AlloCiné
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Votre avis sur Une nuit ?
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2 étoiles pour les acteurs que j'aime mais là franchement, très très déçue.
La bande annonce est pourtant prometteuse mais ça fait chou blanc! Beaucoup de palabres, des clichés, des scènes et des dialogues énervants. même en allant plus loin dans le film on n'y retrouve aucun plaisir. On zape vite.
La bande annonce est pourtant prometteuse mais ça fait chou blanc! Beaucoup de palabres, des clichés, des scènes et des dialogues énervants. même en allant plus loin dans le film on n'y retrouve aucun plaisir. On zape vite.
Chef d'œuvre. J'ai adoré, nous spectateurs nous sommes pris au piège par un énorme e songe et on y croit. Bravo, le jeu des acteurs est bluffant.
J'aime d'autant plus me faire surprendre par un film que cela arrive rarement.
"Une nuit" y est parvenu.
Après un début qui me semblait peu crédible et plutôt bavard, j'ai fini par me laisser charmer par les pérégrinations nocturnes de ces deux amants.
Il faut dire que le duo Alex Lutz/Karin Viard, improbable sur le papier, fait des étincelles à l'écran. On s'attache, on se questionne,... et puis vient la fin, totalement inattendue, qui sublime l'ensemble et nous donne envie de nous repasser le film de cette nuit.
"Une nuit" y est parvenu.
Après un début qui me semblait peu crédible et plutôt bavard, j'ai fini par me laisser charmer par les pérégrinations nocturnes de ces deux amants.
Il faut dire que le duo Alex Lutz/Karin Viard, improbable sur le papier, fait des étincelles à l'écran. On s'attache, on se questionne,... et puis vient la fin, totalement inattendue, qui sublime l'ensemble et nous donne envie de nous repasser le film de cette nuit.
Une parenthèse, une pause dans le temps qui s'enfuit souvent violemment... J'ai vécu en partie cette "osmose" pas en une seule nuit certes, mais sur une période plus longue et si dangereusement courte pour en percevoir l'âme, l'essence de l'autre… A toi C.
Ca commence par une rencontre dans le métro, une engueulade spectaculaire entre un homme bousculé par une femme qui entre à la dernière minute et qui fait rire les passagers. Puis une baise soudaine dans un photomaton du métro. Ils se disent au revoir mais trouvent sans cesse des raisons de passer la nuit ensemble, un lien amoureux semble se dessiner tout en les amenant à se confier tout sur leurs vies, comme on ne peut le faire qu'entre inconnus. Ce film aurait pu être d'une beauté et d'une poésie incroyable, on sent l'influence de la magnifique trilologie des Before (surise, sunset, midnight) avec Julie Delpy et Ethan Hawke. Cependant la magie ne prend pas, le côté bobo, psycho, le maniérisme de Lutz, l'agressivité de Viard trempent trop dans le bourgeois donneur de leçon de vie pour qu'on s'identifie à eux. Et personnellement j'ai deviné la fin dès le premier tiers du film quand ils se parlent de leurs femme et mari respectifs avec des compliments. Ce film est un simple exercice de réthorique qui cherche et force ses moments de grâce sans les atteindre pleinement. Oui les acteurs sont bons, mais ça joue des personnages, sans pourtant arriver à les faire vivre.
Cinéphiles 44
Un soir, un homme et une femme se font face dans le métro bondé. "Une nuit", l'intimité se crée entre les deux inconnus. S'ils ont une autre vie en dehors, ils profitent de ces quelques heures à deux pour vivre danse joyeuse et mélancolique. Karin Viard et Alex Lutz sont resplendissants dans cet instant éphémère. L'une des plus belles romances de l'année.
Une belle parenthèse nocturne. La lenteur choisie par Alex Lutz sied bien aux sentiments et aux réflexions philosophiques sur le couple et la vie en général. Je ne suis pas fan de son jeu d'acteur mais il filme admirablement Karin Viard qui est remarquable et plus belle que jamais sous l'œil de sa caméra. Le twist final rend l'histoire encore plus belle. Une belle réussite.
Déambulation sentimentale nocturne, cette romance à la fin douce amère, tristement souriante questionne le couple, le désir, la force de l'inattendu en s'appuyant sur le charme et la composition très juste de Karin Viard et d'Alex Lutz dont la réalisation épouse les différentes phases de l'évolution de ce duo a priori inattendu, leurs découvertes, leurs partages culturels, discursifs ou émotifs. Une jolie quête de soi et de l'autre fantasmé.
Mon dieu que c'est nul, perte de temps incroyable.karine Viard est juste une catastrophe, les dialogues sont d'une tristesse, un gros nanard
Totalement sous le charme de ce film. pourtant plutôt cinéphile, je n'ai pas été sorti du film par ce que des critiques avertis pourront qualifier de facilités, bavardages, ou par le twist final. non, j'ai adoré, et ai été sensible à la fin. J'en ai encore des frissons. Lutz sait sublimer les moments, le sensible, cela fait un bien fou. De la beauté.
merci.
merci.
Déçu du film. Autant j'aime beaucoup Alex Lutz autant je ne peux pas supporter ce milieu de bobos parisiens bien pensants avec leurs idées pseudo féministes et déconstructivistes. je ne vois pas qui peut rêver avec un film comme ça. Paris n'est plus la ville de l'amour et même dans le film on le sent... Dommage parce que le film commençait bien avec une bonne intensité.
Une pépite !
Un vrai bijou ce film.
Une alchimie parfaite entre deux acteurs qui ne donnent même pas l'impression de jouer mais tout simplement d'être, et c'est ça que l'on demande au cinéma.
Alex Lutz a réalisé là un vrai moment de cinéma.
Des dialogues tantôt profonds, drôle, émouvants, et toujours juste.
Merci pour ce moment !
Un vrai bijou ce film.
Une alchimie parfaite entre deux acteurs qui ne donnent même pas l'impression de jouer mais tout simplement d'être, et c'est ça que l'on demande au cinéma.
Alex Lutz a réalisé là un vrai moment de cinéma.
Des dialogues tantôt profonds, drôle, émouvants, et toujours juste.
Merci pour ce moment !
Je viens de regarder "une nuit"! L'idée du couple fait et refait par le réalisateur, mais qui m'a laissé plutôt pantois...Des moments terribles par la pauvreté du dialogue , et des moments saisissants non par la qualité du dialogue mais plutôt par la qualité des acteurs, des jeux de lumiere ....certes tout cela ne durent guère longtemps. L'idée était captivante mais la pauvreté du texte nous endort par moment...la fin est déconcertante, ce n'est plus le couple qui s'est croisé mais le couple qui s'est dé-croisé et qui enfin ose parler de leur vérité...on en ressort perplexe ! Pas emballé pour ma part !
LUTZ et VIARD sont admirables de naturel, dans cette relation improvisée éphémère ou non (cf. le twist final).
Le concept de ces dialogues "sociétaux" sur les relations de couple propose :
- soit des fulgurances remarquables,
- soit des banalités gênantes (au restaurant devisant sur les autres clients, intervention impromptue sur scène de théâtre,...).
Le ressenti est en effet contrasté, avec des envies de quitter la salle par moments, tant certains échanges paraissent totalement dénués d'intérêt; et puis des envies de vivre avec eux par empathie leurs émois profonds.
La BO originale propose de très beaux arrangements pianistiques d'oeuvres classiques...
Contrasté!
Le concept de ces dialogues "sociétaux" sur les relations de couple propose :
- soit des fulgurances remarquables,
- soit des banalités gênantes (au restaurant devisant sur les autres clients, intervention impromptue sur scène de théâtre,...).
Le ressenti est en effet contrasté, avec des envies de quitter la salle par moments, tant certains échanges paraissent totalement dénués d'intérêt; et puis des envies de vivre avec eux par empathie leurs émois profonds.
La BO originale propose de très beaux arrangements pianistiques d'oeuvres classiques...
Contrasté!
Karin Viard et Alex Lutz sont amis dans la vraie vie et cela se voit tant leur complicité transpire à l’écran. Ils ont eu envie de faire un film ensemble et ont profité des confinements pour écrire « Une nuit », qu’ils ont tourné à la levée des mesures en 2022. Le hasard a fait qu’elle a fini par le produire et lui le réaliser. C’est donc vraiment une œuvre entièrement faite par eux deux et pour eux deux. Ils se sont fait plaisir, cela se ressent également à chaque minute du film. La confiance mutuelle est prégnante et la camaraderie qui en découle est évidente. Elle déteint forcément sur le film puisque tous les deux livrent des compositions impeccables, en osmose, et qui se répondent parfaitement le temps d’une valse romantique, fondue dans la nuit parisienne.
Le principe de ce long-métrage est donc presque conceptuel puisqu’on y voit une rencontre de deux personnes mariées qui se disputent pour finir par s’étreindre et ne plus se lâcher le temps d’une errance nocturne estivale. Deux acteurs, une unité de temps et de lieu et valse l’amour et le désir... Le problème majeur qui se profilait pour « Une nuit » n’est malheureusement pas évité: il est inégal. Certaines séquences magnifiques se disputent avec d’autres qui confinent à l’ennui et qui nous désintéressent poliment. Par exemple, leur rencontre/dispute dans le métro, la scène dans le restaurant japonais ou encore celle dans le club échangiste sont des séquences très belles et réussies, tour à tour drôles et surprenantes, quand d’autres s’avèrent même presque envoûtantes. Mais il faut aussi se farcir celle qui ne fonctionnent pas, qui sont trop longues ou qui ne captent pas notre attention comme la (très) longue scène sur les quais au début du film ou celle au Bois de Boulogne. Après cela dépendra de l’intérêt de chacun pour les sujets évoqués.
Concernant lesdits sujets, le couple à notre époque, l’amour et les relations hommes-femmes sont au centre de l’équation. C’est plutôt bien vu, toujours dans le vrai et non sans ironie. Il y a forcément beaucoup de dialogues, on pourra trouver en effet « Une nuit » bien trop bavard, qu’il ne laisse pas assez de place au silence. Mais beaucoup de choses dites le sont à raison. On évite également le Paris de carte postale, pour un Paris plus réaliste et anodin. « Une nuit » aurait pu se conclure sur leur séparation mais il se pare d’une conclusion fantasmagorique maladroite et inutile dont le film aurait dû se passer. Mais si on aime ces deux acteurs, cela reste agréable de les voir à nu dans un film écrit par leurs soins et plein de moments de grâce malgré ceux d’ennui poli. Une œuvre intime et agréable si on aime ces deux acteurs et qu’on fait fi d’un intérêt en dents de scie.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Le principe de ce long-métrage est donc presque conceptuel puisqu’on y voit une rencontre de deux personnes mariées qui se disputent pour finir par s’étreindre et ne plus se lâcher le temps d’une errance nocturne estivale. Deux acteurs, une unité de temps et de lieu et valse l’amour et le désir... Le problème majeur qui se profilait pour « Une nuit » n’est malheureusement pas évité: il est inégal. Certaines séquences magnifiques se disputent avec d’autres qui confinent à l’ennui et qui nous désintéressent poliment. Par exemple, leur rencontre/dispute dans le métro, la scène dans le restaurant japonais ou encore celle dans le club échangiste sont des séquences très belles et réussies, tour à tour drôles et surprenantes, quand d’autres s’avèrent même presque envoûtantes. Mais il faut aussi se farcir celle qui ne fonctionnent pas, qui sont trop longues ou qui ne captent pas notre attention comme la (très) longue scène sur les quais au début du film ou celle au Bois de Boulogne. Après cela dépendra de l’intérêt de chacun pour les sujets évoqués.
Concernant lesdits sujets, le couple à notre époque, l’amour et les relations hommes-femmes sont au centre de l’équation. C’est plutôt bien vu, toujours dans le vrai et non sans ironie. Il y a forcément beaucoup de dialogues, on pourra trouver en effet « Une nuit » bien trop bavard, qu’il ne laisse pas assez de place au silence. Mais beaucoup de choses dites le sont à raison. On évite également le Paris de carte postale, pour un Paris plus réaliste et anodin. « Une nuit » aurait pu se conclure sur leur séparation mais il se pare d’une conclusion fantasmagorique maladroite et inutile dont le film aurait dû se passer. Mais si on aime ces deux acteurs, cela reste agréable de les voir à nu dans un film écrit par leurs soins et plein de moments de grâce malgré ceux d’ennui poli. Une œuvre intime et agréable si on aime ces deux acteurs et qu’on fait fi d’un intérêt en dents de scie.
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