Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une tapisserie infrahorrifique au charme impressionniste.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Acerbe, crue, mal élevée et stupéfiante, cette fiction en partie autobiographique repose sur la rage contaminante d’une mise en scène qui déborde d’idées visuelles (image malmenée, véritablement écorchée vive) pour mieux dénoncer le seul monstre de cette histoire : la phallocratie abusive.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Habile et furieusement pertinente manière de renverser les perspectives et dénoncer la véritable monstruosité. Celle dont se nourrissent le patriarcat et la religion étatique. Une détonante révélation.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film certes étrange mais non moins fascinant, d’autant qu’il est formidablement réalisé et interprété.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Camila Beltràn mêle le récit juvénile au fantastique pour dire les injonctions bien réelles qui traversent nos sociétés. Parfois maladroite, la proposition se distingue par son originalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par S.A.
Ce premier long métrage inspiré de la jeunesse colombienne de sa réalisatrice conserve la saveur expérimentale du court et l'authenticité du geste autobiographique.
Positif
par La rédaction
Naturaliste et surréelle, cette quête de l'intime s'ouvre avec un très sensoriel nocturne et parvient à un fantastique moment de déploiement de soi.
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Film d’émancipation plein de noirceur et de crasse Résolument punk, "Mi Bestia" expose la hargne d’une enfance perdue face à la perversité du monde adulte, et face à elle, sa seule réponse viable, l’émergence de la violence et de la révolte. Un trip jouissif, un cinéma salutaire de générosité et de « trop » qui, malgré son caractère foutraque et excessif, emporte le prix libérateur du risque.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un travail stylisé et soigné, sur l’image et le son : ralentis, jeux d’ombres et sons surnaturels contribuent à créer une atmosphère étouffante.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un récit fantastique, plein de mystère et de surnaturel.
Le Point
par La Rédaction
Mission réussie tant l'atmosphère gothique et sensuelle de Mi Bestia s'avère entêtante.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Voici
par D.B.
Certes, l'ambiance très éthérée et les partis pris visuels peuvent dérouter, mais ils assurent au film sa singularité.
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Mi Bestia, sans renouveler l’imagerie sur laquelle il s’appuie, promet un instant suspendu entre croyances et adolescence effrontée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Le souci avec Mi Bestia est que c’est l’entièreté du long métrage qui est filmé ainsi, rendant l’ensemble assez illisible. S’il est toujours intéressant de voir une œuvre au parti-pris formel aussi fort, le résultat laisse cependant sur la touche, aussi impénétrable qu’épuisant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Clément Colliaux
Derrière sa facture expérimentale, Mi Bestia esquisse un récit d’émancipation finalement plutôt convenu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par J.-F. R.
Mi Bestia est une relecture, à modeste budget, du mythe du loup-garou et c’est dans les dernières images du film que son naturalisme originel va se détruire, exploser, pour se transformer en autre chose. Le réel rejoint l’allégorie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Camille Nevers
Dans la lignée éculée des films sur la métamorphose bestiale, celui de Camila Beltrán, mêlant sexualité des filles et apocalypse biblique, est trop ostentatoire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Malgré la justesse de son interprète principale, le film peine à faire entendre son originalité.
Première
par David Yankelevich
Ce Règne Animal en terre colombienne est heureusement sauvé par la performance captivante de la jeune Stella Martinez.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Camille Brun
Pour accompagner le désarroi de son héroïne, la réalisatrice de ce premier film a choisi d'apporter un traitement étrange à son image, où tout semble ralenti ou en décalage. C'est intrigant et malin, mais pas toujours facile à suivre.
Télérama
par Samuel Douhaire
L’initiative, intéressante sur le papier, produit hélas à l’écran un effet de saccades plutôt pénible…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Une tapisserie infrahorrifique au charme impressionniste.
L'Obs
Acerbe, crue, mal élevée et stupéfiante, cette fiction en partie autobiographique repose sur la rage contaminante d’une mise en scène qui déborde d’idées visuelles (image malmenée, véritablement écorchée vive) pour mieux dénoncer le seul monstre de cette histoire : la phallocratie abusive.
La Septième Obsession
Habile et furieusement pertinente manière de renverser les perspectives et dénoncer la véritable monstruosité. Celle dont se nourrissent le patriarcat et la religion étatique. Une détonante révélation.
Le Parisien
Un film certes étrange mais non moins fascinant, d’autant qu’il est formidablement réalisé et interprété.
Les Fiches du Cinéma
Camila Beltràn mêle le récit juvénile au fantastique pour dire les injonctions bien réelles qui traversent nos sociétés. Parfois maladroite, la proposition se distingue par son originalité.
Mad Movies
Ce premier long métrage inspiré de la jeunesse colombienne de sa réalisatrice conserve la saveur expérimentale du court et l'authenticité du geste autobiographique.
Positif
Naturaliste et surréelle, cette quête de l'intime s'ouvre avec un très sensoriel nocturne et parvient à un fantastique moment de déploiement de soi.
Culturopoing.com
Film d’émancipation plein de noirceur et de crasse Résolument punk, "Mi Bestia" expose la hargne d’une enfance perdue face à la perversité du monde adulte, et face à elle, sa seule réponse viable, l’émergence de la violence et de la révolte. Un trip jouissif, un cinéma salutaire de générosité et de « trop » qui, malgré son caractère foutraque et excessif, emporte le prix libérateur du risque.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un travail stylisé et soigné, sur l’image et le son : ralentis, jeux d’ombres et sons surnaturels contribuent à créer une atmosphère étouffante.
Le Dauphiné Libéré
Un récit fantastique, plein de mystère et de surnaturel.
Le Point
Mission réussie tant l'atmosphère gothique et sensuelle de Mi Bestia s'avère entêtante.
Voici
Certes, l'ambiance très éthérée et les partis pris visuels peuvent dérouter, mais ils assurent au film sa singularité.
aVoir-aLire.com
Mi Bestia, sans renouveler l’imagerie sur laquelle il s’appuie, promet un instant suspendu entre croyances et adolescence effrontée.
CinemaTeaser
Le souci avec Mi Bestia est que c’est l’entièreté du long métrage qui est filmé ainsi, rendant l’ensemble assez illisible. S’il est toujours intéressant de voir une œuvre au parti-pris formel aussi fort, le résultat laisse cependant sur la touche, aussi impénétrable qu’épuisant.
Critikat.com
Derrière sa facture expérimentale, Mi Bestia esquisse un récit d’émancipation finalement plutôt convenu.
Le Monde
Mi Bestia est une relecture, à modeste budget, du mythe du loup-garou et c’est dans les dernières images du film que son naturalisme originel va se détruire, exploser, pour se transformer en autre chose. Le réel rejoint l’allégorie.
Libération
Dans la lignée éculée des films sur la métamorphose bestiale, celui de Camila Beltrán, mêlant sexualité des filles et apocalypse biblique, est trop ostentatoire.
Ouest France
Malgré la justesse de son interprète principale, le film peine à faire entendre son originalité.
Première
Ce Règne Animal en terre colombienne est heureusement sauvé par la performance captivante de la jeune Stella Martinez.
Télé Loisirs
Pour accompagner le désarroi de son héroïne, la réalisatrice de ce premier film a choisi d'apporter un traitement étrange à son image, où tout semble ralenti ou en décalage. C'est intrigant et malin, mais pas toujours facile à suivre.
Télérama
L’initiative, intéressante sur le papier, produit hélas à l’écran un effet de saccades plutôt pénible…