Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Il faut être prévenu que ce conte de fées est une œuvre sublime, folle, poétique, surréaliste, hallucinatoire.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
D’une extraordinaire beauté sophistiquée, d’une esthétique majestueuse, d’une puissance implacable et dérangeante.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Une fois l'idée de la parabole allégorique acceptée, Fairytale devient autre chose qu'une badinerie un brin provocatrice, rien de moins que la quatrième véritable pièce de sa trilogie (devenant donc tétralogie) sur le totalitarisme, tentant de décrypter avec une véritable profondeur teintée de mysticisme la mécanique autocratique, la mégalomanie des dictateurs, leur amour fou d'eux-mêmes ne pouvant finalement provoquer que la haine de l'Autre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le cinéaste et son équipe inventent une forme, créent un récit, souvent sans queue ni tête, comme dans un rêve bizarre qui tourne en rond. Ce conte morbide prolonge le motif du cinéaste, lequel s’est toujours plu à montrer les hommes de pouvoir au moment où ceux-ci, justement, ne peuvent plus grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Ça ressemble à une blague : Hitler, Staline, Mussolini et Churchill, extirpés de leurs linceuls, se présentent aux portes du paradis... On pense avoir tout vu, et puis vient Sokourov, qui signe là une méditation historique tour à tour grotesque et splendide.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Dans une bi-dimensionnalité graphique qui évoque certains papiers collés des Monty Python [et] en se situant dans un post-romantisme narquois, tout en contestant un traitement illusionniste des archives [...], [Sokourov] ne trouve que les eaux croupies d'une histoire suspendue qui n'en peut plus de convoquer sur sa scène les mêmes invocations d'une horreur inexorable.
L'Obs
par N. S.
Construite à partir d’images d’archives et mettant en scène de troublants avatars, doublés dans leurs langues respectives, au milieu de ruines immatérielles inspirées des gravures de Piranèse, l’expérience fascine et tourne court.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Adrien Gombeaud
S'il s'adresse à un public particulier et motivé, « Fairytale », nouveau travail du maître russe Alexandre Sokourov, appartient à la catégorie des films « extraordinaires ». L’expérimentation patine et bavarde mais reste de bout en bout saisissante d'insolence et de virtuosité, notamment grâce à son animation artisanale.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Que dit le film ? À vrai dire, il plonge dans un tel état hypnotique et d’épouvante que son sens en devient difficile à saisir. Comme tout film parle de son époque, Fairytale parle forcément aussi de Poutine. Mais le message semble si sibyllin qu’il nous laisse un peu dubitatif·ves.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Avec de gros sabots et des images d’archives animées, Alexandre Sokourov fait dialoguer Staline, Hitler, Mussolini et Churchill au purgatoire. Un rien agaçante, l’expérimentation n’est pourtant pas dénuée de poésie ou d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Sur le plan formel, « Fairytale » ne ressemble à rien de connu, avec un travail hallucinant sur l’intégration d’images d’archive sur des décors qui évoquent les toiles de Bruegel et Bosch - certaines séquences sont visuellement incroyables. [...] Il nous a laissés plus perplexe sur le propos.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Ce purgatoire n’est qu’un amas de ruines où les corps se dédoublent et où l’ironie fatiguée des uns et des autres, portée par des égos encombrés d’eux-mêmes, offre le tableau pathétique du pouvoir. Intrigant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Corentin Lê
Un film bavard pris au piège de son propre dispositif, qui radote scène après scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Jacques Morice
À part un réquisitoire assez convenu du pouvoir, de sa folie aussi meurtrière que grossière, on voit mal où veut en venir le cinéaste russe, en perte d’inspiration depuis quelques films.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Il faut être prévenu que ce conte de fées est une œuvre sublime, folle, poétique, surréaliste, hallucinatoire.
Le Dauphiné Libéré
D’une extraordinaire beauté sophistiquée, d’une esthétique majestueuse, d’une puissance implacable et dérangeante.
Culturopoing.com
Une fois l'idée de la parabole allégorique acceptée, Fairytale devient autre chose qu'une badinerie un brin provocatrice, rien de moins que la quatrième véritable pièce de sa trilogie (devenant donc tétralogie) sur le totalitarisme, tentant de décrypter avec une véritable profondeur teintée de mysticisme la mécanique autocratique, la mégalomanie des dictateurs, leur amour fou d'eux-mêmes ne pouvant finalement provoquer que la haine de l'Autre.
Le Monde
Le cinéaste et son équipe inventent une forme, créent un récit, souvent sans queue ni tête, comme dans un rêve bizarre qui tourne en rond. Ce conte morbide prolonge le motif du cinéaste, lequel s’est toujours plu à montrer les hommes de pouvoir au moment où ceux-ci, justement, ne peuvent plus grand-chose.
Les Fiches du Cinéma
Ça ressemble à une blague : Hitler, Staline, Mussolini et Churchill, extirpés de leurs linceuls, se présentent aux portes du paradis... On pense avoir tout vu, et puis vient Sokourov, qui signe là une méditation historique tour à tour grotesque et splendide.
Cahiers du Cinéma
Dans une bi-dimensionnalité graphique qui évoque certains papiers collés des Monty Python [et] en se situant dans un post-romantisme narquois, tout en contestant un traitement illusionniste des archives [...], [Sokourov] ne trouve que les eaux croupies d'une histoire suspendue qui n'en peut plus de convoquer sur sa scène les mêmes invocations d'une horreur inexorable.
L'Obs
Construite à partir d’images d’archives et mettant en scène de troublants avatars, doublés dans leurs langues respectives, au milieu de ruines immatérielles inspirées des gravures de Piranèse, l’expérience fascine et tourne court.
Les Echos
S'il s'adresse à un public particulier et motivé, « Fairytale », nouveau travail du maître russe Alexandre Sokourov, appartient à la catégorie des films « extraordinaires ». L’expérimentation patine et bavarde mais reste de bout en bout saisissante d'insolence et de virtuosité, notamment grâce à son animation artisanale.
Les Inrockuptibles
Que dit le film ? À vrai dire, il plonge dans un tel état hypnotique et d’épouvante que son sens en devient difficile à saisir. Comme tout film parle de son époque, Fairytale parle forcément aussi de Poutine. Mais le message semble si sibyllin qu’il nous laisse un peu dubitatif·ves.
Libération
Avec de gros sabots et des images d’archives animées, Alexandre Sokourov fait dialoguer Staline, Hitler, Mussolini et Churchill au purgatoire. Un rien agaçante, l’expérimentation n’est pourtant pas dénuée de poésie ou d’humour.
Paris Match
Sur le plan formel, « Fairytale » ne ressemble à rien de connu, avec un travail hallucinant sur l’intégration d’images d’archive sur des décors qui évoquent les toiles de Bruegel et Bosch - certaines séquences sont visuellement incroyables. [...] Il nous a laissés plus perplexe sur le propos.
Première
Ce purgatoire n’est qu’un amas de ruines où les corps se dédoublent et où l’ironie fatiguée des uns et des autres, portée par des égos encombrés d’eux-mêmes, offre le tableau pathétique du pouvoir. Intrigant.
Critikat.com
Un film bavard pris au piège de son propre dispositif, qui radote scène après scène.
Télérama
À part un réquisitoire assez convenu du pouvoir, de sa folie aussi meurtrière que grossière, on voit mal où veut en venir le cinéaste russe, en perte d’inspiration depuis quelques films.