Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) ces deux pirates (les Straub) du septième art érigent un univers à la limite du professoral, asphyxiant à force de contrôle, où le spectateur n'a de place que docile et pétri d'admiration. Une liberté conditionnelle, en somme, à laquelle il est difficile de se soumettre pendant deux heures.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Emile Breton
(...) un " choral " d'une hiératique beauté où chacun intervient à son tour.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Cette forme brute, sèche, d'une grande limpidité détient une sorte d'évidence. Les personnages sont là, droits ou assis mais toujours immobiles, récitant – jouant – leur texte, contant un récit (...) qui lentement, avec la multiplication des personnages, devient choral.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Fluctuat.net
par Hélène Raymond
De tels films font que le cinéma aujourd'hui est riche de possibilités, d'audaces, de terres inexplorées. Ils inventent cette marge qui balaie les sombres discours sur sa mort, sa fin, son apocalypse.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Au gré des mots, mille histoires sont invoquées. Ouvriers, paysans conte le désir des hommes pour les femmes et des femmes pour les hommes ; la trahison, la tendresse, le dépit, la timidité, la souffrance dans la misère extrême et l'espoir dans la possibilité d'une vie meilleure.
Libération
par Vincent Dieutre
Ce qui s'impose dans Ouvriers, paysans, c'est justement la revendication intégrale du film, son urgente nécessité. De la diction des textes au souffle de vent révélant un visage (...), c'est tout le film qui travaille.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Gorin
(...) ce film, âpre et doux, paisible et violent, artisan et partisan d'une utopie communautaire, sinon communiste, inlassablement remise sur le métier, ce film un peu trop long dans sa robe d'austérité luxuriante est admirable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Les personnages – leur pays, leurs conditions de vie – sont âpres. Ils gardent tout du long la mine grave. A force d'insistance, cette chorale de voix, perdue dans la nature immuable, finit par envoûter – parfois jusqu'à l'hypnose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Magazine
par Christophe d'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
Si vous n'avez jamais exploré ces antipodes du cinéma de divertissement, et si vous avez envie de vous tester ce défi posé à l'image, et vos capacités de résistance, essayez (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Virginie Leray
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Chronic'art.com
(...) ces deux pirates (les Straub) du septième art érigent un univers à la limite du professoral, asphyxiant à force de contrôle, où le spectateur n'a de place que docile et pétri d'admiration. Une liberté conditionnelle, en somme, à laquelle il est difficile de se soumettre pendant deux heures.
L'Humanité
(...) un " choral " d'une hiératique beauté où chacun intervient à son tour.
Urbuz
Cette forme brute, sèche, d'une grande limpidité détient une sorte d'évidence. Les personnages sont là, droits ou assis mais toujours immobiles, récitant – jouant – leur texte, contant un récit (...) qui lentement, avec la multiplication des personnages, devient choral.
Fluctuat.net
De tels films font que le cinéma aujourd'hui est riche de possibilités, d'audaces, de terres inexplorées. Ils inventent cette marge qui balaie les sombres discours sur sa mort, sa fin, son apocalypse.
Le Monde
Au gré des mots, mille histoires sont invoquées. Ouvriers, paysans conte le désir des hommes pour les femmes et des femmes pour les hommes ; la trahison, la tendresse, le dépit, la timidité, la souffrance dans la misère extrême et l'espoir dans la possibilité d'une vie meilleure.
Libération
Ce qui s'impose dans Ouvriers, paysans, c'est justement la revendication intégrale du film, son urgente nécessité. De la diction des textes au souffle de vent révélant un visage (...), c'est tout le film qui travaille.
Télérama
(...) ce film, âpre et doux, paisible et violent, artisan et partisan d'une utopie communautaire, sinon communiste, inlassablement remise sur le métier, ce film un peu trop long dans sa robe d'austérité luxuriante est admirable.
L'Obs
Les personnages – leur pays, leurs conditions de vie – sont âpres. Ils gardent tout du long la mine grave. A force d'insistance, cette chorale de voix, perdue dans la nature immuable, finit par envoûter – parfois jusqu'à l'hypnose.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Si vous n'avez jamais exploré ces antipodes du cinéma de divertissement, et si vous avez envie de vous tester ce défi posé à l'image, et vos capacités de résistance, essayez (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr