La photographie des intérieurs est magnifique. McKELLEN est redoutable en manipulateur arriviste : il me rappellera son rôle d'escroc dans l’Art du mensonge de 2019 avec MIRREN. Il cabotine dur, surligné par les innombrables gros plan de son visage et de ses mimiques tremblotantes. Mais le scénario ne nous épargnera aucune mort collatérale, alors trop c’est trop à la fin ! Cela en devient risible...