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    Animal
    Note moyenne
    3,5
    13 titres de presse
    • L'Humanité
    • Cahiers du Cinéma
    • Culturopoing.com
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Monde
    • Ouest France
    • L'Obs
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Première
    • aVoir-aLire.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    13 critiques presse

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Cette incertitude croissante – un désespoir existentiel non exprimé –, où l’individu se dégage du fouillis collectif et se singularise du groupe pour mieux se perdre, clôt le récit sur une note poignante, au point que les deux heures du film paraissent soudain trop courtes.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Cahiers du Cinéma

    par Thierry Méranger

    À travers le portrait de l’écorchée et lumineuse Kalia […] se manifeste l’intérêt de la cinéaste pour les corps à la fois sublimés et martyrisés de ses personnages, mus par des élans autodestructeurs et un désir de briller sur toutes les scènes, fussent-elles dérisoires.

    Culturopoing.com

    par Pierig Leray

    "Animal", c’est le rêve du grand spectacle se transformant en une machinerie capitaliste vendeur de bonheur où les corps sont brisés, les rêves anéantis par le travail à la chaîne, il n’y a plus de jeu, de joie, mais une prison du fun venue refermer son étau autour de Kalia et les autres, bouffons modernes prédestinés à crever sur scène, seuls, et dans l’indifférence généralisée d’un tourisme de masse consumériste, qui ne sait qu’engloutir l’avant-scène sans jamais se soucier de l’arrière.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    La réalisatrice grecque Sofia Exarchou filme le travail difficile dans l’industrie du tourisme de masse, avec un naturalisme à la fois amer et tendre.

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Une attachante troupe d’acteurs s’engage avec l’abandon qu’exige un film comme celui-ci. La star de Animal, l’actrice et danseuse Dimitra Vaglopoulou, prix d’interprétation à Locarno comme au festival des Arcs, remplit l’image d’un personnage dans l’énergie et dans le mouvement, masquant sans cesse sa fragilité, ses vacillements, ses angoisses et ses blessures.

    Le Monde

    par Cl. F.

    La réalisatrice réussit à nous attacher à cette femme, confrontée au vertige de son existence, tout en la reliant constamment au reste de la bande. Car c’est du groupe que naissent l’énergie, l’autodérision, les fous rires, pendant les répétitions ou après les shows…

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Ouest France

    par Thierry Cheze

    Derrière la frénésie, une mélancolie poignante.

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Une fiction de frictions sociales un peu répétitive mais dont la pugnacité formelle sonne particulièrement juste.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Les Fiches du Cinéma

    par Thomas Fouet

    Rivé à son interprète (l’excellente Dimitra Vlagopoulou), Sofia Exarchou signe le beau portrait d’une femme dans l’impasse.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Ludovic Béot

    Construit comme une spirale, le récit d’Animal nous aspire, un rouleau compresseur tout en répétition, telle une interminable gueule de bois, et saisit avec une lucidité toujours tendre cette vie sans sommeil.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Elisabeth Franck-Dumas

    Si le film prend soin de ne pas glamouriser l’exploitation de ces corps, et heureusement, l’idée la plus intéressante – la troupe avalée par l’oubli qu’elle est chargée d’organiser, le divertissement se muant en un éternel et sordide ennui – en signe aussi la limite claustrophobe.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Première

    par Lucie Chiquer

    D'un réalisme grisant, l’approche presque documentaire de Sophia Exarchou (qu’on avait découverte à l’été 2020 avec son premier long métrage Park, apprécié dans ces colonnes) retranscrit la douleur féminine comme expérience collective avec une véracité troublante.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Si l’objet clair du film vise à dénoncer la précarité des travailleurs estivaux dans les hôtels grecs, Animal finit par brouiller les messages entre compassion excessive et radicalité du portrait social.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
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