment de vide auquel les suicides font écho, cette folie ouvre un abîme inquiétant, tout en restant douce. Comme ce film singulier, qui laisse passer la lumière radieuse et, avec elle, toutes les zones d’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marin Gérard
La grande retenue et l'humilité du film font sa singularité, dans un refus d'efficacité narrative qui le rapproche d'un certain cinéma d'auteur portugais (Gomes, Nicolau), au risque toutefois de tomber dans l'anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Thomas Baurez
Le cinéaste Alessandro Comodin (L’Eté de Giacomo) ne fait pas de ces élucubrations un sujet en soi. Les croyances de son héros suffisent à dessiner un monde un peu absurde, un peu incertain mais dont la fragilité discrète finit par nous le faire aimer tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
par Eithne O’Neill
Ce portrait qui a obtenu un prix spécial à Locarno est supposé évoquer une réflexion sur le non-dit, faire appel aux sentiments. Pour nous, l’effet est celui de la déception et de l’ennui.
Cahiers du Cinéma
Entre ville fantôme et chaleur accablante, Les Aventures de Gigi la Loi se joue brillamment du genre – ici l’enquête policière – sans pour autant œuvrer au crépuscule de la fiction.
Culturopoing.com
Ce regard non exempt de stoïcisme n'est pas sans véritablement receler un poids idéologique dans un monde contemporain dominé par le culte de la performance. De façon inattendue, le film d'Alessandro Comodin est peut-être le petit cousin parfait du formidable "Il Buco" de Michelangelo Frammartino sorti cette année.
L'Humanité
À la lisière de la fiction et du documentaire, ce film hybride, ironique et onirique d’Alessandro Comodin joue des contrastes afin de mieux perdre le spectateur au fil d’une intrigue pourtant simple.
Le Journal du Dimanche
Point de cynisme ici, mais un portrait drôle et empathique qui progresse au rythme de son antihéros fantasmant derrière son pare-brise un réel où l’ennui prime.
Le Monde
Tel un voltigeur, aux aguets, le spectateur se balance d’un trapèze à un autre, du polar au réel, du surréalisme au naturalisme, promenant son regard sur cet étrange policier qui s’invente peut-être des histoires, d’amour et de crime. Mieux vaut renoncer à le déchiffrer, pour profiter du fabuleux jeu d’images d’Alessandro Comodin.
Les Fiches du Cinéma
Présenté dans l’exigeante sélection du Festival de Locarno, Les Aventures de Gigi la loi nous entraîne dans la torpeur estivale du nord de l’Italie dans les pas d’un policier quinquagénaire. Alessandro Comodin nous régale encore de sa mise en scène.
Les Inrockuptibles
Le grand talent de Comodin consiste à exprimer le burlesque dans sa forme la plus éthérée, se limitant à quelques dérèglements que leur rareté et leur surgissement inopiné rendent d’autant plus savoureux.
Libération
En résulte une baguenaude hallucinée, mi-paradisiaque mi-paranoïaque, pleine de dialogues insensés, tellement anodins qu’ils en deviennent martiens, où se nouent d’étranges et touchantes relations, et tout semble se dérouler dans un monde non cartographié.
Ouest France
Le film séduit par sa finesse dans l'absurde.
Transfuge
Alessandro Comodin s’attache davantage à son dispositif documentaire, collé au pare-brise et à la route, faisant de la ronde policière un délicieux road-movie du surplace, de la vacance, de l’oisiveté.
Télérama
Appelée par un sentiment de vide auquel les suicides font écho, cette folie ouvre un abîme inquiétant, tout en restant douce. Comme ce film singulier, qui laisse passer la lumière radieuse et, avec elle, toutes les zones d’ombre.
Critikat.com
La grande retenue et l'humilité du film font sa singularité, dans un refus d'efficacité narrative qui le rapproche d'un certain cinéma d'auteur portugais (Gomes, Nicolau), au risque toutefois de tomber dans l'anecdotique.
Première
Le cinéaste Alessandro Comodin (L’Eté de Giacomo) ne fait pas de ces élucubrations un sujet en soi. Les croyances de son héros suffisent à dessiner un monde un peu absurde, un peu incertain mais dont la fragilité discrète finit par nous le faire aimer tout à fait.
Positif
Ce portrait qui a obtenu un prix spécial à Locarno est supposé évoquer une réflexion sur le non-dit, faire appel aux sentiments. Pour nous, l’effet est celui de la déception et de l’ennui.