Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Aucun misérabilisme dans ce film [...] : nous parlerons plutôt d'un juste dosage entre regard réaliste sur un monde rural déboussolé et finesse d'une écriture à la fois parfaitement limpide et zigzaguant habilement entre sa violence et sa douceur, parfois teintée d'une étrangeté qui lui sied très bien. »
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Plus ce temps de l’enfance charrie d’imaginaire, plus le film se laisse aller dans une fantaisie propre à l’enfance, jusqu’à la porter vers des hauteurs mystiques.
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Cela relève du miracle de parvenir ainsi à fixer le potentiel magnétique d’un territoire avant tant de retenue et de lyrisme.
Le Monde
par Murielle Joudet
Un premier long-métrage très abouti de David Depesseville.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Le spectateur ne se trouve jamais en surplomb ou en avance, mais placé dans la même tragédie et la même énergie que Samuel et ses frères d’un moment.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Traversée par un sens de l’ellipse fulgurant et d’un morcellement tranchant de l’espace, toute la partition sonore et visuelle semble ici converger vers un même horizon : saisir l’extrême sensorialité d’un milieu rural pour mieux renier l’enregistrement réaliste du quotidien dont serait porteur le film social.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Astrakan a des secrets, des opacités qui semblent d’abord feintes, sophistiquées, savamment glauques (théoriques), puis gagnent de plus en plus de terrain, se font inquiétantes, plus empathiques, plus incarnées, jusqu’à carrément nous engloutir, sur le mode palpitant d’un inconscient à ciel ouvert, déchaîné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par La Rédaction
Glaçant et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Il règne sur ce drame social étouffé une ambiance lourde, déconcertante, même un grand malaise.
L'Obs
par François Forestier
On pense aux films de Jean Eustache ou de Jean-Daniel Pollet : tourné en 16 mm (et non en vidéo), ce récit en demi-teinte échappe aux clichés habituels du cinéma consacré aux orphelins : il y a là un ton, une sincérité, un regard. Du naturalisme rêveur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il règne sur ce drame social étouffé une ambiance lourde, déconcertante, même un grand malaise.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Curieux film, certes maniéré mais qui essaye au moins d’inventer sa propre voie pour exprimer l’état d’inquiétude de l’enfance.
Télérama
par Guillemette Odicino
Entre Pialat et Jean-Claude Brisseau, entre naturalisme et baroque, Astrakan marque la naissance d’un cinéaste, qui filme l’enfance dans un style sensoriel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Or, grâce à la prestation époustouflante de son jeune interprète, on suit avec une attention grandissante le parcours de ce gamin déterminé à se délester d’un passé trop lourd.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
On a connu plus doux récit d’émancipation que ce premier film naturaliste à la Brisseau. Ici il est question de maltraitance physique et psychologique, la violence et la tristesse affleurent dans un décor bucolique mais grisâtre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un premier film porteur de belles idées, mais souvent maladroit et démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Si le geste est fort, l’extrême âpreté de l’ensemble nous laisse trop à distance, et ce, malgré un final volontairement lyrique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Aucun misérabilisme dans ce film [...] : nous parlerons plutôt d'un juste dosage entre regard réaliste sur un monde rural déboussolé et finesse d'une écriture à la fois parfaitement limpide et zigzaguant habilement entre sa violence et sa douceur, parfois teintée d'une étrangeté qui lui sied très bien. »
Cahiers du Cinéma
Plus ce temps de l’enfance charrie d’imaginaire, plus le film se laisse aller dans une fantaisie propre à l’enfance, jusqu’à la porter vers des hauteurs mystiques.
La Septième Obsession
Cela relève du miracle de parvenir ainsi à fixer le potentiel magnétique d’un territoire avant tant de retenue et de lyrisme.
Le Monde
Un premier long-métrage très abouti de David Depesseville.
Le Parisien
Le spectateur ne se trouve jamais en surplomb ou en avance, mais placé dans la même tragédie et la même énergie que Samuel et ses frères d’un moment.
Les Inrockuptibles
Traversée par un sens de l’ellipse fulgurant et d’un morcellement tranchant de l’espace, toute la partition sonore et visuelle semble ici converger vers un même horizon : saisir l’extrême sensorialité d’un milieu rural pour mieux renier l’enregistrement réaliste du quotidien dont serait porteur le film social.
Libération
Astrakan a des secrets, des opacités qui semblent d’abord feintes, sophistiquées, savamment glauques (théoriques), puis gagnent de plus en plus de terrain, se font inquiétantes, plus empathiques, plus incarnées, jusqu’à carrément nous engloutir, sur le mode palpitant d’un inconscient à ciel ouvert, déchaîné.
Sud Ouest
Glaçant et fascinant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Il règne sur ce drame social étouffé une ambiance lourde, déconcertante, même un grand malaise.
L'Obs
On pense aux films de Jean Eustache ou de Jean-Daniel Pollet : tourné en 16 mm (et non en vidéo), ce récit en demi-teinte échappe aux clichés habituels du cinéma consacré aux orphelins : il y a là un ton, une sincérité, un regard. Du naturalisme rêveur.
Le Dauphiné Libéré
Il règne sur ce drame social étouffé une ambiance lourde, déconcertante, même un grand malaise.
Transfuge
Curieux film, certes maniéré mais qui essaye au moins d’inventer sa propre voie pour exprimer l’état d’inquiétude de l’enfance.
Télérama
Entre Pialat et Jean-Claude Brisseau, entre naturalisme et baroque, Astrakan marque la naissance d’un cinéaste, qui filme l’enfance dans un style sensoriel.
aVoir-aLire.com
Or, grâce à la prestation époustouflante de son jeune interprète, on suit avec une attention grandissante le parcours de ce gamin déterminé à se délester d’un passé trop lourd.
Le Journal du Dimanche
On a connu plus doux récit d’émancipation que ce premier film naturaliste à la Brisseau. Ici il est question de maltraitance physique et psychologique, la violence et la tristesse affleurent dans un décor bucolique mais grisâtre.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film porteur de belles idées, mais souvent maladroit et démonstratif.
Première
Si le geste est fort, l’extrême âpreté de l’ensemble nous laisse trop à distance, et ce, malgré un final volontairement lyrique.