Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Obs
par Sophie Grassin
L’interprétation de la danseuse contemporaine Janet Novás et Rui Poças à la photo achèvent de magnifier ce superbe film fait de rimes et d’échos.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une vision sensible et percutante de l'histoire sombre de l'Espagne, tandis que le personnage de Maria incarne la résilience et la lutte pour la liberté dans un monde oppressif.
Le Parisien
par Lou Hupel
Là où Camborda excelle, c’est lorsqu’elle filme le corps féminin avec un rapport à l’intime presque animal et très frontal, et à la fois une certaine pudeur que les jeux de lumière subliment. Grand Prix au dernier Festival de San Sebastian, « O Corno » est un geste de cinéma esthétique et politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
La solitude, la douleur, l’héroïsme, et enfin la sororité : d’une sensibilité et d’une chaleur ardentes, le deuxième film de Jaione Camborda célèbre les femmes et leurs corps.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Prenant pour cadre les dernières années du franquisme, "O Corno" est une exploration vibrante de ce que vivent les femmes dans une société autoritaire et liberticide.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Très intelligemment, c’est la « condition » des femmes qui sera le motif décliné en diverses tonalités : de la condition dite « intéressante » de la grossesse à la condition persécutée de corps à réprimer, sorcières ou avorteuses, contrebandières ou prostituées, femmes mûres, femmes noires, filles-mères, hors-la-loi et exilées, et sous quelle condition survivre, résister, vivre les moments de plaisir, de liberté – qui ne soient aussitôt voués à la douleur et au crime.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans des couleurs somptueuses, marron de boue, or pâle des blés, encre des eaux miroitantes, que le directeur de la photographie semble emprunter autant à Velázquez qu’à Géricault, O corno exalte l’héroïsme féminin le plus concret.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une élégante épopée féministe pour célébrer la liberté, la maternité et la sororité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Cl. F.
Rien de tout cela n’est asséné, la mise en scène nous le dit secrètement, plan après plan, tandis que des personnages féminins surgissent autour de Maria, de manière fugace, pour disparaître ensuite, comme un passage de relais.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Parfois un peu trop didactique, O Corno remplit largement sa mission en incarnant ses personnages avec force et en faisant revivre par mille détails toute une époque de l'histoire espagnole.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
Un sujet intéressant qui finit par terriblement ennuyer.
L'Obs
L’interprétation de la danseuse contemporaine Janet Novás et Rui Poças à la photo achèvent de magnifier ce superbe film fait de rimes et d’échos.
Le Dauphiné Libéré
Une vision sensible et percutante de l'histoire sombre de l'Espagne, tandis que le personnage de Maria incarne la résilience et la lutte pour la liberté dans un monde oppressif.
Le Parisien
Là où Camborda excelle, c’est lorsqu’elle filme le corps féminin avec un rapport à l’intime presque animal et très frontal, et à la fois une certaine pudeur que les jeux de lumière subliment. Grand Prix au dernier Festival de San Sebastian, « O Corno » est un geste de cinéma esthétique et politique.
Les Fiches du Cinéma
La solitude, la douleur, l’héroïsme, et enfin la sororité : d’une sensibilité et d’une chaleur ardentes, le deuxième film de Jaione Camborda célèbre les femmes et leurs corps.
Les Inrockuptibles
Prenant pour cadre les dernières années du franquisme, "O Corno" est une exploration vibrante de ce que vivent les femmes dans une société autoritaire et liberticide.
Libération
Très intelligemment, c’est la « condition » des femmes qui sera le motif décliné en diverses tonalités : de la condition dite « intéressante » de la grossesse à la condition persécutée de corps à réprimer, sorcières ou avorteuses, contrebandières ou prostituées, femmes mûres, femmes noires, filles-mères, hors-la-loi et exilées, et sous quelle condition survivre, résister, vivre les moments de plaisir, de liberté – qui ne soient aussitôt voués à la douleur et au crime.
Télérama
Dans des couleurs somptueuses, marron de boue, or pâle des blés, encre des eaux miroitantes, que le directeur de la photographie semble emprunter autant à Velázquez qu’à Géricault, O corno exalte l’héroïsme féminin le plus concret.
aVoir-aLire.com
Une élégante épopée féministe pour célébrer la liberté, la maternité et la sororité.
Le Monde
Rien de tout cela n’est asséné, la mise en scène nous le dit secrètement, plan après plan, tandis que des personnages féminins surgissent autour de Maria, de manière fugace, pour disparaître ensuite, comme un passage de relais.
Le Point
Parfois un peu trop didactique, O Corno remplit largement sa mission en incarnant ses personnages avec force et en faisant revivre par mille détails toute une époque de l'histoire espagnole.
Ouest France
Un sujet intéressant qui finit par terriblement ennuyer.