Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Akamaru
3 129 abonnés
4 339 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 8 janvier 2008
"Subway":2ème réalisation de Luc Besson.Une plongée dans les méandres du métro parisien.Très avant-gardiste en 1985(musique,looks),Subway se regarde comme un tableau néo-moderne plus que comme un film au sens classique du terme.C'est plus cadré que ça en a l'air.Personnellement je n'ai pas adhéré,certaines scènes ont drolement vieillies.J'ai tout de meme aimé les personnages de Bacri et Galabru.Lambert est fade,Adjani agacante.Subway pose les jalons des futurs oeuvres de Besson,et semble inabouti scénaristiquement contrairement à l'esthétique pub.Pour les fans du réalisateur uniquement.
Alors c’est marrant, quand j’étais ado et même jeune adulte, j’adorais ce film comme j’adorais la plupart des films de Luc Besson. Je les trouvais intimiste, plastique et dégageant une incroyable sincérité. Aujourd’hui, avec le recul, je trouve ça moche, plat, mal écrit, voire même plutôt chiant. Dommage, parce qu’au fond, l’idée de faire du métro un lieu de vie à par entière avec sa population et ses mythes, moi j’adorais… Dommage que la forme ne suive pas…
Voyage dans les métros parisiens et ses bas fonds, filmé avec virtuosité et rythmé par la musique sublime d'Eric Serra. Un film culte des années 80 à la fois envoûtant et avant-gardiste, servi par un gros casting de personnages farfelus.
Un voyage dans les métros et ses bas fonds Parisiens filmé avec virtuosité pour son deuxième long métrage par Luc Besson !! Le cinéaste a plus un don de visionnaire que d'écrire un scénario (quoique ici, il tient la route) imaginant des habitants perdus dans les métros roulant sur des patins à lumière, jouant de la musique, faire de la musculation, des personnes qui ne vivent de pas grand chose mais avec de la créativité. Ce film raconte aussi une relation entre Fred et une femme mariée à un riche qui commence par je t'aime, moi non plus puis s'attacher dangereusement car elle est suivie par un groupe de détective privé et la bande du héros par la police. Je me suis laissé séduire par ce long métrage qui allie humour, divertissement et une mise en images d'un univers qui en met plein la vue. Christophe Lambert recevra son César du meilleur acteur mérité pour le role du blond décoiffé Fred au coté de la remarquable et délurée Isabelle Adjani plus un casting de seconds roles à pépites colmme Jean-Hugues Anglade, Michel Galabru, Richard Bohringer, Jean-Pierre Bacri, Jean Reno, Jean Bouise et d'autres. Saluons aussi la musique superbe d'Eric Serra. A voir.
Blond avec un costume noir, Christophe Lambert se réfugie dans le métro, poursuivi par les sbires d'Isabelle Adajani à laquelle il a volé des documents compromettants. Fin de l'histoire, ou quasiment. Car, si Luc Besson, en investissant le métro parisien, s'offre un décor et un terrain de jeu singuliers, la faiblesse, pour ne pas dire la vacuité, de son sujet discrédite le film, que l'on regarde après quelques années comme un clip branché, bouffi de musiques variées, alors que le cinéaste croit peut-être s'inscrire dans un style de cinéma post-moderne... Malgré le nombre important de personnages qui composent la faune ordinaire et une autre, plus méconnue, du métro -dans lequel certains ont élu domicile- il ne se passe pas grand'chose, comme si Besson s'était laissé grisé par son formalisme et ce paysage sous-terrain rarement exploré. spoiler: Galabru et Bacri, en flics du métro, Anglade, en insaisissable pickpocket en rollers, Bohringer, en mystrérieux marchand fr fleurs, complètent la distribution et sont , entre autres personnages, des figures étriquées et creuses prenant part à une intrigue décousue, inaboutie. La pauvreté des dialogues témoigne du manque de fond qu'on retrouve constamment dans le cinéma tape-à-l'oeil de Besson.
Certes, "Subway" n'est pas avare d'imperfections, mais l'originalité du scénario, les rôles déjantés des comédiens et leur interprétation convaincante et le côté novateur de l'ensemble nous les font rapidement oublier... D'aucuns encensent "Léon" pour mieux dégommer "Subway", trop peu conventionnel à leur goût. Dommage, car, injustement critiqué voire boudé, ce second long-métrage de Luc Besson mérite largement le détour...
Avec plus de 20 ans d’âge à son actif, le second film de Luc Besson à pris un sérieux coup de vieux ! Novateur ou post-moderne à l’époque, il n’en reste pas moins une référence dans la filmographie de notre « Spielberg » national ! Un polar centré sur les relations humaines, son isolement dans un monde à part, avec des personnages attachants, mystérieux, marginaux, … . Une curiosité certes bizarre, envoutante et ayant un certain charme, grâce à ses acteurs principaux, où l’on retrouve une très belle distribution, jugez en par vous-même : Christophe Lambert, Isabelle Adjani, Richard Bohringer, Jean-Hugues Anglade, Jean-Pierre Bacri, Michel Galabru & Jean Reno. Un film étonnant, très différent de ce que fera plus tard Besson. Subway (1985) lui aura tout de même valu 13 nominations aux Césars en 1986 et repartit avec 3 trophées : Meilleur Acteur de l'année pour C. Lambert, Meilleur Décors & Meilleur Son. A noter aussi que la B.O à été composée par Eric Serra, grand habitué du réalisateur, puisque l’on pourra le retrouver dans près d’une dizaine de films.
Une pléiade d'acteurs français pour un résultat minable. C'est ennuyeux, parfois drôle, souvent ridicule. Christophe Lambert y est très mauvais, les autres donnent satisfaction, avec une mention spéciale à Galabru et Bacri. Bref, la vocation de ce film est de rester dans le sous-sol parisien.
La "carrière" de Besson fut définitivement lancée par ce gros vidéo-clip dont l'élément le plus intéressant est un cours de roller dispensé par Jean-Hugues Anglade et une visite du métro parisien qui pourra passionner les toursites japonais et quelques urbanistes. Le reste? Christophe Lambert joue un gentil mauvais garçon qui vient de servir de cobaye à son coiffeur cocainomane, Isabelle Adjani porte un tutu, sans doute métaphore de sa pitoyable condition d'être humain voué à tourner sans fin de façon hagarde sur elle-même (ce qu'elle fait avec un naturel épatant) et il y a parait-il un scénario quelque part mais si vous l'avez trouvé....appelez-moi.
Je suis habitué à ne pas trop aimer les films de Luc Besson, mais celui-ci est excellent, et très réussi. On se trouve dans un univers super-marrant, et sans doute fictif (qui sait ce qu'il y a sous le métro ^^) Le film est amusant à voir, et est réellement une petite perle française.
Tout simplement horrible. Avec une mise en scène pareil et un Christophe Lambert en tête d'affiche (à défaut d'avoir une tête à claque), c'est juste infecte. Je préfère me poser à un arrêt de métro et regarder le carrelage pendant 1h44, je suis sûr que j'y trouverais plus d'art dans les formes et les usures. La musique est affreuse, l'ambiance est immonde, c'est une belle bouse signé Besson.
J'avais adoré quand j'étais jeune. L'ambiance métro secret et branchitude. Je l'ai revu il y a peu, et là c'est le drame ! On croirait que Besson se caricature lui-même. Mais en fait non, tout ce qu'il fait est une caricature. Un pastiche de quoi, on sait pas trop. J'aurais envie d'être un gens bon, et lui concéder que son style nul et niais a le mérite d'une certaine originalité, et est reconnaissable à hurler, surtout avec la zikmu outrancière de Serra typique année 80 avec gros fracas de caisse claire synthé. Je balance 3 scènes affligeante de ce clip à la gomme : 1 - Galabru en roue libre (jeu d'acteur dans la lignée de "furer en folie"). 2 - l’ignominieuse scène sirupeuse avec le tragique C.Lambert en train de raconter son accident à coté d'un néon avec une petite musique pour faire frémir derrière (scène à voir absolument pour mesurer pleinement le niveau ultime de niaiserie de Luc B.). 3 - la scène de fin où il est mort mais non finalement il revit avec le clip musical. Là, j'avoue qu'une obscure consternation métaphysique a plongé mon pauvre esprit athée déjà bien fragile dans l'aliénation. A ceux qui assurent aimer sincèrement Subway : je ne sort jamais sans ma hache, et les vigiles de l'H.P. n'ont jamais pu me rattraper.
Comme souvent avec Luc Besson le film manque d'âme. On ne trouve qu'un but esthétique aux déambulations des individus dans un métro clinquant. Malgré un bon casting les personnages sont dépourvus de sensibilité et on ne comprend pas souvent le rapport entre leurs choix et leurs êtres. spoiler: La fin est vraiment trop classique (une rencontre finale interrompue par un coup de feu) . On aurait également aimé que le métro regorge davantage de mystères, on est rarement surpris par les décors (manque de moyens?) Enfin soulignons tout de même ce problème récurant qu'à Luc Besson avec les personnages de policier (flic=simple d'esprit) qui est tout de même un peu irritant à force.
Incroyable... Ou plutôt logique, quand on voit le chemin parcouru depuis. Dès son deuxième long métrage Luc Besson déployait déjà un talent peu commun pour la médiocrité. Comment exprimer par des mots le niveau de ringardise absolue personnifié par «Subway»? Cette musique immonde d'Eric Serra (Victoire de la meilleure musique de film 1985!!!), ces coupes de cheveux improbables, ces dialogues dignes d'un gamin de 6 ans, ces acteurs qui en font des tonnes pour ne rien dire... Besson devait être persuadé à l'époque d'être un mec cool et branché, malheureusement pour lui son film, comment tant d'autres qu'il a pu produire ou réaliser, à très très mal vieilli. Le must : Besson s'est adjoint les services de Christophe Lambert pour l'occasion. Et le résultat est plus qu'à la hauteur des espérances! Son César du meilleur acteur est amplement mérité, il incarne à la perfection son personnage de héros lobotomisé. Le reste de la distribution n'est d'ailleurs pas en reste : de Galabru à Bohringer en passant par Bacri ou Adjani, tous sont ahurissants de sérieux (et de bêtise) dans des rôles d'un ridicule à pleurer. Seuls l'excellent Jean Buise et dans une moindre mesure Jean-Hugues Anglade s'en sortent plus ou moins la tête haute. Il faut dire que le « scénario » ne leur laisse que peu de répit : les clichés et les gags lourdingues s'enchaînent à une vitesse incroyable. Comble du comble, il a fallu pas moins de 4 scénaristes, sans compter Besson, pour en arriver là!! Pourtant quelques plans valent le coup d'oeil (oui ça arrive quelques fois chez le cinéaste français). Le problème c'est qu'on les compte sur les doigts de la main, et qu'au final le monument érigé à la stupidité que constitue «Subway» est (très) difficilement défendable. Même si le regarder promet de grands moments de fous rires, et à part si vous avez 1h40 de votre vie à perdre, mieux vaut vous épargner la vision de cette aberration. Un chef-d'oeuvre du navet à la française. [0/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
un monde inconnu, une musique qui vous reste dans la tête, des personnages haut en couleur. Brillant. PLV : on ajoutera un casting impressionnant : Lambert, Adjani, Reno, Anglade, Bohringer, Serra, Bouise, Galabru....