Dos Madres
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traversay1
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3 803 abonnés 4 925 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 27 octobre 2023
Un jeu de piste et une aventure pour évoquer le drame absolu des enfants volés sous le franquisme : il n'est pas certain que Victor Iriarte, pour son premier long-métrage, ait choisi la voie la plus facile ni hélas la plus convaincante. Passé un préambule opaque et maniéré, le film s'engage délibérément dans une narration d'un formalisme achevé qui va totalement à l'encontre de la recherche de l'émotion. Il y avait de quoi raconter sur un tel sujet, pourtant, mais le cinéaste s'est embarqué dans une continuité en voix (au pluriel) off, autour des deux mères d'un jeune garçon, se permettant même des emprunts au film noir ou au récit d'aventures, avec d'improbables péripéties, sur la fin, pour couronner le tout. Et parfois, pour faire joli, le film digresse vers des parenthèses musicales, qui déconnectent encore davantage, comme si c'était nécessaire, du cœur de l'intrigue. Lola Dueñas et Ana Torrent font ce qu'elles peuvent pour ne pas nous faire oublier que Sobre todo de noche est sur le papier une histoire empreinte d'humanité, rappelant au passage des heures sombres de l'histoire récente de l'Espagne mais, à l'impossible, elles ne sont pas tenues. L'intérêt pour le film s'est dilué très tôt, dans un festival de préciosité totalement contre-productif.
Chris58640
Chris58640

229 abonnés 771 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 19 juillet 2024
Le réalisateur espagnol Victor Iriarte avait entre les mains deux actrices de premier plan et un sujet en or : le trafic des bébés volés espagnols, entre 1940 et 1990. En qu’en fait-il ? Sur la forme, il produit un film éthéré, lent, maniéré pour ne pas dire poseur, et sur le fond, il se loupe également. Le film fait à peine 1h50 et il paraît en durer le double ! Iriarte multiplie les scènes inutiles et de surcroît, il les étire inexplicablement : un doigt se promène sur une carte puis sur les rainures d’une table en marbre, des mains pianotent un clavier, des élèves en sténographie fond des étirements, un piano joue tout seul, un train passe au loin, un funiculaire s’élève dans les airs, une lumière verte se ballade sur un mur, etc. Le film est parsemé de scènes lentes, hors contexte, mutiques, qui durent et durent encore. S’il faut y voir un symbolisme quelconque, c’est raté pour moi. J’ajoute à cela des voix off qui remplacent les dialogues pendant toute la première partie du (trop) long métrage, une absence quasi totale de musique et des choix de mise en scène incompréhensibles. Par exemple, l’écran se résume à un rond (comme un hublot) pendant au moins 20 minutes, sans justification, sans explication. Que retirer de tout cela ? L’impression désagréable d’un réalisateur qui se regarde tourner comme d’autres s’écoutent parler : « Avec des plans comme çaaaa, Coco, c’est Cannes assuré... ». La photographie est assez laide, même quand il filme la très belle ville de San Sebastian, le grain de l’image est grossier spoiler: et même quand Victor Iriarte utilise des images d’archive avec une (très faible) velléité de dénoncer le passé franquiste, il le fait sans convictions, sans les appuyer d’aucune parole, d’aucun dialogue, d’aucun début de commencement de pédagogie sur le sujet
. Dans toute cette mixture cinématographique (indigeste en ce qui me concerne), son sujet central se retrouve dilué, dénaturé, jusqu’à quasiment disparaître. spoiler: Pendant la période franquiste qui volait les bébés à qui et pour les confier à qui ? Et dans quel but, idéologique, mercantile, les deux ? Pourquoi tout cela a continué jusque dans les années 90 alors même que l’Espagne avait intégré d’UE et était devenue une démocratie ? Ne comptez pas sur « Dos Madres » vous vous donner le début d’une piste ni même l’ébauche d’une réelle dénonciation.
Ici, il n’est question que d’amour maternel, de regrets, et autres sentiments diffus. Les pères sont totalement absents, pas même une allusion, ici la parentalité c’est la maternité point barre ! Le reste est visiblement superflu, ces messieurs apprécieront. Autre interrogation, le scandale du vol de bébé s’est terminé au cours des années 90, or le film se déroule de nos jours (smartphones et autres accessoires très modernes) et le jeune Egoz à 20 ans environ ? Le timing colle assez mal avec la réalité des faits établis, sauf à imaginer que le scandale s’est poursuivi et peut-être même dure encore. Si c’est ce qu’il fallait imaginer, alors il aurait fallu appuyer là-dessus, étayer le propos, consacrer quelques scènes ou au moins quelques dialogues sur la question, soulever le scandale : parce que là, sans rien de tout cela, on a juste à faire à un anachronisme. Les deux comédiennes, les pauvres Ana Torrent et Lola Dueñas, ne peuvent pas à elles seules sauver le film de l’ennui. Avec ce qu’on leur a donné à jouer, elles font tout ce qu’elles peuvent. C’est un peu pareil pour Manuel Egozque qui joue le rôle un peu falot d’Egoz. En réalité, entre réalisation poseuse, direction d’acteurs atone et scénario qui semble n’aller nulle part, « Dos Madres » est un film qui ne parvient pas à susciter l’intérêt, qui ne rend pas ses personnages attachants (alors qu’il y aurait réellement eu de quoi), c’est un film qui m’a laissé complètement sur le bord de la route. En Espagne, le film s’appelle « Sobre todo de noche » ce qui est un joli titre, incompréhensible dans le contexte, mais néanmoins plus élégant que « Dos Madres ». Pourquoi avoir changé le titre pour faire moins bien ? Et pourquoi cette affiche sans âme ? Décidément dans ce film, il n’y a pas grand chose à sauver, même en cherchant bien !
Tumtumtree
Tumtumtree

181 abonnés 539 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 23 juillet 2024
Ce qui suit est une vraie chronique, pas du remplissage par la boîte de prod ou le distributeur pour artificiellement faire monter la note.
Tout d'abord un grand respect à ce qui n'ont pas aimé ou ne sont pas rentrés dedans ; ca a dû être vraiment difficile pour vous ! Je suis sincère.
Mais bon quand on aime un cinéma exigeant qui cherche à innover, Dos Madres est un grand moment. Le film s'inscrit dans une lignée documentaire récente qui transforme complètement le genre. On pense à Carré 35, Les filles d’Olfa, le Barbara de Amalric, Little girl blue, etc.
Ici il s'agit de traiter de l'enlèvement de 300 000 enfants en Espagne entre 1940 et 1990. Dès l'ouverture, le cinéaste annonce clairement son parti pris, il va raconter les choses à sa façon et il assume, il n'y a pas tromperie sur la marchandise. D'ailleurs la bande-annonce est exactement conforme au film, c'est exactement la même chose, donc si vous n'appréciez pas la bande-annonce, ne vous infligez pas cette expérience.
Ce traitement est d'une très grande singularité. Chaque scène est exactement conforme à ce qu'on verrait dans un mélodrame conventionnel, mais de façon totalement décalée. Dans un film classique, on chercherait à caractériser les personnages, on vous expliquerait la situation politique, on verrait les démarches de la mère pour retrouver son fils, on la verrait en voiture le rechercher, etc. Etc. Eh bien là c'est exactement pareil, sauf que tout est transposé dans spoiler: et là je masque car il n'existe aucun mot pour caractériser cela. Ce n'est pas tout à fait poétique, même si ce serait très certainement le meilleur terme. Ce n'est pas tout à fait cinématographique car ça ne repose pas sur des moyens relevant strictement de ce médium. C'est...fondé sur le choix d'images souvent inattendues mais auxquelles on comprend qu'il ne faut donner strictement aucune valeur métaphorique. Si jamais vous cherchez des métaphores, tout le film devient complètement débile.
Le traitement de ces situations d'enlèvements généralisés s'avère ainsi d'une grande subtilité. Nous sommes là à des années lumière du mélo tire-larmes. Dos madres est bien plus pudique, et bien moins trompeur. On saisit les sentiments, on apprécie les personnages, mais on reste à distance, séparés du pathos par le dispositif cinématographique. Cette distance est souvent reprochée dans les critiques, mais c'est le fondement de la démarche assumée et annoncée du cinéaste.
La constante beauté des images, pourtant captées dans des lieux banals, rappelle ce que faisait le Godard des années 1980-1990. Les comediens ont su parfaitement entrer dans le jeu singulier du cinéaste, et tous ont leur moment de bravoure. Notamment une exceptionnelle scène de danse pour Egoz. Et même s'il s'agit d'un cinéma très très exigeant, le scénario est parfaitement limpide et l'on progresse dans un récit parfaitement structuré.
Bref, Dos madres est sans doute la victime involontaire d'un processus de distribution qui draine vers le film un public qui n'est pas prêt à accepter une exploration aussi novatrice et radicale. C'est exactement comme les fans de Barbara qui se retrouvaient devant le film de Mathieu Amalric. Ça ne peut pas marcher... À ce petit jeu, les notes en ligne s'effondrent. Mais dans son registre spécifique, Dos Madres est un très grand film, écrit, mis en scène et filmé par un cinéaste qui introduit une densité, une poésie et une profondeur dans le moindre plan, dans le moindre détail. Et ça, c'est extrêmement prometteur.
Régine T
Régine T

22 abonnés 71 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 18 juillet 2024
Un enfant volé sous le franquisme. Deux mères pour cet enfant. Où l’on retrouve Ana Torrent, femme, après avoir été la petite fille de Crià Cuervos de Carlos Saura. Film très lent et émouvant. Certains spectateurs sont partis avant la fin. Pour ma part, j’ai beaucoup aimé ce film.
selenie
selenie

6 593 abonnés 6 276 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 25 juillet 2024
Dès le départ on doit subit une voix Off qui va s'avérer omniprésente ce qui, grand paradoxe, va rendre le film beaucoup trop bavard alors même qu'il n'y a quasi aucun réel dialogue ! Cette voix Off va surtout déblatérer des choses d'une grande banalité et qui vient de l'évidence même, en effet après vingt ans de recherches on se doute bien que cela a été difficile et compliqué. On constate que le scénario est comme un gruyère puisque les scènes intéressantes et importantes, à savoir celle qui ont avoir avec l'intrigue, sont entrecoupées de plans interminables sur des moments inutiles qui se focalisent le plus souvent sur des figurants effectuant des choses aussi ineptes qu'ennuyeuses. Cela pourrait être des plans contemplatifs mais encore faut-il une photographie et des sujets amenant un minimum d'attrait visuel plutôt que l'état des dents de choristes ou de la sueur d'une séance de sport. La musique suppose une suite proche du thriller psychologique mais il en est rien, on est dans un drame intime et humain où il faut attendre la fin pour toucher du doigt un peu d'émotion vraie. Dommage, une grande déception au vu du potentiel.
Site : Selenie.fr
Corinne76100
Corinne76100

59 abonnés 367 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 26 juillet 2024
Film sans émotion dû au style narratif ampoulé et à la mise en scène incompréhensible (le cadrage, les plans). L'histoire n'est pas crédible.
Alexandre Mayet
Alexandre Mayet

12 abonnés 40 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 18 juillet 2024
Film qui se gargarise d’effets de mise en scène inutiles et prétentieux, image bourrée de grain, changement de cadre avec cet effet rond incompréhensible ??? Les personnages ne dialoguent presque jamais ensemble, on préfère ici les voix off, les plans longs, les coups...
Un cinéma trop centré sur soi-même, trop personnel, qui rend l’expérience assez ennuyeuse.
Marguerite88
Marguerite88

3 abonnés 1 critique Suivre son activité

5,0
Publiée le 18 juillet 2024
vu hier à MK2 Beaubourg, le film est impressionnant de beauté plastique. On découvre une histoire tragique et trop méconnue de l'Espagne à l'époque du franquisme. Bouleversant.
velocio
velocio

1 371 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 24 juillet 2024
C'est dommage que le réalisateur espagnol Víctor Iriarte n'ait pas oublié d'être prétentieux lorsqu'il a réalisé "Dos madres", car cette histoire d'un enfant volé à sa mère à l'époque du franquisme et sur la belle relation qui s'établit entre les deux mères lorsque la mère biologique rencontre la mère qui, en toute innocence, a adopté l'enfant, avait tout pour donner naissance à un film passionnant et poignant. Malheureusement, pour son premier long métrage, Víctor Iriarte n'avait pas oublié d'être prétentieux et on se retrouve dans un film où des voix off remplacent de véritables dialogues et qui accumulent des scènes dont on se demande très souvent quel rapport elles ont avec l'histoire. Grâce à Lola Dueñas et Ana Torrent, les interprètes des deux mères, et malgré certains effets plus ridicules qu'efficaces, on arrive quand même à ressentir de temps en temps un peu d'émotion, bien trop rarement malheureusement.
Arthur Brondy
Arthur Brondy

240 abonnés 1 039 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 24 juillet 2024
20 ans de recherches pour retrouver la trace de son fils. Vera retrouve l’enfant qu’elle a mise au monde et adopté par Egoz. Une histoire de retrouvailles. C’est un peu tiré par les cheveux, on ne comprends pas trop la direction que souhaite prendre le réalisateur et cela laisse donc de marbre…
Jean-luc Ziegler
Jean-luc Ziegler

2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 20 juillet 2024
Affligeant, du symbolisme, beaucoup d'effets de mise en scène, peu de dialogues , des plans figés, une 2e partie filmée d'un hublot.....
Que dire ,sinon qu'un sujet aussi profond méritait un traitement moins glacial et plus d'empathie. Les quelques scènes d'émotion tombent à plat.
Vraiment décevant et souvent pas compréhensible
Chax
Chax

4 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 10 juillet 2024
Sorte de théâtre moderne filmé, sans aucun intérêt, si ce n'est le sujet qui porte le film: le trafic d'enfants en Espagne. La forme narrative du film est très lourde et ampoulée. Il n'y a quasiment aucun dialogue, ce qui nuit complètement à la compréhension du film et anéanti toute possibilité de rythme.
Yves G.
Yves G.

1 574 abonnés 3 592 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 5 août 2024
Vera (Lola Duenas) est sténotypiste à Madrid. Vingt ans plus tôt, son fils lui a été arraché à la naissance. Elle a décidé de le retrouver par tous les moyens.
À Saint-Sébastien vivent Cora (Ana Torrent) et son fils adoptif Egoz. À l’enfant, la mère a raconté l’histoire qu’on lui avait servie : sa mère biologique serait morte à sa naissance.

"Dos Madres" documente un scandale politique : la disparition sous le régime franquiste et jusque dans les années 90 de 300.000 enfants déclarés mort-nés et adoptés selon des procédures opaques. Le sujet est suffisamment tragique pour se prêter à un film-dossier édifiant. Mais telle n’est pas la voie que choisit Victor Iriarte, un réalisateur basque qui signe son premier film.

"Dos Madres" mélange bizarrement les genres. Les scènes de Vera, à Madrid, louchent du côté du film noir, du faux polar, façon "Trenque Lauquen" ou "La Flor", ces films argentins au climat si particulier. Les scènes de Cora au Pays basque sont plus naturalistes. Je ne suis pas sûr d’avoir tout compris de l’intrigue, filandreuse à souhait. Au risque de la divulgâcher, il m’a semblé que spoiler: Vera retrouvait Cora et Egoz, que le trio partait ensemble au Portugal et planifiait le hold-up du musée d’art et d’histoire de Porto dont les coffres conserveraient le produit du trafic des enfants disparus. Mais je n’ai pas compris si ce hold-up était finalement mené à bien. Pas plus n’ai je compris le trafic auquel se livre Vera au début du film.


La nonchalance avec lequel le réalisateur maltraite son scénario a peut-être ses raisons. L’essentiel serait ailleurs, dans les retrouvailles de ces « deux mères » – pour reprendre le titre français qui a été substitué au titre original espagnol fort obscur, "Sobre todo de noche", qu’on pourrait traduire part « surtout la nuit ». Tout est dit dans l’affiche du film : la réconciliation apaisée de deux femmes qui, chacune à leur façon ont follement aimé le même enfant et possèdent un droit légitime à sa filiation.

Le sujet est grave ; la morale est belle ; mais le traitement est trop alambiqué pour convaincre.
Joce2012
Joce2012

221 abonnés 616 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 18 juillet 2024
Ce film est spécial, il est conçu de façon bizarre, le scénario est confus, c'est plutôt un documentaire raconté, il n'y a pas de suite dans les dialogues ni dans les actions, cela diminue l'intensité de l'historique dramatique initiale
Lemagducine
Lemagducine

26 abonnés 53 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 28 juillet 2024
Dos Madres : Ce premier film de Victor Iriarte est une heureuse découverte pleine de surprise, basée sur des faits réels dramatiques de vols massifs d’enfants en Espagne, depuis l’époque franquiste jusque dans les années 90.

Synopsis de Dos Madres : Il y a 20 ans, on a séparé Vera de son fils à la naissance. Depuis, elle le recherche sans relâche, mais son dossier a mystérieusement disparu des archives espagnoles. Il y a 20 ans, Cora adoptait un fils, Egoz. Aujourd’hui, le destin les réunit tous les trois. Ensemble, ils vont rattraper le temps perdu et prendre leur revanche sur ceux qui leur ont volé.

Maternal

Le cinéma hispanophone a décidément le vent en poupe en ce moment. Pas uniquement dans la quantité, mais dans une certaine qualité novatrice, tirée par les latino-américains et leur cinéma singulier, représentée récemment par exemple par le collectif argentin El Pampero Cine (Trenque Lauquen, Flora,…), les formidables Colons du chilien Felipe Gálvez ou Border Line des vénézuéliens Alejandro Rojas et Juan Sebastián Vásquez, ou encore Lost in the night du mexicain Amat Escalante. Mais le Vieux Continent n’est pas en reste avec des films espagnols très robustes comme la curiosité Fermer les yeux de Victor Erice, ou ce très bon premier film d’un autre Victor, Iriarte de son nom : Dos Madres.

https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/dos-madres-film-victor-iriarte-avis-10070139/
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