Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Élodie Tamayo
En philosophie, on qualifie d’horizontale l’immanence et de verticale la transcendance. Or cette horizontalité-là est sans doute une miséricorde, au sens que lui donne le dernier film, magistral, d’Alain Guiraudie.
Culturopoing.com
par Maryline Allliger
Alain Guiraudie nous tient en déséquilibre, nous éblouissant au rebord du noir le plus profond. Conte macabre, "Miséricorde" est aussi une comédie noire, où le mystère s'insinue en lieu de tension dans les corps.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par M. Ma
Alain Guiraudie opère ici une greffe inouïe entre la tragédie et le burlesque, entre la gravité du scénario criminel et la banalité des corps qui l’incarnent, entre le poids de la culpabilité et la trivialité des élans quotidiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Chez Guiraudie, le désir, c’est comme les champignons : il pousse là où on ne l’attend pas, quand on ne s’y attend pas, et revêt des formes imprévisibles. Tandis que sa consommation s’avère tantôt fatale, tantôt divine, une chose est sûre cependant : ça germe sur la terre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
par Renan Cros
Film de deuil (de l’enfance, du désir), Miséricorde est aussi un film de possession. Aimer l’autre pour le garder pour soi. Tout ça raconté avec l’élégance du conte, la précision du film noir et la poésie singulière de Guiraudie.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Alain Guiraudie n'a pas son pareil pour filmer dans la plus simple élégance des histoires tordues, dans lesquelles l'homosexualité et la sexualité sont montrées frontalement, sans érotisation.
Elle
par Françoise Delbecq
Un polar drôle et incisif.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Alain Guiraudie aborde tous ces sujets sérieux avec un regard décalé réjouissant, nous rappelant que certains recoins de l'âme sont voués, et c'est heureux, à demeurer mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Konbini
par Arthur Cios
Alain Guiraudie continue l'exploration de ses thèmes habituels, les liens entre la mort, le désir et la ruralité, dans un polar unique en son genre.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Miséricorde est l’un des films les plus mélancoliques d’Alain Guiraudie. Filmées en automne, les couleurs illuminent des paysages ombrageux, des forêts denses et impénétrables, un peu comme les voix du Seigneur. Dans ce pays de taiseux, on sait mais on se tait. On prend l’apéro, on mange des omelettes aux morilles. Dans le cimetière, la nuit, les cadavres se promènent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le plaisir pris par Guiraudie à orchestrer ce thriller érotisé se ressent dans sa mise en scène, à la fois escarpée et voluptueuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une valse des interdits menée avec une corruptrice et délectable suavité.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Guiraudie flirte avec le provocant, le dérangeant et le subversif sans s’y vautrer. Il alimente en revanche une savoureuse ambiguïté, une ironie fugace et souvent drôle, un climat de fantastique soft. Catherine Frot apporte sa fausse naïveté dans ce monde d’hommes en proie à leurs secrets, sous les clins d’œil discrets d’Eros et Thanatos.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Cauchemar automnal dont le climat emprunte au cinéma de Claude Chabrol, posé sous les feuilles mortes d'un crime, Miséricorde ressemble à son héros indéchiffrable, mortellement dangereux, comme le désir sans tabou.
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Alain Guiraudie est un réalisateur à part qui surprend à chaque film tout en restant fidèle à son cinéma, comme avec ce vrai-faux polar rural mâtiné de fable philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Au centre du récit, le formidable Félix Kysyl campe avec une belle part de mystère un drôle de « héros » qui ne s’embarrasse pas vraiment avec des dilemmes moraux…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Joyeusement inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Prenant au départ l’allure d’un rugueux conte rural (mettant en scène le retour d’un personnage mystérieux dans un village quelque peu endormi), ce nouveau Guiraudie laisse peu à peu s’ouvrir ses chakras, et impose avec panache sa singularité.
Libération
par Laura Tuillier
Subvertissant, sans avoir l’air d’y toucher, bon nombre de scènes archétypales du cinéma français (le dîner, l’interrogatoire…), Guiraudie annonce, sans grandes pompes, qu’un autre septième art est possible. Il est fait dans un geste tout à la fois tenu et décontracté, sourire aux lèvres (le film est très drôle) et angoisse latente au creux du ventre (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une fiction surréaliste sur le charivari du désir signé Alain Guiraudie.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Thomas Jean
À contre-emploi, comme on l’imaginait à tort, dans le cinéma queer-campagnard de Guiraudie, la méga-populaire Catherine Frot (comme elle nous le rappelle, onze de ses films ont dépassé le million d’entrées), épouse finalement avec maestria la loufoquerie ambiante, preuve que sa veine sentimentale et comique ne se cantonne à rien.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Pascale Vergereau
Catherine Frot se fond avec un immense naturel dans l'univers du cinéaste.
Positif
par Vincent Thabourey
Un film inclassable au charme amer et automnal.
Première
par Thomas Baurez
Miséricorde est une farce spirituelle autant qu’un thriller psychologique où le surnaturel est d’autant plus fou qu’il se love dans un réalisme inquiétant. Un peu comme si Chabrol était revenu déguisé en Buñuel. Merveilleux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Le septième film du toujours libre Alain Guiraudie. Le plus simple, le plus direct. La « miséricorde », le cinéaste l’applique à ses personnages, dont il croque les faiblesses, frustrations, manquements à la vérité avec humour, profondeur et humanité.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
[...] chaque personnage est filmé avec une gravité malicieuse dans cette tragicomédie qui embrasse dans un même mouvement le stupre et le sacré, le crime et le pardon, la recherche éternelle de la vérité et la chasse aux champignons.
Télérama
par Louis Guichard
Un film perturbant et délirant, qui explore les mystères du désir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Avec son nouveau long-métrage Miséricorde, Alain Guiraudie évolue vers un cinéma moins érotisant que drôle, enjoué et halluciné. Une réussite totale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Le film se reconfigure au contact du personnage du curé et finit par sécréter un parfum assez entêtant, qui persiste longtemps après la projection, en dépit de la facture inégale de l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Habile réflexion sur le désir, voire l’attirance, surtout lorsque celle-ci n’est pas partagée, et délaissant – à l’exception de quelques plans – le côté cru qui le caractérisait, Alain Guiraudie signe une comédie mordante sur les relations humaines.
Paris Match
par Yannick Vely
Alain Guiraudie prend son temps pour exposer la situation, filme les paysages de l’Ardèche comme le Grand ouest américain et signe une tragicomédie truculente, avec toujours un amour immodéré pour ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Polar tant comique que cruel et volontiers provocateur, où l’on ne sait plus à quel saint se vouer, Miséricorde parle bien de péché, de pardon, mais surtout de ces crimes que l’on peut commettre (presque) sans faire exprès.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par S.O.
Les traits d'humour qui surgissent dans une forêt magnifiée par l'automne suffisent à maintenir l’attention.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le cinéaste Alain Guiraudie mélange les genres sans convaincre dans ce thriller villageois filmé en Aveyron. Il réussit même à éteindre Catherine Frot.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Cahiers du Cinéma
En philosophie, on qualifie d’horizontale l’immanence et de verticale la transcendance. Or cette horizontalité-là est sans doute une miséricorde, au sens que lui donne le dernier film, magistral, d’Alain Guiraudie.
Culturopoing.com
Alain Guiraudie nous tient en déséquilibre, nous éblouissant au rebord du noir le plus profond. Conte macabre, "Miséricorde" est aussi une comédie noire, où le mystère s'insinue en lieu de tension dans les corps.
Le Monde
Alain Guiraudie opère ici une greffe inouïe entre la tragédie et le burlesque, entre la gravité du scénario criminel et la banalité des corps qui l’incarnent, entre le poids de la culpabilité et la trivialité des élans quotidiens.
Les Inrockuptibles
Chez Guiraudie, le désir, c’est comme les champignons : il pousse là où on ne l’attend pas, quand on ne s’y attend pas, et revêt des formes imprévisibles. Tandis que sa consommation s’avère tantôt fatale, tantôt divine, une chose est sûre cependant : ça germe sur la terre.
CinemaTeaser
Film de deuil (de l’enfance, du désir), Miséricorde est aussi un film de possession. Aimer l’autre pour le garder pour soi. Tout ça raconté avec l’élégance du conte, la précision du film noir et la poésie singulière de Guiraudie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Alain Guiraudie n'a pas son pareil pour filmer dans la plus simple élégance des histoires tordues, dans lesquelles l'homosexualité et la sexualité sont montrées frontalement, sans érotisation.
Elle
Un polar drôle et incisif.
Franceinfo Culture
Alain Guiraudie aborde tous ces sujets sérieux avec un regard décalé réjouissant, nous rappelant que certains recoins de l'âme sont voués, et c'est heureux, à demeurer mystérieux.
Konbini
Alain Guiraudie continue l'exploration de ses thèmes habituels, les liens entre la mort, le désir et la ruralité, dans un polar unique en son genre.
L'Humanité
Miséricorde est l’un des films les plus mélancoliques d’Alain Guiraudie. Filmées en automne, les couleurs illuminent des paysages ombrageux, des forêts denses et impénétrables, un peu comme les voix du Seigneur. Dans ce pays de taiseux, on sait mais on se tait. On prend l’apéro, on mange des omelettes aux morilles. Dans le cimetière, la nuit, les cadavres se promènent.
L'Obs
Le plaisir pris par Guiraudie à orchestrer ce thriller érotisé se ressent dans sa mise en scène, à la fois escarpée et voluptueuse.
La Septième Obsession
Une valse des interdits menée avec une corruptrice et délectable suavité.
La Voix du Nord
Guiraudie flirte avec le provocant, le dérangeant et le subversif sans s’y vautrer. Il alimente en revanche une savoureuse ambiguïté, une ironie fugace et souvent drôle, un climat de fantastique soft. Catherine Frot apporte sa fausse naïveté dans ce monde d’hommes en proie à leurs secrets, sous les clins d’œil discrets d’Eros et Thanatos.
Le Dauphiné Libéré
Cauchemar automnal dont le climat emprunte au cinéma de Claude Chabrol, posé sous les feuilles mortes d'un crime, Miséricorde ressemble à son héros indéchiffrable, mortellement dangereux, comme le désir sans tabou.
Le Journal du Dimanche
Alain Guiraudie est un réalisateur à part qui surprend à chaque film tout en restant fidèle à son cinéma, comme avec ce vrai-faux polar rural mâtiné de fable philosophique.
Le Parisien
Au centre du récit, le formidable Félix Kysyl campe avec une belle part de mystère un drôle de « héros » qui ne s’embarrasse pas vraiment avec des dilemmes moraux…
Les Echos
Joyeusement inquiétant.
Les Fiches du Cinéma
Prenant au départ l’allure d’un rugueux conte rural (mettant en scène le retour d’un personnage mystérieux dans un village quelque peu endormi), ce nouveau Guiraudie laisse peu à peu s’ouvrir ses chakras, et impose avec panache sa singularité.
Libération
Subvertissant, sans avoir l’air d’y toucher, bon nombre de scènes archétypales du cinéma français (le dîner, l’interrogatoire…), Guiraudie annonce, sans grandes pompes, qu’un autre septième art est possible. Il est fait dans un geste tout à la fois tenu et décontracté, sourire aux lèvres (le film est très drôle) et angoisse latente au creux du ventre (...).
Marianne
Une fiction surréaliste sur le charivari du désir signé Alain Guiraudie.
Marie Claire
À contre-emploi, comme on l’imaginait à tort, dans le cinéma queer-campagnard de Guiraudie, la méga-populaire Catherine Frot (comme elle nous le rappelle, onze de ses films ont dépassé le million d’entrées), épouse finalement avec maestria la loufoquerie ambiante, preuve que sa veine sentimentale et comique ne se cantonne à rien.
Ouest France
Catherine Frot se fond avec un immense naturel dans l'univers du cinéaste.
Positif
Un film inclassable au charme amer et automnal.
Première
Miséricorde est une farce spirituelle autant qu’un thriller psychologique où le surnaturel est d’autant plus fou qu’il se love dans un réalisme inquiétant. Un peu comme si Chabrol était revenu déguisé en Buñuel. Merveilleux.
Sud Ouest
Le septième film du toujours libre Alain Guiraudie. Le plus simple, le plus direct. La « miséricorde », le cinéaste l’applique à ses personnages, dont il croque les faiblesses, frustrations, manquements à la vérité avec humour, profondeur et humanité.
Transfuge
[...] chaque personnage est filmé avec une gravité malicieuse dans cette tragicomédie qui embrasse dans un même mouvement le stupre et le sacré, le crime et le pardon, la recherche éternelle de la vérité et la chasse aux champignons.
Télérama
Un film perturbant et délirant, qui explore les mystères du désir.
aVoir-aLire.com
Avec son nouveau long-métrage Miséricorde, Alain Guiraudie évolue vers un cinéma moins érotisant que drôle, enjoué et halluciné. Une réussite totale.
Critikat.com
Le film se reconfigure au contact du personnage du curé et finit par sécréter un parfum assez entêtant, qui persiste longtemps après la projection, en dépit de la facture inégale de l’ensemble.
Nice-Matin
Habile réflexion sur le désir, voire l’attirance, surtout lorsque celle-ci n’est pas partagée, et délaissant – à l’exception de quelques plans – le côté cru qui le caractérisait, Alain Guiraudie signe une comédie mordante sur les relations humaines.
Paris Match
Alain Guiraudie prend son temps pour exposer la situation, filme les paysages de l’Ardèche comme le Grand ouest américain et signe une tragicomédie truculente, avec toujours un amour immodéré pour ses personnages.
Rolling Stone
Polar tant comique que cruel et volontiers provocateur, où l’on ne sait plus à quel saint se vouer, Miséricorde parle bien de péché, de pardon, mais surtout de ces crimes que l’on peut commettre (presque) sans faire exprès.
Télé Loisirs
Les traits d'humour qui surgissent dans une forêt magnifiée par l'automne suffisent à maintenir l’attention.
Le Figaro
Le cinéaste Alain Guiraudie mélange les genres sans convaincre dans ce thriller villageois filmé en Aveyron. Il réussit même à éteindre Catherine Frot.