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Louise Sarah-Mercedes et Aicha Guillard ghembaza
2 abonnés
24 critiques
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5,0
Publiée le 15 juillet 2023
Très jolie histoire , admirablement interprété ..
qui nous fait vivre une nuit de folie , une nuit pour oublier , une nuit pour rire , pleurer, s'écouter, s'aimer, une nuit pour vivre encore et encore 😉
Superbe !!! Émouvant, bouleversant. Des acteurs sincères qui portent magistralement la sensibilité de ce film. Il fait parti des rares films qui restent "gravés". On sort de la salle mais les scènes les répliques vous reviennent comme vos propres souvenirs. spoiler: La fin vous fait rembobiner tout le film et donne une nouvelle lecture boulversante.
J'ai trouvé très plaisant de passer cette nuit avec les acteurs du film, l'expérience est presque immersive tellement on est proche d'eux. Histoire très humaine, il y a des films qu'on oublie dès qu'on sort du ciné, celui-ci devrait m'accompagner quelques temps. Merci Alex, merci Karin.
Durant tout le film j’ai ressenti comme un malaise, me demandant en permanence si ce qui me semblait maladroit et peu crédible l’était réellement ou si c’était volontaire mais dans ce cas dans quel but ? Ces questions finissent par trouver une réponse dans le twist final. Malgré cela, l’écriture élégante et l’interprétation presque sans faille du duo, « une nuit » n’en reste pas moins un peu décevant par la banalité globale du fond que l’enrobage ne suffit pas à faire passer.
Ah... comment dire ? Autant j'aime beaucoup Karine et Alex...autant ce film m'a déçu. L'improvisation ne leur réussit pas ici, et on devine facilement la fin. Dommage.
Petite pépite.. Alex Luz m'a agréablement surprise tout comme la fin de l'histoire, Me laissant repartir émue comme jamais. Échanges profonds entre ces deux personnages attachants. J'ai passé un magnifique moment avec eux.
Formidable film. Ne regardez pas les notes. C'est un film d'une beauté et d'une justesse d'acteur. Si vous aimez les nanars, en effet restez chez vous. Si vous vous posez des questions sur le sens de la vie et l'amour Alex nous fait vivre un grand moment de cinéma
Complexe et émouvant. Plus je repasse les scènes et les dialogues dans ma tête, plus j'aime ce film. Interprétation magistrale de Karin Viard et Alex Lutz. J'irai le revoir pour le savourer.
Aymeric et Nathalie se rencontrent de manière très houleuse lorsque l'une butte contre l'un dans le métro parisien. Immédiatement happés par l'électricité qu'ils dégagent l'un envers l'autre, ils partent à la conquête de la nuit parisienne. Une nuit d'errance qui les amène à se découvrir, en apprendre plus sur eux-mêmes, jusqu'au matin. En salle le 5 juillet. spoiler:
Une Nuit est une belle histoire d'amour qui débute avec quelques platitudes et une prétextée alchimie pour s'embarquer ensuite dans une véritable réflexion sur les relations à l'autre et à soi-même. Le film souffre d'un problème de rythme car j'ai senti le soufflet redescendre à plusieurs reprises, même si j'ai apprécié la profondeur des interrogations que posent les dialogues au spectateur sur le sens de beaucoup de choses. Attention toutefois car la philosophie ambiante a tendance à prendre le pas sur un duo qui peine à se construire. Je n'ai pas forcément bien compris le virage final.
Un soir, dans la ligne 6 bondée du métro parisien, une altercation éclate entre un homme et une femme projetés l’un contre l’autre. Quelques instants plus tard, les voici dans un photomaton le pantalon aux chevilles, sauvagement enlacés.
Le début d’Une nuit n’est pas très crédible. Il m’est arrivé quelque fois hélas d’échanger des noms d’oiseaux avec un passager d’un métro comble ; il ne m’est (hélas ?) jamais arrivé de baiser sauvagement avec lui (elle ?) dans le quart d’heure qui suivait dans un photomaton.
J’ai lu des critiques assassines d’"Une nuit". Le plus cocasse était qu’elles lui reconnaissaient une circonstance atténuante : sa première scène. Aussi me suis-je dit au bout de dix minutes que ce film était bien mal parti, puisque le pire était à venir alors que le meilleur était déjà bien mauvais. Et pourtant, à ma plus grande surprise et pour mon plus grand soulagement, j’ai apprécié ce film et ne hurlerai pas avec les loups. La raison en a été triple.
La première est que j’ai beaucoup aimé cette longue déambulation nocturne, qui m’en a rappelé d’autres ("Before Sunrise" avec Julie Delpy, "Ouvert la nuit" avec Edouard Baer…) et les paroles qu’y échangent les deux héros sur la vie, sur le couple, sur ce train-train qui nous englue et dont il faut avoir le courage de se secouer, sur ces remords dont on sait qu’ils valent mieux que les regrets des décisions qu’on n’a pas prises…. Sans doute, certains ralentis sont-ils maladroits. Sans doute la bande son au piano est-elle parfois envahissante. Mais, à mes yeux, ce sont des défauts véniels.
La deuxième est le choix des deux acteurs. J’ai depuis toujours les yeux de Chimène pour Alex Lutz que je trouve incroyablement séduisant et talentueux. J’ai adoré – et je me réjouis de ne pas avoir été le seul – "Guy". J’ai autant aimé "5ème set" qui a hélas eu moins de succès. Comme Michalik ou Beigbeder – dont je suis conscient qu’ils sont loin de faire l’unanimité – j’aime la façon dont Lutz se met en scène avec ce mélange d’égocentraisme et de sincérité qui me le rend attachant. J’ai été aussi heureux de retrouver Karin Viard. Je l’adorais dans les 90ies dans ses premiers films : "Les Randonneurs", "La Nouvelle Eve", "Haut les cœurs !". J’ai trouvé ensuite qu’elle s’égarait dans des rôles répétitifs de mégère énervée à la voix de crécelle. Je la retrouve dans Une nuit comme je l’aimais avant, débarrassée des tics et des tocs qui encombraient inutilement son jeu.
La dernière raison de mon engouement est dans la conclusion de ce film. C’est déjà trop en dire qu’elle nous réserve une double surprise. La première n’en est qu’à moitié une. Plusieurs indices du film nous la laissaient pressentir. La seconde est franchement étonnante. Certains l’ont trouvée totalement improbable. Elle ne m’en a pas moins beaucoup ému.