Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un portrait bouleversant et passionnant.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Outre d’excellentes partitions dans les seconds rôles – Benjamin Biolay, Guillaume Gouix, Gustave Kervern… - Le film bénéficie de l’interprétation de très haut niveau de ses deux têtes d’affiche : Benoît Magimel, remarquable de blessures intériorisées, et Nadia Tereszkiewicz, qui gagne le pari de nous faire oublier la barbe de l’héroïne pour nous séduire avec ses désirs, de liberté notamment.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette réflexion sur l’apparence et le regard des autres est portée par ces deux acteurs remarquables.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le film fait ressentir de l'empathie pour cette femme au destin étrange. Sa tendresse, sa fraîcheur et son innocence ne peuvent que vous toucher.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
En explorant la pluralité des réactions face à la différence et en s'appuyant sur le très convaincant et sensible duo Tereszkiewicz-Magimel, Stéphanie Di Giusto offre une délicate et poignante expérience filmique avec Rosalie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Stéphanie Di Giusto s’appuie sur la vie réelle de Clémentine Delait, atteinte d’hirsutisme, pour réaliser un film à la gloire de l’amour et de la tolérance. Nadia Tereszkiewicz prête sa fraîcheur au personnage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce film d’une grande beauté formelle, une femme atteinte d’hirsutisme, interprétée avec sensibilité par Nadia Tereszkiewicz, tente de se faire accepter, malgré la cruauté du regard porté sur elle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Stéphanie Di Giusto dresse le beau portrait d’une femme (à barbe) dans la France du XIXe siècle. Ni artificiel, ni ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
La réalisatrice offre quelques très belles séquences et signe un récit sur la différence, audacieux,féministe et intemporel qui aurait gagné à être un brin resserré.
Marie Claire
par Emily Barnett
Une réflexion aiguë sur les méandres de l'identité, de la norme et des critères admis de beauté.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Pascale Vergereau
Nadia Tereszkiewicz est excellente.
Cahiers du Cinéma
par Circé Faure
Au-delà de l’intéressant MacGuffin social, économique et politique de sa barbe, Rosalie aurait pu espérer un traitement aussi complexe que la vie et la personnalité de Clémentine Delait qui l’a inspirée, si le film avait soutenu le regard de son héroïne – et de son actrice.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En traitant avec finesse des a priori, en déjouant les pièges du « seule contre tous », en dessinant un couple sur le chemin solidaire d’un affranchissement des conventions, la cinéaste parvient (malgré quelques clichés) à émouvoir sans forcer le mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Récit pudique, lumière et décors magnifiques, discours universel, interprétation d’une densité folle… Autant de qualités qui font regretter quelques écueils, cette sensation que le film n’avance plus, sans que son épilogue parvienne à lui donner l’ampleur espérée.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Évitant tout sensationnalisme, le film, à l’approche très classique, est une œuvre touchante, encourageant à combattre les discriminations et à assumer ses différences.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La cinéaste retrace l’histoire de la plus célèbre des femmes à barbe dans un film académique mais à la vision féministe singulière.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Si le film n’échappe pas toujours à l’académisme, l’originalité du scénario et, surtout, la prestation de Nadia Tereszkiewicz (vue, entre autres, dans Les Amandiers, de Valeria Bruni Tedeschi et Mon crime, de François Ozon) ne laissent pas de marbre.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Son film repose entièrement sur les épaules de Nadia Tereszkiewicz, à la palette décidément étonnante, aidée par un Benoît Magimel tout en violence et en douceur rentrées. « Rosalie » ose aller loin en ayant l’intelligence d’éviter les pièges tendus.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Les interprétations de Nadia Tereszkiewicz, exceptionnelle de délicatesse dans le rôle de la femme à barbe, et de Benoît Magimel, parfait en époux angoissé, s’avèrent à ce titre remarquables. Le film se fait par contre plus prévisible au niveau des seconds rôles et de la description des réactions hostiles de la foule.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
La mise en scène est un peu trop sage, les seconds rôles peu utiles. C’est par son scénario, et l’interprétation des deux personnages principaux, que le film de Stéphanie di Giusto surprend, et émeut. Abel et Rosalie construisent vaille que vaille une relation unique. Ils inventent leur sexualité. C’est beau.
Télé 2 semaines
par M.A.
Il y a quelque chose d'intriguant dans ce récit d'émancipation, à la fois touchant, lisse et un peu maladroit, servi par l'interprétation solaire de Nadia Tereszkiewicz.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Trop soucieux de coller à des préoccupations féministes modernes, le film paraît un rien précipité dans l'évolution du personnage. Il n'en reste pas moins élégamment austère dans sa forme (...).
Télé Loisirs
par Mathilde Aubry
Film d'époque à la mise en scène sage, Rosalie détonne par l'invraisemblable progression de son personnage singulier (...). On se laisse toutefois charmer par l'interprétation solaire de Nadia Tereszkiewicz.
Télérama
par Frédéric Strauss
Moins fantasque que l’imaginaire suscité par son héroïne, Rosalie se révèle une chronique historique soignée, parfois un peu trop attachée à mettre en valeur les mentalités de l’époque. (...) L’interprétation de Nadia Tereszkiewicz y apporte heureusement une sensibilité qui séduit vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Grignon
La cinéaste délaisse la dimension potentiellement la plus intéressante du récit (comment s’émanciper en faisant le commerce de sa propre image ?) au profit de scènes doloristes beaucoup plus attendues.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par V. Cau.
La démarche pourrait apparaître louable si cette modernité du personnage ne venait se heurter à l’académisme des décors, des costumes et de la mise en scène, créant ainsi une discordance quelque peu anachronique, et embarrassante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
A partir de là, l'histoire tourne en rond et n'atteint pas l'intensité dramatique attendue.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Destin d'une femme à barbe dans les années 1870, « Rosalie » se remet mal de son scénario fragile malgré une interprétation déchirante de Nadia Tereszkiewicz.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sonya Faure
Le film de Stéphanie Di Giusto sur une femme à barbe tente, un peu pataud, de troubler les frontières du genre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En dépit d’une palette d’acteurs très talentueux et d’un sujet très original, Stéphanie Di Giusto semble avoir perdu l’entrain et la beauté de son premier long, La danseuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
Un portrait bouleversant et passionnant.
Le Parisien
Outre d’excellentes partitions dans les seconds rôles – Benjamin Biolay, Guillaume Gouix, Gustave Kervern… - Le film bénéficie de l’interprétation de très haut niveau de ses deux têtes d’affiche : Benoît Magimel, remarquable de blessures intériorisées, et Nadia Tereszkiewicz, qui gagne le pari de nous faire oublier la barbe de l’héroïne pour nous séduire avec ses désirs, de liberté notamment.
20 Minutes
Cette réflexion sur l’apparence et le regard des autres est portée par ces deux acteurs remarquables.
Femme Actuelle
Le film fait ressentir de l'empathie pour cette femme au destin étrange. Sa tendresse, sa fraîcheur et son innocence ne peuvent que vous toucher.
Franceinfo Culture
En explorant la pluralité des réactions face à la différence et en s'appuyant sur le très convaincant et sensible duo Tereszkiewicz-Magimel, Stéphanie Di Giusto offre une délicate et poignante expérience filmique avec Rosalie.
L'Humanité
Stéphanie Di Giusto s’appuie sur la vie réelle de Clémentine Delait, atteinte d’hirsutisme, pour réaliser un film à la gloire de l’amour et de la tolérance. Nadia Tereszkiewicz prête sa fraîcheur au personnage.
La Croix
Dans ce film d’une grande beauté formelle, une femme atteinte d’hirsutisme, interprétée avec sensibilité par Nadia Tereszkiewicz, tente de se faire accepter, malgré la cruauté du regard porté sur elle.
Le Figaro
Stéphanie Di Giusto dresse le beau portrait d’une femme (à barbe) dans la France du XIXe siècle. Ni artificiel, ni ridicule.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice offre quelques très belles séquences et signe un récit sur la différence, audacieux,féministe et intemporel qui aurait gagné à être un brin resserré.
Marie Claire
Une réflexion aiguë sur les méandres de l'identité, de la norme et des critères admis de beauté.
Ouest France
Nadia Tereszkiewicz est excellente.
Cahiers du Cinéma
Au-delà de l’intéressant MacGuffin social, économique et politique de sa barbe, Rosalie aurait pu espérer un traitement aussi complexe que la vie et la personnalité de Clémentine Delait qui l’a inspirée, si le film avait soutenu le regard de son héroïne – et de son actrice.
L'Obs
En traitant avec finesse des a priori, en déjouant les pièges du « seule contre tous », en dessinant un couple sur le chemin solidaire d’un affranchissement des conventions, la cinéaste parvient (malgré quelques clichés) à émouvoir sans forcer le mélodrame.
La Voix du Nord
Récit pudique, lumière et décors magnifiques, discours universel, interprétation d’une densité folle… Autant de qualités qui font regretter quelques écueils, cette sensation que le film n’avance plus, sans que son épilogue parvienne à lui donner l’ampleur espérée.
Les Fiches du Cinéma
Évitant tout sensationnalisme, le film, à l’approche très classique, est une œuvre touchante, encourageant à combattre les discriminations et à assumer ses différences.
Les Inrockuptibles
La cinéaste retrace l’histoire de la plus célèbre des femmes à barbe dans un film académique mais à la vision féministe singulière.
Marianne
Si le film n’échappe pas toujours à l’académisme, l’originalité du scénario et, surtout, la prestation de Nadia Tereszkiewicz (vue, entre autres, dans Les Amandiers, de Valeria Bruni Tedeschi et Mon crime, de François Ozon) ne laissent pas de marbre.
Paris Match
Son film repose entièrement sur les épaules de Nadia Tereszkiewicz, à la palette décidément étonnante, aidée par un Benoît Magimel tout en violence et en douceur rentrées. « Rosalie » ose aller loin en ayant l’intelligence d’éviter les pièges tendus.
Première
Les interprétations de Nadia Tereszkiewicz, exceptionnelle de délicatesse dans le rôle de la femme à barbe, et de Benoît Magimel, parfait en époux angoissé, s’avèrent à ce titre remarquables. Le film se fait par contre plus prévisible au niveau des seconds rôles et de la description des réactions hostiles de la foule.
Sud Ouest
La mise en scène est un peu trop sage, les seconds rôles peu utiles. C’est par son scénario, et l’interprétation des deux personnages principaux, que le film de Stéphanie di Giusto surprend, et émeut. Abel et Rosalie construisent vaille que vaille une relation unique. Ils inventent leur sexualité. C’est beau.
Télé 2 semaines
Il y a quelque chose d'intriguant dans ce récit d'émancipation, à la fois touchant, lisse et un peu maladroit, servi par l'interprétation solaire de Nadia Tereszkiewicz.
Télé 7 Jours
Trop soucieux de coller à des préoccupations féministes modernes, le film paraît un rien précipité dans l'évolution du personnage. Il n'en reste pas moins élégamment austère dans sa forme (...).
Télé Loisirs
Film d'époque à la mise en scène sage, Rosalie détonne par l'invraisemblable progression de son personnage singulier (...). On se laisse toutefois charmer par l'interprétation solaire de Nadia Tereszkiewicz.
Télérama
Moins fantasque que l’imaginaire suscité par son héroïne, Rosalie se révèle une chronique historique soignée, parfois un peu trop attachée à mettre en valeur les mentalités de l’époque. (...) L’interprétation de Nadia Tereszkiewicz y apporte heureusement une sensibilité qui séduit vraiment.
Critikat.com
La cinéaste délaisse la dimension potentiellement la plus intéressante du récit (comment s’émanciper en faisant le commerce de sa propre image ?) au profit de scènes doloristes beaucoup plus attendues.
Le Monde
La démarche pourrait apparaître louable si cette modernité du personnage ne venait se heurter à l’académisme des décors, des costumes et de la mise en scène, créant ainsi une discordance quelque peu anachronique, et embarrassante.
Le Point
A partir de là, l'histoire tourne en rond et n'atteint pas l'intensité dramatique attendue.
Les Echos
Destin d'une femme à barbe dans les années 1870, « Rosalie » se remet mal de son scénario fragile malgré une interprétation déchirante de Nadia Tereszkiewicz.
Libération
Le film de Stéphanie Di Giusto sur une femme à barbe tente, un peu pataud, de troubler les frontières du genre.
aVoir-aLire.com
En dépit d’une palette d’acteurs très talentueux et d’un sujet très original, Stéphanie Di Giusto semble avoir perdu l’entrain et la beauté de son premier long, La danseuse.