Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
La qualité des interprètes porte agréablement ce récit nuancé.
Ouest France
par P.V.
Une comédie qui donne de l'espoir.
L'Obs
par S. G.
Cohen s’acquitte de la tâche avec une délicatesse grinçante en durcissant le personnage de France, très vite directive, à laquelle Fanny Ardant prête son anticonformisme et sa fantaisie altière, mais aussi en l’entourant de personnages secondaires très bien servis par Aurore Broutin et Pierre Deladonchamps.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Benoît Cohen s'inspire d'une aventure vécue par sa mère et raconte l'histoire d'une Parisienne aisée qui accueille un réfugié dans sa demeure. Résultat honorable.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[Un] film généreux et bourré de tendresse, mais pas assez parcimonieux sur les bons sentiments et les facilités de scénario.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Adapté de son propre livre Mohammad, ma mère et moi, qui racontait l’accueil d’un jeune Afghan par sa mère Marie-France, le réalisateur Benoît Cohen signe un film très caricatural.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Pourtant, rien ne sonne juste dans ce film où le décalage entre la richissime héroïne, jouée par une Fanny Ardant ultra-maniérée, et le jeune réfugié n’est jamais comblé par aucune tentative d’humour ou de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
S’inspirant de l’histoire de sa propre mère, Benoît Cohen entend donner une leçon de vivre-ensemble, mais son drame manque de finesse et s’enlise dans les poncifs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Elodie Bardinet
Mais la volonté de faire passer des messages sur le vivre ensemble pousse Benoît Cohen à trop surligner les choses, étouffant peu à peu son récit et l’émotion qu’il ambitionne de faire naître. De bonnes intentions totalement contre- productives.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Malheureusement, le film s’enlise, entre platitudes et pathos, sans une étincelle de cinéma à l’horizon.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
La qualité des interprètes porte agréablement ce récit nuancé.
Ouest France
Une comédie qui donne de l'espoir.
L'Obs
Cohen s’acquitte de la tâche avec une délicatesse grinçante en durcissant le personnage de France, très vite directive, à laquelle Fanny Ardant prête son anticonformisme et sa fantaisie altière, mais aussi en l’entourant de personnages secondaires très bien servis par Aurore Broutin et Pierre Deladonchamps.
Les Echos
Benoît Cohen s'inspire d'une aventure vécue par sa mère et raconte l'histoire d'une Parisienne aisée qui accueille un réfugié dans sa demeure. Résultat honorable.
Télé 7 Jours
[Un] film généreux et bourré de tendresse, mais pas assez parcimonieux sur les bons sentiments et les facilités de scénario.
La Croix
Adapté de son propre livre Mohammad, ma mère et moi, qui racontait l’accueil d’un jeune Afghan par sa mère Marie-France, le réalisateur Benoît Cohen signe un film très caricatural.
Le Parisien
Pourtant, rien ne sonne juste dans ce film où le décalage entre la richissime héroïne, jouée par une Fanny Ardant ultra-maniérée, et le jeune réfugié n’est jamais comblé par aucune tentative d’humour ou de tendresse.
Les Fiches du Cinéma
S’inspirant de l’histoire de sa propre mère, Benoît Cohen entend donner une leçon de vivre-ensemble, mais son drame manque de finesse et s’enlise dans les poncifs.
Première
Mais la volonté de faire passer des messages sur le vivre ensemble pousse Benoît Cohen à trop surligner les choses, étouffant peu à peu son récit et l’émotion qu’il ambitionne de faire naître. De bonnes intentions totalement contre- productives.
Télérama
Malheureusement, le film s’enlise, entre platitudes et pathos, sans une étincelle de cinéma à l’horizon.