Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Monde
par Cl. F.
Le film séduit par son économie, son absence d’affect, de même que le scénario et l’errance de Vicenta travaillent davantage le trouble que la résolution.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Histoire d’une “santera” abandonnée par ses dons, "Vicenta B" est un portrait poético-politique de Cuba tout en finesse. Mais à se focaliser sur les déambulations de Vicenta, le film s’enlise dans la lenteur et laisse les autres personnages en (arrière) plan.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le film assume l’anti-spectaculaire, rejette toute idée de folklore lié au don de voyance de Vicenta, pour rester attentif aux tressaillements intérieurs de son héroïne, au dépouillement qui l’entoure, à cette drôle de langueur qui émane d’un film qui paraîtrait presque anesthésié.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Lucie Chiquer
Mais la crise n’arrive jamais, le personnage d’abord captivant est figé dans un scénario monotone, indécis quant à la direction qu’il doit prendre et le film se délite peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marion Michel
À travers le portrait d’une femme dépossédée, le réalisateur cubain entend montrer la situation politique contemporaine de son île, frappée par l’émigration massive de ses jeunes diplômés et par l’asthénie généralisée de ceux qui restent, plus âgés. Mais ses efforts de suggestion, défaits par une lenteur confinant à la langueur, restent le plus souvent vains.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Le film séduit par son économie, son absence d’affect, de même que le scénario et l’errance de Vicenta travaillent davantage le trouble que la résolution.
Les Fiches du Cinéma
Histoire d’une “santera” abandonnée par ses dons, "Vicenta B" est un portrait poético-politique de Cuba tout en finesse. Mais à se focaliser sur les déambulations de Vicenta, le film s’enlise dans la lenteur et laisse les autres personnages en (arrière) plan.
Les Inrockuptibles
Le film assume l’anti-spectaculaire, rejette toute idée de folklore lié au don de voyance de Vicenta, pour rester attentif aux tressaillements intérieurs de son héroïne, au dépouillement qui l’entoure, à cette drôle de langueur qui émane d’un film qui paraîtrait presque anesthésié.
Première
Mais la crise n’arrive jamais, le personnage d’abord captivant est figé dans un scénario monotone, indécis quant à la direction qu’il doit prendre et le film se délite peu à peu.
Télérama
À travers le portrait d’une femme dépossédée, le réalisateur cubain entend montrer la situation politique contemporaine de son île, frappée par l’émigration massive de ses jeunes diplômés et par l’asthénie généralisée de ceux qui restent, plus âgés. Mais ses efforts de suggestion, défaits par une lenteur confinant à la langueur, restent le plus souvent vains.