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Alasky
354 abonnés
3 427 critiques
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3,5
Publiée le 27 mars 2024
La musique et la photographie sont incroyables, sublimées par une réalisation soignée. Les couleurs réconfortantes contrastent avec la noirceur du récit. Un film onirique qui nous transporte très loin, il faut s'accrocher et aimer les films lents et contemplatifs. Beau rôle pour l'excellent Andrew Scott, et très bons seconds rôles également.
Adam vit seul dans une grande tour londonienne. Un jour, il rencontre Harry, avec qui il entame une relation amoureuse. Se remémorant ses souvenirs, il retourne dans la maison de ses parents. Un voyage dans le temps, dans les souvenirs. C’est beau, touchant. Les images sont magnifiques.
J'ai été à la fois charmée par l'histoire du personnage principal, ainsi que sa relation à ses parents maisspoiler: le film est trop drama/mélancolique en dernière instance.
J'ai été voir ce film car le résumé me paraissait intéressant... sans qu'il soit nulle part mentionné qu'il s'agit d'une histoire d'homosexualité ! Les scènes sont très crues et il est scandaleux qu'il n'y ait aucun avertissement ni sur le film ni sur le site de Pathé. Ce genre de film me met très mal à l'aise et je suis parti avant la fin.
Bouleversant. Un temps d’adaptation est nécessaire mais dès que notre esprit s’ajuste aux thèmes du film, nous sommes bouleversés par ces émotions. Andrew Scott et Paul Mescal sont impressionnants et poignant, quant à Claire Foy et Jamie Bell qui jouent les parents de Scott, nous sommes touchés par leur histoire. Je recommande vivement cette petite pépite !
Oh la la…mais c’est quoi ce film ? Rien compris, donc suis passée à côté moi aussi. Et ces scènes de sexe étaient elles vraiment indispensables ? désespérant de voir cette jeunesse qui a besoin de drogue, d’alcool pour s’amuser.
Je m'attendais à voir un chef-d'œuvre et être très émue, comme toutes les critiques l'attestent. Je me fie souvent à elles avant d'aller voir un film. Pourtant cela fait des années que je ne m'étais pas aussi ennuyée au cinéma ! Certes les plans sont beaux, et les musiques bien choisies, mais le scenario est vraiment trop tordu. Le film est très lent, et le personnage principal vraiment glauque, et l'histoire à n'en rien comprendre.
Sans jamais nous connaître est assurément un beau film, bien mis en scène, bien joué, au scénario assez complexe. Il traite intelligemment de thèmes importants comme la solitude, le deuil, l'homosexualité et son acceptation par la société. Mais au final, la structure même du scénario, associée au contexte anglo-saxon, le fait terriblement ressembler à un nouvel épisode de Black Mirror. Cette série a passionné suffisamment de monde pour justifier l'intérêt qu'on trouve à Sans jamais nous connaître, mais est-ce que le cinéma en salle doit s'apparenter à une série Netflix ? spoiler: Enfin, il faut reconnaître que le dernier plan, très black mirror d'ailleurs, est mièvre et kitsch...
Film extrêmement dramatique, triste voire déprimant, avec une magnifique lumière et un jeu d’acteur, surtout Andrew Scott, excellent. Quelques répétitions et longueurs, mais la mise en scène est bien faite et les jeux de miroirs discrets. Un sujet déjà vu mais dans des genres différents (horreur, thriller), donc original dans son tout.
Ce film m'a choqué. Aucuns avertissement donné, alors j y suis allé avec.ma.fille de 14 ans, qu'elle erreur. Un film avec.des.scenes qui m ont mises mal à l aise, surtout en présence de.ma.fille. Un navet .......
Dévoilé dans les salles françaises pour la Saint-Valentin, « Sans jamais nous connaître » est une romance entre deux hommes et une histoire de fantômes familiaux. Alors qu’il ne parvient pas a accepter la mort de ses parents lorsqu’il était enfant, un quadragénaire peine à se construire une vie. La rencontre avec un voisin de son immeuble va combler ce vide qui le ronge et l’aider à trouver la paix dans cette solitude qui l’habite indubitablement. S’il nous est impossible de ne pas être touché par le jeu d’Andrew Scott, on peut toutefois regretter une mise en scène excessivement lente. Le mélo cherche absolument à rester mystérieux alors que le final nous hantait depuis les premiers regards entre les deux âmes solitaires. Loin des clichés, « Sans jamais nous connaître » reste un néanmoins un beau film d’amour homosexuel.
Poétique, déroutant et perturbant à la fois. Cette tension onirique qui parcourt l’entièreté du film, renverse, laissant son spectateur dans une ineffable zone grise. Touchant mais pas triste, Haigh nous confronte à la réalité universelle de la VIE en adoptant une narration déstructurée et brillamment ficelée !