Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un grand film sur l'amour et ses fantômes, d'une émotion et d'une beauté infinies.
GQ
par Ulf Pape
Présenter un film aussi magnifique que "Sans jamais nous connaître" est une tâche complexe : par où commencer ? Ce film réserve à son spectateur tant de surprises et de mystère. À peine sorti de la salle, on n’a qu’une envie : en parler.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Il y a dans le film une sublime utopie, celle du cinéma tout entier, de nous faire rencontrer des mort·es qui reviennent, vivant·es, sous nos yeux, de pouvoir les étreindre et vivre avec eux l’amour qu’on a toujours voulu avoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Frédéric Mercier
Comme tous ceux qu’on a aimés mais qu’on n’a pas eu le temps d’assez chérir, ce film est inoubliable.
Voici
par La Rédaction
Andrew Scott et Paul Mescal jouent ici une partition dont la grande subtilité et la complexité n'altèrent jamais la puissance des émotions. A ne pas manquer.
20 Minutes
par Caroline Vié
Bouleversant.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le goût du fantastique sans spectaculaire s’avère un puissant pont pour accéder à l’émotion viscérale, pour les personnages comme pour le spectateur. Subtile manière aussi de renouer avec les grands sentiments, avec les histoires d’amour envoûtantes, et avec le mélodrame assumé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Un grand film sur les petites solitudes et comment on comble les vides avec des histoires. Paul Mescal est renversant et Andrew Scott absolument bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Pauline Weiss
Un film d’Andrew au scénario original et magnifique.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Le réalisateur tire les fils d’un scénario subtil, librement adapté du roman Présences d’un été.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
POUR : Un mélo chavirant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Constance Jamet
Un bouleversant récit sur le deuil et le lâcher-prise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
N'oubliez pas vos mouchoirs avant d'aller découvrir cet objet cinématographique non identifié et terriblement original qui vous embarque dans un bouleversant voyage intérieur.
Le Monde
par T. S.
Le metteur en scène Andrew Haigh filme les miracles − Adam retrouve ses parents comme ils étaient quand il avait 11 ans − et la passion amoureuse en passant de la chaleur à la brûlure, sans jamais rien perdre de sa délicatesse. En premier violon d’un irréprochable quatuor d’acteurs, Andrew Scott est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Andrew Haigh revient au cinéma avec ce beau film hanté par quatre formidables comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jérémy Piette
En parallèle du récit d’un amour entre deux garçons, éclot un véritable récit-deuil, ample, proustien en ce qu’il marche sur ses propres traces, purgatoire où les revenants ont autant à apprendre que les vivants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Robin Verner
Ode à la vie, œuvre de deuil, romance… Genres et expressions prêts à l'emploi se bousculent pour évoquer « Sans jamais nous connaître ». Mais le film du Britannique Andrew Haigh ne joue pas le jeu, préférant mener sa propre partie. Pour un résultat tout en éblouissements et renversements.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Cheze
Un grand film d'amour(s)
Première
par Thierry Cheze
Un grand film sur l’amour, le deuil, l’homosexualité et la solitude qui vous serre le cœur en évitant toute sensiblerie. Andrew Haigh a son meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Porté par des comédiens ultra-sensibles, le récit, puissant et jamais tire-larmes, prend au cœur pour ne plus nous lâcher.
Télé Loisirs
par S.O.
Cette romance baignée de fantastique tient le délicat équilibre entre passé et présent, merveilleux et réel, provoquant une émotion qui doit autant à ses personnages qu'à son atmosphère.
Télérama
par Frédéric Strauss
Au fil de scènes inattendues, Sans jamais nous connaître se révèle un film souvent déchirant sur notre besoin de consolation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mad Movies
par Cédric Delelée
L'enthousiasme critique débordant dont a bénéficié "Sans jamais nous connaître" outre-Manche et ailleurs semble donc très exagéré, mais la subtilité du traitement mérite qu'on s'y attarde.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Un étrange récit qui mêle trépassés et vivants avec subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
POUR : Le long métrage d’Andrew Haigh propose une variation subtile sur les névroses contemporaines, mixant les genres du drame familial, de l’onirisme et des thématiques LGBT.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Le Britannique Andrew Haigh signe un mélodrame déchirant teinté de fantastique sur le deuil, l’homosexualité et la solitude, qui malheureusement ne tient pas ses promesses jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par C.B.
Ce mélo est interprété par Andrew Scott et Paul Mescal, aussi beaux que démonstratifs. Mais que c’est lent et triste ! Et la forme est inutilement alambiquée : le héros rêve, cauchemarde, revit des situations et ressuscite des morts… On se perd dans un exercice de style et on finit par s’y ennuyer carrément.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Surtout, le film pèche par son bavardage : au lieu de laisser le spectateur ressentir les émotions d'Adam, les dialogues viennent tout expliquer et souligner.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Si cette mise à plat temporaire qui fait que parents et fils ont le même âge peut être troublante (la première rencontre avec le père ressemblant à une scène de drague), la matière émotionnelle du mélodrame se retrouve écrasée, prémâchée dans une rêverie psychologisante (« que diraient mes parents s’ils étaient toujours là ?).
L'Obs
par Nicolas Schaller
CONTRE : Les images léchées, la bande-son enfilant les madeleines FM comme des perles et le casting branché nous sont apparus comme les cache-misère d’une mauvaise pièce de théâtre, du simili-Tennessee Williams sous Tranxène, au récit aussi crypté que l’allégorie psychanalytique est basique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
aVoir-aLire.com
par Jean-Baptiste Doulcet
CONTRE : Une fable indigeste, sauvée de justesse par l’interprétation toute en nuances d’Andrew Scott.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Un grand film sur l'amour et ses fantômes, d'une émotion et d'une beauté infinies.
GQ
Présenter un film aussi magnifique que "Sans jamais nous connaître" est une tâche complexe : par où commencer ? Ce film réserve à son spectateur tant de surprises et de mystère. À peine sorti de la salle, on n’a qu’une envie : en parler.
Les Inrockuptibles
Il y a dans le film une sublime utopie, celle du cinéma tout entier, de nous faire rencontrer des mort·es qui reviennent, vivant·es, sous nos yeux, de pouvoir les étreindre et vivre avec eux l’amour qu’on a toujours voulu avoir.
Transfuge
Comme tous ceux qu’on a aimés mais qu’on n’a pas eu le temps d’assez chérir, ce film est inoubliable.
Voici
Andrew Scott et Paul Mescal jouent ici une partition dont la grande subtilité et la complexité n'altèrent jamais la puissance des émotions. A ne pas manquer.
20 Minutes
Bouleversant.
Bande à part
Le goût du fantastique sans spectaculaire s’avère un puissant pont pour accéder à l’émotion viscérale, pour les personnages comme pour le spectateur. Subtile manière aussi de renouer avec les grands sentiments, avec les histoires d’amour envoûtantes, et avec le mélodrame assumé.
Ecran Large
Un grand film sur les petites solitudes et comment on comble les vides avec des histoires. Paul Mescal est renversant et Andrew Scott absolument bouleversant.
Elle
Un film d’Andrew au scénario original et magnifique.
L'Humanité
Le réalisateur tire les fils d’un scénario subtil, librement adapté du roman Présences d’un été.
L'Obs
POUR : Un mélo chavirant.
Le Figaro
Un bouleversant récit sur le deuil et le lâcher-prise.
Le Journal du Dimanche
N'oubliez pas vos mouchoirs avant d'aller découvrir cet objet cinématographique non identifié et terriblement original qui vous embarque dans un bouleversant voyage intérieur.
Le Monde
Le metteur en scène Andrew Haigh filme les miracles − Adam retrouve ses parents comme ils étaient quand il avait 11 ans − et la passion amoureuse en passant de la chaleur à la brûlure, sans jamais rien perdre de sa délicatesse. En premier violon d’un irréprochable quatuor d’acteurs, Andrew Scott est bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
Andrew Haigh revient au cinéma avec ce beau film hanté par quatre formidables comédiens.
Libération
En parallèle du récit d’un amour entre deux garçons, éclot un véritable récit-deuil, ample, proustien en ce qu’il marche sur ses propres traces, purgatoire où les revenants ont autant à apprendre que les vivants.
Marianne
Ode à la vie, œuvre de deuil, romance… Genres et expressions prêts à l'emploi se bousculent pour évoquer « Sans jamais nous connaître ». Mais le film du Britannique Andrew Haigh ne joue pas le jeu, préférant mener sa propre partie. Pour un résultat tout en éblouissements et renversements.
Ouest France
Un grand film d'amour(s)
Première
Un grand film sur l’amour, le deuil, l’homosexualité et la solitude qui vous serre le cœur en évitant toute sensiblerie. Andrew Haigh a son meilleur.
Télé 7 Jours
Porté par des comédiens ultra-sensibles, le récit, puissant et jamais tire-larmes, prend au cœur pour ne plus nous lâcher.
Télé Loisirs
Cette romance baignée de fantastique tient le délicat équilibre entre passé et présent, merveilleux et réel, provoquant une émotion qui doit autant à ses personnages qu'à son atmosphère.
Télérama
Au fil de scènes inattendues, Sans jamais nous connaître se révèle un film souvent déchirant sur notre besoin de consolation.
Mad Movies
L'enthousiasme critique débordant dont a bénéficié "Sans jamais nous connaître" outre-Manche et ailleurs semble donc très exagéré, mais la subtilité du traitement mérite qu'on s'y attarde.
Rolling Stone
Un étrange récit qui mêle trépassés et vivants avec subtilité.
aVoir-aLire.com
POUR : Le long métrage d’Andrew Haigh propose une variation subtile sur les névroses contemporaines, mixant les genres du drame familial, de l’onirisme et des thématiques LGBT.
La Croix
Le Britannique Andrew Haigh signe un mélodrame déchirant teinté de fantastique sur le deuil, l’homosexualité et la solitude, qui malheureusement ne tient pas ses promesses jusqu’au bout.
Le Parisien
Ce mélo est interprété par Andrew Scott et Paul Mescal, aussi beaux que démonstratifs. Mais que c’est lent et triste ! Et la forme est inutilement alambiquée : le héros rêve, cauchemarde, revit des situations et ressuscite des morts… On se perd dans un exercice de style et on finit par s’y ennuyer carrément.
Le Point
Surtout, le film pèche par son bavardage : au lieu de laisser le spectateur ressentir les émotions d'Adam, les dialogues viennent tout expliquer et souligner.
Cahiers du Cinéma
Si cette mise à plat temporaire qui fait que parents et fils ont le même âge peut être troublante (la première rencontre avec le père ressemblant à une scène de drague), la matière émotionnelle du mélodrame se retrouve écrasée, prémâchée dans une rêverie psychologisante (« que diraient mes parents s’ils étaient toujours là ?).
L'Obs
CONTRE : Les images léchées, la bande-son enfilant les madeleines FM comme des perles et le casting branché nous sont apparus comme les cache-misère d’une mauvaise pièce de théâtre, du simili-Tennessee Williams sous Tranxène, au récit aussi crypté que l’allégorie psychanalytique est basique.
aVoir-aLire.com
CONTRE : Une fable indigeste, sauvée de justesse par l’interprétation toute en nuances d’Andrew Scott.