Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Au-delà de l'intrigue autour de la recherche de l'ourson, gagné par un mystérieux homme à chapeau, les petits comme les grands s'amuseront du caractère obstiné du petit frère, persuadé que son père se déguise en père Noël, et dont le cerveau bouillonne à chaque nouvelle question.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce film de Noël norvégien, plutôt adressé au jeune public, ne réinvente pas le flocon mais propose une jolie fable, attendrissante et chaleureuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Nicolas Didier
D’un côté, le réveillon traditionnel d’une famille, avec acteurs adultes en surjeu. De l’autre, l’épopée à la Toy Story de peluches en images de synthèse – un ours et une hérissonne. Dommage que la première intrigue ne soit pas à la hauteur de la seconde, réussie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Nice-Matin
par Cédric Coppola
La réalisation sommaire, le jeu des acteurs plus qu’approximatif et les doublages, qui sonnent faux, alourdissent également l’ensemble. Conséquence, c’est moins beau, moins drôle et moins intelligent que les aventures de l’ours Paddington, qui fera son grand retour dans les salles obscures début février.
Abus de Ciné
Au-delà de l'intrigue autour de la recherche de l'ourson, gagné par un mystérieux homme à chapeau, les petits comme les grands s'amuseront du caractère obstiné du petit frère, persuadé que son père se déguise en père Noël, et dont le cerveau bouillonne à chaque nouvelle question.
Les Fiches du Cinéma
Ce film de Noël norvégien, plutôt adressé au jeune public, ne réinvente pas le flocon mais propose une jolie fable, attendrissante et chaleureuse.
Télérama
D’un côté, le réveillon traditionnel d’une famille, avec acteurs adultes en surjeu. De l’autre, l’épopée à la Toy Story de peluches en images de synthèse – un ours et une hérissonne. Dommage que la première intrigue ne soit pas à la hauteur de la seconde, réussie.
Nice-Matin
La réalisation sommaire, le jeu des acteurs plus qu’approximatif et les doublages, qui sonnent faux, alourdissent également l’ensemble. Conséquence, c’est moins beau, moins drôle et moins intelligent que les aventures de l’ours Paddington, qui fera son grand retour dans les salles obscures début février.