Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Mathias Legoût Hammond livre une performance d’une grande sensibilité et d’une rare intensité, incarnant Philémon avec une fragilité et une force mêlées.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Un récit poignant sur la différence, l’acceptation et l’amour.
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Le film prolonge la réflexion sur le monstre innocent stigmatisé par l’opinion publique, évoquant ainsi Elephant Man (1980) de David Lynch, ou Edward aux mains d’argent (1990) de Tim Burton. Un drame intime, privilégiant le fantastique au naturalisme pour une mise à distance nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl
Un teen movie vampirique d’un érotisme pudique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Un film qui ne cesse de regarder la famille à la fois comme un poison et un refuge, l’amour comme une substance addictive, et s’interroge sur la question de l’identité et de la manière dont, perméable, elle mute au contact des autres.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film de monstre… pas comme les autres.
Positif
par Frédéric Mercier
Cette petite réussite du cinéma de genre signe la découverte d'un jeune comédien dont le romantisme juvénile et bravache s'avère aussi magnétique que celui, jadis, d'un Jude Law à ses débuts.
Télé 2 semaines
par C.C.
Le film revisite la figure du vampire sans effets spéciaux grandiloquents, de façon sobre et intelligente. On s'attache à cette famille, grâce à l'interprétation impeccable des acteurs.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Métaphore des ravages de la stigmatisation des personnes en situation de handicap et de la justice populaire, En attendant la nuit constitue une véritable réussite. Un second film brillant de la réalisatrice Céline Rouzet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Céline Rouzet parvient à rendre glaçants les corps bronzés des adolescents de la vallée, et menaçante leur apparente insouciance. Elle réussit au passage une nouvelle greffe du genre dans le cinéma français, ce qui reste suffisamment rare pour être signalé.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La réussite du film réside dans son ambiance chaleureuse, sa lumière aveuglante, car, à l’instar du mètre étalon Midsommar (d’Ari Aster), le suspense ne se cantonne jamais à la nuit.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Si En attendant la nuit, premier long métrage de fiction d’une cinéaste venue du documentaire, lorgne également l’érythrocyte, Céline Rouzet flirte davantage avec la romance adolescente et la chronique rurale qu’avec le film d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un adolescent qui se nourrit de sang tombe amoureux de sa voisine et bouleverse le quotidien familial. Un film séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Michel Valentin
La réalisatrice, Céline Rouzet, dont ce n’est que le deuxième long-métrage, apporte quelques idées de scénario originales (...). Mais son histoire chemine sur un rythme un peu inégal, et se conclut avec une fin qu’on voit venir, hélas, trop rapidement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Emily Barnett
Une belle mise en scène sensorielle et la révélation d'un acteur — Mathias Legoût Hammond — font aisément oublier les quelques détours obscurs du scénario.
Paris Match
par Yannick Vely
Le scénario reproduit les codes du genre — fascination, tentation, hésitation, révélation — auxquels la réalisatrice Céline Rouzet apporte une touche féminine avec un très beau personnage de mère courage (Élodie Bouchez, toujours parfaite).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par La rédaction
Mathias Legoût Hammond insuffle humanité et fragilité à ce jeune et touchant vampire moderne.
Télé Loisirs
par C.C.
Le film revisite la figure du vampire sans effusion d'effets spéciaux, mais avec une mise en scène sobre et intelligente. On s'attache à cette famille, sans doute grâce au jeu impeccable des comédiens.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce conte, qui cultive la fantaisie, trouve là une dimension plus sombre et courageuse, en nous parlant avec conviction de la solitude d’un adolescent vraiment pas comme les autres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Sophie Grassin
Excellent programme que Céline Rouzet – indéniable capacité à installer une atmosphère, mouvements de caméra léchés, vraie réflexion sur la marge, références au genre – vient minorer en l’inscrivant dans les codes d’un teen movie plus convenu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Rien d’indigne dans ce film fantastique français signé Céline Rouzet (...) qui revisite le mythe du vampire à travers un teen movie estival planté dans les années 80. Son principal défaut, c’est d’arriver tard, en tout cas après d’autres longs-métrages à l’ombre très encombrante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Clément Colliaux
En s’emparant de la figure du vampire, Céline Rouzet met en scène dans un drame familial un ado solitaire à la marge. Laborieux et trop attendu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
(...) La cinéaste élabore un habile suspense qui fissure un récit prêt à imploser sous les coups du boutoir d’une tension sourde. Malheureusement, le scénario marque le pas et s’installe sur les rails d’un coming of age convenu où le fantastique devient prétexte à rejouer l’éternelle partition des contrariétés adolescentes. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mathias Legoût Hammond livre une performance d’une grande sensibilité et d’une rare intensité, incarnant Philémon avec une fragilité et une force mêlées.
Le Dauphiné Libéré
Un récit poignant sur la différence, l’acceptation et l’amour.
Le Journal du Dimanche
Le film prolonge la réflexion sur le monstre innocent stigmatisé par l’opinion publique, évoquant ainsi Elephant Man (1980) de David Lynch, ou Edward aux mains d’argent (1990) de Tim Burton. Un drame intime, privilégiant le fantastique au naturalisme pour une mise à distance nécessaire.
Le Monde
Un teen movie vampirique d’un érotisme pudique.
Les Inrockuptibles
Un film qui ne cesse de regarder la famille à la fois comme un poison et un refuge, l’amour comme une substance addictive, et s’interroge sur la question de l’identité et de la manière dont, perméable, elle mute au contact des autres.
Ouest France
Un film de monstre… pas comme les autres.
Positif
Cette petite réussite du cinéma de genre signe la découverte d'un jeune comédien dont le romantisme juvénile et bravache s'avère aussi magnétique que celui, jadis, d'un Jude Law à ses débuts.
Télé 2 semaines
Le film revisite la figure du vampire sans effets spéciaux grandiloquents, de façon sobre et intelligente. On s'attache à cette famille, grâce à l'interprétation impeccable des acteurs.
aVoir-aLire.com
Métaphore des ravages de la stigmatisation des personnes en situation de handicap et de la justice populaire, En attendant la nuit constitue une véritable réussite. Un second film brillant de la réalisatrice Céline Rouzet.
Cahiers du Cinéma
Céline Rouzet parvient à rendre glaçants les corps bronzés des adolescents de la vallée, et menaçante leur apparente insouciance. Elle réussit au passage une nouvelle greffe du genre dans le cinéma français, ce qui reste suffisamment rare pour être signalé.
CinemaTeaser
La réussite du film réside dans son ambiance chaleureuse, sa lumière aveuglante, car, à l’instar du mètre étalon Midsommar (d’Ari Aster), le suspense ne se cantonne jamais à la nuit.
L'Humanité
Si En attendant la nuit, premier long métrage de fiction d’une cinéaste venue du documentaire, lorgne également l’érythrocyte, Céline Rouzet flirte davantage avec la romance adolescente et la chronique rurale qu’avec le film d’horreur.
Le Figaro
Un adolescent qui se nourrit de sang tombe amoureux de sa voisine et bouleverse le quotidien familial. Un film séduisant.
Le Parisien
La réalisatrice, Céline Rouzet, dont ce n’est que le deuxième long-métrage, apporte quelques idées de scénario originales (...). Mais son histoire chemine sur un rythme un peu inégal, et se conclut avec une fin qu’on voit venir, hélas, trop rapidement.
Marie Claire
Une belle mise en scène sensorielle et la révélation d'un acteur — Mathias Legoût Hammond — font aisément oublier les quelques détours obscurs du scénario.
Paris Match
Le scénario reproduit les codes du genre — fascination, tentation, hésitation, révélation — auxquels la réalisatrice Céline Rouzet apporte une touche féminine avec un très beau personnage de mère courage (Élodie Bouchez, toujours parfaite).
Public
Mathias Legoût Hammond insuffle humanité et fragilité à ce jeune et touchant vampire moderne.
Télé Loisirs
Le film revisite la figure du vampire sans effusion d'effets spéciaux, mais avec une mise en scène sobre et intelligente. On s'attache à cette famille, sans doute grâce au jeu impeccable des comédiens.
Télérama
Ce conte, qui cultive la fantaisie, trouve là une dimension plus sombre et courageuse, en nous parlant avec conviction de la solitude d’un adolescent vraiment pas comme les autres.
L'Obs
Excellent programme que Céline Rouzet – indéniable capacité à installer une atmosphère, mouvements de caméra léchés, vraie réflexion sur la marge, références au genre – vient minorer en l’inscrivant dans les codes d’un teen movie plus convenu.
La Voix du Nord
Rien d’indigne dans ce film fantastique français signé Céline Rouzet (...) qui revisite le mythe du vampire à travers un teen movie estival planté dans les années 80. Son principal défaut, c’est d’arriver tard, en tout cas après d’autres longs-métrages à l’ombre très encombrante.
Libération
En s’emparant de la figure du vampire, Céline Rouzet met en scène dans un drame familial un ado solitaire à la marge. Laborieux et trop attendu.
Première
(...) La cinéaste élabore un habile suspense qui fissure un récit prêt à imploser sous les coups du boutoir d’une tension sourde. Malheureusement, le scénario marque le pas et s’installe sur les rails d’un coming of age convenu où le fantastique devient prétexte à rejouer l’éternelle partition des contrariétés adolescentes. Dommage.