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Gad Elmaleh avance en funambule sur une ligne de crête entre documentaire et fiction, drame et comédie pour évoquer son cheminement spirituel et la crise de foi qui fut la sienne. Drôle et émouvant, Reste un peu est aussi un film très intime et courageux, doublé d’une déclaration d’amour à la famille de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Sous la forme d’une auto-fiction, dans laquelle Gad Elmaleh invite ses parents à jouer leur propre rôle, le film se concentre sur les doutes du comédien, et compose un savant mélange entre pudeur et humour.
Effectivement, Reste un peu plonge dans la vie familiale de Gad Elmaleh avec un humour tendre car ce dernier ne se prend pas au sérieux. Mais on peut aussi y trouver matière à faire fonctionner ses petites cellules grises.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Là où il déployait un grotesque forcené, des gags au chausse-pied dans son premier film Coco (2009), folie des grandeurs version juive mettant en scène l’organisation d’une bar-mitsva tape-à-l’œil – c’était caricatural, excessif, raté –, Gad Elmaleh donne à cette comédie familiale spirituelle une force sensible.
Cette quête intérieure, sur l’identité, l’exil et la spiritualité est au final un bel hommage aux siens et au Maroc. Mais cette réflexion sur la foi est aussi un film sur le mensonge. Comme si les deux étaient quand même inéluctablement liés.
Il y a dans le regard de Gad Elmaleh une fragilité, un coeur abîmé par les années de célébrité, écrasé par la fugacité des choses, qui fait du film une bonne surprise, nous remerciant de fait d’être restés un peu à écouter ce qu’il avait à nous dire.
Gad Elmaleh revient à son enfance fascinée par la Vierge Marie. Treize ans après Coco, extension filmique d’un one-man-show, son deuxième long-métrage en tant que réalisateur le mène à l’Église, dans une comédie spirituelle au credo humoristique, qui ne crucifie pas son comique.
En filigrane, et avec un humour qui vise et touche juste, Gad Elmaleh, avec la complicité de quelques invités de choix, dont la remarquable Delphine Horvilleur , s'adonne à une méditation stimulante sur les mystères et les détours de la foi. Une comédie malicieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Avec cet argument scénaristique qui renvoie à des préoccupations personnelles du « vrai » Gad Elmaleh, le cinéaste trousse une comédie insolente sur la religion et sur les pièges du communautarisme.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Un peu raté, mais pas mal réussi quand même, Reste un peu a tout de même beaucoup de mérites, dont le principal est de sortir du lot et de poser la plupart des bonnes questions dans les bons termes. Et d'émouvoir, aussi, un peu.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Entre confession autobiographique et comédie de mœurs, l’humoriste enrôle ses vrais parents, des rabbins (dont Delphine Horvilleur) et des prêtres, dans une mise en abyme tenant du docufiction, de la caméra espion, de l’autodérision, qu’on suit avec perplexité, amusement et pas mal de fascination.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Mais Gad Elmaleh parvient à émouvoir jusqu’au dénouement qui laisse à penser que son chemin de foi se poursuit avec une part d’intimité qui ne peut se communiquer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L’acteur et humoriste met à contribution sa mère, son père, sa sœur, ses cousins et ses potes dans cette surprenante « crise de foi » où il interroge, avec une finesse mâtinée de drôlerie et d’irrévérence, son rapport aux religions.
Or on ne comprend pas bien ce qui motive ici la décision du personnage, d’autant moins comment un processus a priori aussi intime et bouleversant se retrouve ainsi exposé en une manière de comédie légère. Tel serait le vertige de la célébrité, qui estompe les frontières entre public et privé : Gad Elmaleh aura fini par se prendre pour son personnage, au point de devoir un jour le congédier solennellement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
En mettant en scène un désir de conversion au catholicisme avec les codes du « documenteur », Gad Elmaleh cherche à convaincre qu’il est revenu. Mais d’où et de quoi ? Des États-Unis, de l’oubli, d’une forme de désaveu moral et professionnel ? Il ne marque pas tant une différence (de religion, de maturité) qu’il ne tente de construire par la gravité et la mise en danger une unité de soi qui paraisse à la fois plus profonde et renouvelée.
Comme comédien, Gad Elmaleh n’a jamais semblé aussi à l’aise, même si son père David, exceptionnel, lui vole la vedette. Dommage qu’une fin soudain moins fluide et qu’une réalisation sans relief abîment le geste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Tout ce dont il veut nous parler, c’est de ses atermoiements spirituels, qui produiront difficilement un autre effet sur les spectateur·rices que celui d’un caprice narcissique : j’ai toujours senti que la vierge Marie veillait sur moi, comment le faire accepter à ma famille juive ?
Bande à part
Gad Elmaleh avance en funambule sur une ligne de crête entre documentaire et fiction, drame et comédie pour évoquer son cheminement spirituel et la crise de foi qui fut la sienne. Drôle et émouvant, Reste un peu est aussi un film très intime et courageux, doublé d’une déclaration d’amour à la famille de son auteur.
Closer
Mieux qu'une crise de "foi", un retour en grâce, subtil tendre et délicat.
Les Fiches du Cinéma
Sous la forme d’une auto-fiction, dans laquelle Gad Elmaleh invite ses parents à jouer leur propre rôle, le film se concentre sur les doutes du comédien, et compose un savant mélange entre pudeur et humour.
20 Minutes
Effectivement, Reste un peu plonge dans la vie familiale de Gad Elmaleh avec un humour tendre car ce dernier ne se prend pas au sérieux. Mais on peut aussi y trouver matière à faire fonctionner ses petites cellules grises.
CNews
Sensible, courageuse et touchante, cette comédie n’en demeure pas moins très drôle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Là où il déployait un grotesque forcené, des gags au chausse-pied dans son premier film Coco (2009), folie des grandeurs version juive mettant en scène l’organisation d’une bar-mitsva tape-à-l’œil – c’était caricatural, excessif, raté –, Gad Elmaleh donne à cette comédie familiale spirituelle une force sensible.
L'Humanité
Cette quête intérieure, sur l’identité, l’exil et la spiritualité est au final un bel hommage aux siens et au Maroc. Mais cette réflexion sur la foi est aussi un film sur le mensonge. Comme si les deux étaient quand même inéluctablement liés.
LCI
Avec "Reste un peu", Gad Elmaleh livre son film le plus personnel et le plus touchant.
La Septième Obsession
Il y a dans le regard de Gad Elmaleh une fragilité, un coeur abîmé par les années de célébrité, écrasé par la fugacité des choses, qui fait du film une bonne surprise, nous remerciant de fait d’être restés un peu à écouter ce qu’il avait à nous dire.
Le Dauphiné Libéré
Gad Elmaleh revient à son enfance fascinée par la Vierge Marie. Treize ans après Coco, extension filmique d’un one-man-show, son deuxième long-métrage en tant que réalisateur le mène à l’Église, dans une comédie spirituelle au credo humoristique, qui ne crucifie pas son comique.
Le Figaro
Un film métaphysique, drôle, profond et très actuel.
Le Parisien
Surprenant, courageux, « Reste un peu » est un long-métrage très intime en même temps que très drôle.
Le Point
Un beau miracle.
Les Echos
En filigrane, et avec un humour qui vise et touche juste, Gad Elmaleh, avec la complicité de quelques invités de choix, dont la remarquable Delphine Horvilleur , s'adonne à une méditation stimulante sur les mystères et les détours de la foi. Une comédie malicieuse.
Marianne
Avec cet argument scénaristique qui renvoie à des préoccupations personnelles du « vrai » Gad Elmaleh, le cinéaste trousse une comédie insolente sur la religion et sur les pièges du communautarisme.
Ouest France
Une réflexion intime.
Positif
De la part de notre trublion national, on ne s’attendait pas à une œuvre flirtant aussi ouvertement avec le mysticisme. La surprise vaut le détour.
Public
Une comédie familiale tendre autour de la crise de la cinquantaine.
Télé 2 semaines
Entre réalité et fiction, l’acteur et humoriste, à la fois devant et derrière la caméra, livre une réflexion drôle et bien sentie sur les religions.
Télé 7 Jours
Une mise en abyme pleine d’autodérision, dont la sincérité ultra touchante n’a d’égale que la liberté et l’audace.
Télé Loisirs
Un regard frais et bienvenu sur un thème qui suscite souvent des débats passionnés. Une excellente surprise.
aVoir-aLire.com
Entre l’autobiographie et l’autodérision, le film de Gad Elmaleh se regarde comme un joyau de tendresse et de tolérance.
Ecran Large
Un peu raté, mais pas mal réussi quand même, Reste un peu a tout de même beaucoup de mérites, dont le principal est de sortir du lot et de poser la plupart des bonnes questions dans les bons termes. Et d'émouvoir, aussi, un peu.
L'Obs
Entre confession autobiographique et comédie de mœurs, l’humoriste enrôle ses vrais parents, des rabbins (dont Delphine Horvilleur) et des prêtres, dans une mise en abyme tenant du docufiction, de la caméra espion, de l’autodérision, qu’on suit avec perplexité, amusement et pas mal de fascination.
La Croix
Mais Gad Elmaleh parvient à émouvoir jusqu’au dénouement qui laisse à penser que son chemin de foi se poursuit avec une part d’intimité qui ne peut se communiquer.
La Voix du Nord
Devant et derrière la caméra, Gad Elmaleh dévoile sa fascination pour la Vierge Marie dans une autofiction drôle, humble et touchante.
Le Journal du Dimanche
L’acteur et humoriste met à contribution sa mère, son père, sa sœur, ses cousins et ses potes dans cette surprenante « crise de foi » où il interroge, avec une finesse mâtinée de drôlerie et d’irrévérence, son rapport aux religions.
Le Monde
Or on ne comprend pas bien ce qui motive ici la décision du personnage, d’autant moins comment un processus a priori aussi intime et bouleversant se retrouve ainsi exposé en une manière de comédie légère. Tel serait le vertige de la célébrité, qui estompe les frontières entre public et privé : Gad Elmaleh aura fini par se prendre pour son personnage, au point de devoir un jour le congédier solennellement.
Sud Ouest
Profond et drôle.
Cahiers du Cinéma
En mettant en scène un désir de conversion au catholicisme avec les codes du « documenteur », Gad Elmaleh cherche à convaincre qu’il est revenu. Mais d’où et de quoi ? Des États-Unis, de l’oubli, d’une forme de désaveu moral et professionnel ? Il ne marque pas tant une différence (de religion, de maturité) qu’il ne tente de construire par la gravité et la mise en danger une unité de soi qui paraisse à la fois plus profonde et renouvelée.
Première
Comme comédien, Gad Elmaleh n’a jamais semblé aussi à l’aise, même si son père David, exceptionnel, lui vole la vedette. Dommage qu’une fin soudain moins fluide et qu’une réalisation sans relief abîment le geste.
Les Inrockuptibles
Tout ce dont il veut nous parler, c’est de ses atermoiements spirituels, qui produiront difficilement un autre effet sur les spectateur·rices que celui d’un caprice narcissique : j’ai toujours senti que la vierge Marie veillait sur moi, comment le faire accepter à ma famille juive ?