Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
FaRem
8 844 abonnés
9 664 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 11 août 2024
À sa sortie de prison, Wes décide de changer de vie et de faire de sa passion pour la moto son métier. Pour cela, il compte sur son père Dean, un nom du circuit qu'il va rencontrer pour la première fois... "One Fast Move" est un drame sportif au cours duquel les tensions sont aussi présentes sur la piste qu'en dehors, mais si Kelly Blatz arrive à rendre les scènes de course dynamiques, sans pour autant satisfaire les fans de moto, on ne peut pas en dire autant pour ces différentes relations clichées entre des personnes toxiques. Des personnages sans profondeur pour un aspect dramatique médiocre avec le réalisateur qui sort tous les stéréotypes du genre. Bref, un énième film générique pour les plateformes qui est prévisible et ennuyeux.
Fan d'hypersport, ce petit film sans grand budget manque de qualités de réalisation, ne serait-ce que pour les rares courses présentées. Le reste est banal et sans grand intérêt...
À voir si on est amateur de motos, parceque pour le reste le scénario est à l avenant, juste le prétexte au spectacle de courses. Divertissant sans être inoubliable.
Comme toile de fond les courses de moto, mais le sujet du film se concentre sur les relations qu'entretiennent le héros avec son père biologique, son père de substitution et sa petite amie. Une réalisation qui manque de nerf, mais une bonne direction d'acteurs.
Je suis presque énervée tellement le film est nul. Et pourtant j'aime la bécane et la romance mais c'est un 0 sur 10. Le scénario est pourri, tout est à améliorer, niveau romance c'est pareil, pas de frisson. Beaucoup de choses prévisibles, c'est vraiment du gâchis..
Une peinture magistrale des relations père-fils. Une ode au partage et à la passion. Je me suis reconnu dans Dean, le père, éternel adolescent à la recherche d’une gloire passée, à la paternité fuyante. Les scènes de course sont superbement filmées. Le film s’essouffle après une quarantaine de minutes pour reprendre son rythme effréné vers la fin et finir en apothéose sur une course père-fils m’ayant mis la larme à l’œil. Un nouveau classique du genre.
Une nullité absolue !!! Si vous ne connaissez rien à la moto, vous trouverez un film bourré de cliché, tout juste passable. Si vous êtes fan de moto, vous verrez des courses avec des pilotes qui mettent 15 degrés d'angle et qui se tirent la bourre à 50 à l'heure !!! Pathétique
J'en attendais beaucoup plus. Les scènes de motos sont molles comme pas possible, l'acteur qui s'extasie des qu'il prend un virage ou double une voiture. Le mec est censé devenir un pro et se vautre toutes les deux minutes. La moto bonne pour la casse dès qu'elle glisse dans le sable, bref y a rien qui tient la route. Dommage pour un film de ce genre...
un nanar 5 étoiles. j'aime la moto, je m'attendais a un navet mais ça dépasse les attentes : c'est presque jouissif, la mise en scène, les dialogues, tout est digne d'un épisode de Walker Texas Ranger sans Chuck Norris.
This beautiful movie struck a personal chord with me, especially as I never had the chance to know my father. The film's exploration of family dynamics and the exhilarating world of motorcycle racing resonated deeply throughout the narrative. It highlights the adventure and responsibilities of fatherhood, making it an emotional and compelling watch. The stunning visuals and expertly choreographed racing scenes create a thrilling backdrop that complements the heartfelt story. Additionally, the casting is exceptional, with each actor bringing depth and authenticity to their roles, making the characters relatable and memorable. Congratulations to the entire team behind this remarkable film! It’s a true testament to the power of storytelling and the profound connections within our families.
J'ai beaucoup aimé ce film, tout particulièrement pour la qualité de la direction d'acteurs. Je ne suis pas motard mais, au final, il me semble que l'essentiel est ailleurs. Même si les courses filmées en Géorgie sont spectaculaires, à couper le souffle, ce sont les relations fils/père qui constituent le morceau de résistance. Et là, le jeu de KJ Apa est éblouissant: économe, retenu, d'une efficacité rare. Bravo au réalisateur/scénariste Kelly Blatz.