Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Pedro Pascal et Ethan Hawke forment un duo bouleversant dans « Strange Way Of Life » de Pedro Almodóvar. En trente minutes, le réalisateur leur fait vivre une histoire aussi touchante que sensuelle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une œuvre courte, puissante, un grand film accompli.
Elle
par Françoise Delbecq
Romantique et sexuel, on en redemande !
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Comme une réponse indirecte au film Le Secret de Brokeback Mountain (2005), Almodovar isole l’histoire fiévreuse entre les deux hommes et joue avec les codes du western pour aborder frontalement le désir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par N. S.
Entre respect des codes et relecture queer de roman-photo, Almodóvar iconise ses acteurs, formidables, et cristallise l’homoérotisme du genre à travers deux personnages bouleversants qui s’interrogent sur ce qu’aurait pu être leur vie de cow-boys en couple. Frustrant que ce ne soit pas plus long.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
D’une beauté visuelle époustouflante, d’une cinématographie somptueuse, ce (trop) court-métrage d’Almodóvar au sexe cru et au style raffiné - les costumes couture sont signés Saint-Laurent par Anthony Vaccarello - passe à l’acte dans une version queer extrêmement moderne du western démodé.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On est surtout bouleversé par la confrontation virile et amoureuse entre deux solitaires qui ne veulent plus l'être.
Le Parisien
par La Rédaction
Ici, l’histoire d’amour entre les deux hommes, interprétés par Pedro Pascal et Ethan Hawke, s’avère surtout pleine de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par David Mikanowski
Alors certes, Strange Way of Life ne dure que 31 minutes. Mais il y a plus de liberté et de créativité dans cette demi-heure que dans le gros de la production actuelle, dont la pauvreté d'inspiration – notamment visuelle – ne cesse d'étonner.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le parfait apéritif cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Avec très peu, Almodóvar raconte une poignante histoire d’amour et réalise un véritable western. Hawke et Pascal sont magnifiques
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un western de 31 minutes réalisé par Pedro Almodóvar : quoi de plus excitant sur le papier ? Mais le maître espagnol sait-il s’adapter aux contraintes narratives d’un court métrage ? Promesse tenue : les fans ne seront pas déçu·es. Almodóvar, nourri de cinéma classique hollywoodien, joue ici avec les codes du genre et principalement celui de la vengeance, avec un grand respect et une forme d’allégresse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Un magnifique bonbon.
Télérama
par Frédéric Strauss
En trente minutes, le maître espagnol réinvente le western : un cow-boy et un shérif se désirent et se bravent entre un verre de vin et une rafale de balles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Le vieillissement passe ici par l’acceptation de la vulnérabilité et de la dépendance. Une rime visuelle, superbe, condense ce cheminement : à l’outre libérant le vin de la jeunesse répond, vingt-cinq ans plus tard, un ventre troué d’une balle.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La moiteur ambiante et le désir vont cependant imposer leur loi dans ce joli chapitre qui nous laisse quand même dans un état de grande frustration. On aurait aimé avoir davantage de temps pour ressentir le frisson d’un amour contrarié et la douceur d’une caresse exhumée.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par E. N.
Ethan Hawke, avec son étoile sur la poitrine, est étrangement éteint. Pedro Pascal, sourcils froncés, joue comme un mannequin qui imiterait un Jack Palance sous bromure. Son blouson de jean vert est très bien. C'est lui, la vraie vedette.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le film se termine quand on aurait envie qu’il commence. Frustration évidente. Mais Almodovar l’a voulu comme cela. Le portrait éclair d’un vieux couple en feu…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Avec un brillant sens du mélodrame et une utilisation sensuelle des décors, le cinéaste dépeint des héros mélancoliques et vieillissants qui rappellent qu’à l’âge de 73 ans, il commence lui aussi à regarder le passé avec nostalgie. Et on regrette d’autant plus de devoir quitter si rapidement ces cowboys romantiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Drôle, sexy, mineur. Almodovar s’amuse à réinventer et érotiser le western, mais le film est pénalisé par l’entre-deux du moyen métrage. La durée paraîtra trop courte ou trop longue. On l’aurait volontiers suivi dans un récit plus ample.
Voici
par La Rédaction
Cette romance contrariée entre deux hommes aurait mérité une durée plus longue pour s'épanouir. D'autant plus que le duo Pedro Pascal / Ethan Hawke fonctionne à merveille.
Critikat.com
par Josué Morel
Le cinéaste, qui semble s’aménager un terrain de jeu fétichiste et cinéphile, signe en vérité une sorte d’exercice de style sans style, étrangement dépassionné et dévitalisé
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. Jo.
C’est à la fois pas déplaisant mais beaucoup trop léger pour y trouver autre chose qu’une banale entreprise d’art washing par une marque (Saint Laurent) qui s’est récemment lancée dans la production de courts-métrages de luxe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Pedro Pascal et Ethan Hawke forment un duo bouleversant dans « Strange Way Of Life » de Pedro Almodóvar. En trente minutes, le réalisateur leur fait vivre une histoire aussi touchante que sensuelle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une œuvre courte, puissante, un grand film accompli.
Elle
Romantique et sexuel, on en redemande !
Franceinfo Culture
Comme une réponse indirecte au film Le Secret de Brokeback Mountain (2005), Almodovar isole l’histoire fiévreuse entre les deux hommes et joue avec les codes du western pour aborder frontalement le désir.
L'Obs
Entre respect des codes et relecture queer de roman-photo, Almodóvar iconise ses acteurs, formidables, et cristallise l’homoérotisme du genre à travers deux personnages bouleversants qui s’interrogent sur ce qu’aurait pu être leur vie de cow-boys en couple. Frustrant que ce ne soit pas plus long.
Le Dauphiné Libéré
D’une beauté visuelle époustouflante, d’une cinématographie somptueuse, ce (trop) court-métrage d’Almodóvar au sexe cru et au style raffiné - les costumes couture sont signés Saint-Laurent par Anthony Vaccarello - passe à l’acte dans une version queer extrêmement moderne du western démodé.
Le Journal du Dimanche
On est surtout bouleversé par la confrontation virile et amoureuse entre deux solitaires qui ne veulent plus l'être.
Le Parisien
Ici, l’histoire d’amour entre les deux hommes, interprétés par Pedro Pascal et Ethan Hawke, s’avère surtout pleine de tendresse.
Le Point
Alors certes, Strange Way of Life ne dure que 31 minutes. Mais il y a plus de liberté et de créativité dans cette demi-heure que dans le gros de la production actuelle, dont la pauvreté d'inspiration – notamment visuelle – ne cesse d'étonner.
Les Echos
Le parfait apéritif cinématographique.
Les Fiches du Cinéma
Avec très peu, Almodóvar raconte une poignante histoire d’amour et réalise un véritable western. Hawke et Pascal sont magnifiques
Les Inrockuptibles
Un western de 31 minutes réalisé par Pedro Almodóvar : quoi de plus excitant sur le papier ? Mais le maître espagnol sait-il s’adapter aux contraintes narratives d’un court métrage ? Promesse tenue : les fans ne seront pas déçu·es. Almodóvar, nourri de cinéma classique hollywoodien, joue ici avec les codes du genre et principalement celui de la vengeance, avec un grand respect et une forme d’allégresse.
Marie Claire
Un magnifique bonbon.
Télérama
En trente minutes, le maître espagnol réinvente le western : un cow-boy et un shérif se désirent et se bravent entre un verre de vin et une rafale de balles.
Cahiers du Cinéma
Le vieillissement passe ici par l’acceptation de la vulnérabilité et de la dépendance. Une rime visuelle, superbe, condense ce cheminement : à l’outre libérant le vin de la jeunesse répond, vingt-cinq ans plus tard, un ventre troué d’une balle.
La Voix du Nord
La moiteur ambiante et le désir vont cependant imposer leur loi dans ce joli chapitre qui nous laisse quand même dans un état de grande frustration. On aurait aimé avoir davantage de temps pour ressentir le frisson d’un amour contrarié et la douceur d’une caresse exhumée.
Le Figaro
Ethan Hawke, avec son étoile sur la poitrine, est étrangement éteint. Pedro Pascal, sourcils froncés, joue comme un mannequin qui imiterait un Jack Palance sous bromure. Son blouson de jean vert est très bien. C'est lui, la vraie vedette.
Paris Match
Le film se termine quand on aurait envie qu’il commence. Frustration évidente. Mais Almodovar l’a voulu comme cela. Le portrait éclair d’un vieux couple en feu…
Première
Avec un brillant sens du mélodrame et une utilisation sensuelle des décors, le cinéaste dépeint des héros mélancoliques et vieillissants qui rappellent qu’à l’âge de 73 ans, il commence lui aussi à regarder le passé avec nostalgie. Et on regrette d’autant plus de devoir quitter si rapidement ces cowboys romantiques.
Sud Ouest
Drôle, sexy, mineur. Almodovar s’amuse à réinventer et érotiser le western, mais le film est pénalisé par l’entre-deux du moyen métrage. La durée paraîtra trop courte ou trop longue. On l’aurait volontiers suivi dans un récit plus ample.
Voici
Cette romance contrariée entre deux hommes aurait mérité une durée plus longue pour s'épanouir. D'autant plus que le duo Pedro Pascal / Ethan Hawke fonctionne à merveille.
Critikat.com
Le cinéaste, qui semble s’aménager un terrain de jeu fétichiste et cinéphile, signe en vérité une sorte d’exercice de style sans style, étrangement dépassionné et dévitalisé
Le Monde
C’est à la fois pas déplaisant mais beaucoup trop léger pour y trouver autre chose qu’une banale entreprise d’art washing par une marque (Saint Laurent) qui s’est récemment lancée dans la production de courts-métrages de luxe.