Avis sur Flesh Meat Doll(S)

Première réalisation pour C. Huston qui réalise ici un court-métrage de 15min nous offrant un large panel d’immondices : du gore, de la nécrophiliǝ, de l’urophiliǝ et des viols. Bref tout un programme empli de joyeusetés où un homme (dont on ne saura rien), assassine un couple et se met à les violer.

L’homme mort est ligoté et violé avant que sa femme ne subisse le même sort. Ici, le sexe est non-simulé et la violence graphique à son paroxysme. Âmes sensibles s’abstenir, spoiler: on y voit l’homme récupérer dans le vag!n de la femme son tampon hygiénique usagé et se badigeonner le visage et le corps de son sang menstruel avant de la pénétrer et de lui faire un cunnilingus.


Et comme si tout cela n’était pas déjà suffisant, spoiler: il va l’éventrer, y insérer son pén!s et la pénétrer de nouveau, avant de tout simplement lui trancher la tête pour se pratiquer une fǝllation avec cette dernière
(une scène qui nous rappelle étrangement celle aperçue dans Haute Tension (2003) d’Alexandre Aja) et de conclure spoiler: en se coupant le pén!s
.

C. Huston ne fait pas dans la demi-mesure en cochant toutes les cases du cahier des charges des insanités les plus inavouables. Dénué du moindre dialogue, l’ensemble est bien évidemment abject et gerbatoire, une sorte de porno hardcore, trash et totalement WTF. Dans la droite lignée de Nekromantik (1987) ou d’Aftermath (1994), mais à un level très largement au-dessus.

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