Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Gad Elmaleh avance en funambule sur une ligne de crête entre documentaire et fiction, drame et comédie pour évoquer son cheminement spirituel et la crise de foi qui fut la sienne. Drôle et émouvant, Reste un peu est aussi un film très intime et courageux, doublé d’une déclaration d’amour à la famille de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par J.B.
Mieux qu'une crise de "foi", un retour en grâce, subtil tendre et délicat.
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Sous la forme d’une auto-fiction, dans laquelle Gad Elmaleh invite ses parents à jouer leur propre rôle, le film se concentre sur les doutes du comédien, et compose un savant mélange entre pudeur et humour.
20 Minutes
par Caroline Vié
Effectivement, Reste un peu plonge dans la vie familiale de Gad Elmaleh avec un humour tendre car ce dernier ne se prend pas au sérieux. Mais on peut aussi y trouver matière à faire fonctionner ses petites cellules grises.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Sensible, courageuse et touchante, cette comédie n’en demeure pas moins très drôle.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Là où il déployait un grotesque forcené, des gags au chausse-pied dans son premier film Coco (2009), folie des grandeurs version juive mettant en scène l’organisation d’une bar-mitsva tape-à-l’œil – c’était caricatural, excessif, raté –, Gad Elmaleh donne à cette comédie familiale spirituelle une force sensible.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Cette quête intérieure, sur l’identité, l’exil et la spiritualité est au final un bel hommage aux siens et au Maroc. Mais cette réflexion sur la foi est aussi un film sur le mensonge. Comme si les deux étaient quand même inéluctablement liés.
LCI
par Rania Hoballah
Avec "Reste un peu", Gad Elmaleh livre son film le plus personnel et le plus touchant.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Il y a dans le regard de Gad Elmaleh une fragilité, un coeur abîmé par les années de célébrité, écrasé par la fugacité des choses, qui fait du film une bonne surprise, nous remerciant de fait d’être restés un peu à écouter ce qu’il avait à nous dire.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Gad Elmaleh revient à son enfance fascinée par la Vierge Marie. Treize ans après Coco, extension filmique d’un one-man-show, son deuxième long-métrage en tant que réalisateur le mène à l’Église, dans une comédie spirituelle au credo humoristique, qui ne crucifie pas son comique.
Le Figaro
par Jean-Marie Guénois
Un film métaphysique, drôle, profond et très actuel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Surprenant, courageux, « Reste un peu » est un long-métrage très intime en même temps que très drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Un beau miracle.
Les Echos
par Olivier de Bruyn
En filigrane, et avec un humour qui vise et touche juste, Gad Elmaleh, avec la complicité de quelques invités de choix, dont la remarquable Delphine Horvilleur , s'adonne à une méditation stimulante sur les mystères et les détours de la foi. Une comédie malicieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec cet argument scénaristique qui renvoie à des préoccupations personnelles du « vrai » Gad Elmaleh, le cinéaste trousse une comédie insolente sur la religion et sur les pièges du communautarisme.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Nicolas Cossic
Une réflexion intime.
Positif
par Vincent Thabourey
De la part de notre trublion national, on ne s’attendait pas à une œuvre flirtant aussi ouvertement avec le mysticisme. La surprise vaut le détour.
Public
par Sarah-Lévy Laithier
Une comédie familiale tendre autour de la crise de la cinquantaine.
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Entre réalité et fiction, l’acteur et humoriste, à la fois devant et derrière la caméra, livre une réflexion drôle et bien sentie sur les religions.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une mise en abyme pleine d’autodérision, dont la sincérité ultra touchante n’a d’égale que la liberté et l’audace.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Un regard frais et bienvenu sur un thème qui suscite souvent des débats passionnés. Une excellente surprise.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre l’autobiographie et l’autodérision, le film de Gad Elmaleh se regarde comme un joyau de tendresse et de tolérance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Lino Cassinat
Un peu raté, mais pas mal réussi quand même, Reste un peu a tout de même beaucoup de mérites, dont le principal est de sortir du lot et de poser la plupart des bonnes questions dans les bons termes. Et d'émouvoir, aussi, un peu.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par S. G.
Entre confession autobiographique et comédie de mœurs, l’humoriste enrôle ses vrais parents, des rabbins (dont Delphine Horvilleur) et des prêtres, dans une mise en abyme tenant du docufiction, de la caméra espion, de l’autodérision, qu’on suit avec perplexité, amusement et pas mal de fascination.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Bevilacqua
Mais Gad Elmaleh parvient à émouvoir jusqu’au dénouement qui laisse à penser que son chemin de foi se poursuit avec une part d’intimité qui ne peut se communiquer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Devant et derrière la caméra, Gad Elmaleh dévoile sa fascination pour la Vierge Marie dans une autofiction drôle, humble et touchante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
L’acteur et humoriste met à contribution sa mère, son père, sa sœur, ses cousins et ses potes dans cette surprenante « crise de foi » où il interroge, avec une finesse mâtinée de drôlerie et d’irrévérence, son rapport aux religions.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Or on ne comprend pas bien ce qui motive ici la décision du personnage, d’autant moins comment un processus a priori aussi intime et bouleversant se retrouve ainsi exposé en une manière de comédie légère. Tel serait le vertige de la célébrité, qui estompe les frontières entre public et privé : Gad Elmaleh aura fini par se prendre pour son personnage, au point de devoir un jour le congédier solennellement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sud Ouest
par Sophie Avon
Profond et drôle.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
En mettant en scène un désir de conversion au catholicisme avec les codes du « documenteur », Gad Elmaleh cherche à convaincre qu’il est revenu. Mais d’où et de quoi ? Des États-Unis, de l’oubli, d’une forme de désaveu moral et professionnel ? Il ne marque pas tant une différence (de religion, de maturité) qu’il ne tente de construire par la gravité et la mise en danger une unité de soi qui paraisse à la fois plus profonde et renouvelée.
Première
par Thierry Chèze
Comme comédien, Gad Elmaleh n’a jamais semblé aussi à l’aise, même si son père David, exceptionnel, lui vole la vedette. Dommage qu’une fin soudain moins fluide et qu’une réalisation sans relief abîment le geste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Tout ce dont il veut nous parler, c’est de ses atermoiements spirituels, qui produiront difficilement un autre effet sur les spectateur·rices que celui d’un caprice narcissique : j’ai toujours senti que la vierge Marie veillait sur moi, comment le faire accepter à ma famille juive ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
Gad Elmaleh avance en funambule sur une ligne de crête entre documentaire et fiction, drame et comédie pour évoquer son cheminement spirituel et la crise de foi qui fut la sienne. Drôle et émouvant, Reste un peu est aussi un film très intime et courageux, doublé d’une déclaration d’amour à la famille de son auteur.
Closer
Mieux qu'une crise de "foi", un retour en grâce, subtil tendre et délicat.
Les Fiches du Cinéma
Sous la forme d’une auto-fiction, dans laquelle Gad Elmaleh invite ses parents à jouer leur propre rôle, le film se concentre sur les doutes du comédien, et compose un savant mélange entre pudeur et humour.
20 Minutes
Effectivement, Reste un peu plonge dans la vie familiale de Gad Elmaleh avec un humour tendre car ce dernier ne se prend pas au sérieux. Mais on peut aussi y trouver matière à faire fonctionner ses petites cellules grises.
CNews
Sensible, courageuse et touchante, cette comédie n’en demeure pas moins très drôle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Là où il déployait un grotesque forcené, des gags au chausse-pied dans son premier film Coco (2009), folie des grandeurs version juive mettant en scène l’organisation d’une bar-mitsva tape-à-l’œil – c’était caricatural, excessif, raté –, Gad Elmaleh donne à cette comédie familiale spirituelle une force sensible.
L'Humanité
Cette quête intérieure, sur l’identité, l’exil et la spiritualité est au final un bel hommage aux siens et au Maroc. Mais cette réflexion sur la foi est aussi un film sur le mensonge. Comme si les deux étaient quand même inéluctablement liés.
LCI
Avec "Reste un peu", Gad Elmaleh livre son film le plus personnel et le plus touchant.
La Septième Obsession
Il y a dans le regard de Gad Elmaleh une fragilité, un coeur abîmé par les années de célébrité, écrasé par la fugacité des choses, qui fait du film une bonne surprise, nous remerciant de fait d’être restés un peu à écouter ce qu’il avait à nous dire.
Le Dauphiné Libéré
Gad Elmaleh revient à son enfance fascinée par la Vierge Marie. Treize ans après Coco, extension filmique d’un one-man-show, son deuxième long-métrage en tant que réalisateur le mène à l’Église, dans une comédie spirituelle au credo humoristique, qui ne crucifie pas son comique.
Le Figaro
Un film métaphysique, drôle, profond et très actuel.
Le Parisien
Surprenant, courageux, « Reste un peu » est un long-métrage très intime en même temps que très drôle.
Le Point
Un beau miracle.
Les Echos
En filigrane, et avec un humour qui vise et touche juste, Gad Elmaleh, avec la complicité de quelques invités de choix, dont la remarquable Delphine Horvilleur , s'adonne à une méditation stimulante sur les mystères et les détours de la foi. Une comédie malicieuse.
Marianne
Avec cet argument scénaristique qui renvoie à des préoccupations personnelles du « vrai » Gad Elmaleh, le cinéaste trousse une comédie insolente sur la religion et sur les pièges du communautarisme.
Ouest France
Une réflexion intime.
Positif
De la part de notre trublion national, on ne s’attendait pas à une œuvre flirtant aussi ouvertement avec le mysticisme. La surprise vaut le détour.
Public
Une comédie familiale tendre autour de la crise de la cinquantaine.
Télé 2 semaines
Entre réalité et fiction, l’acteur et humoriste, à la fois devant et derrière la caméra, livre une réflexion drôle et bien sentie sur les religions.
Télé 7 Jours
Une mise en abyme pleine d’autodérision, dont la sincérité ultra touchante n’a d’égale que la liberté et l’audace.
Télé Loisirs
Un regard frais et bienvenu sur un thème qui suscite souvent des débats passionnés. Une excellente surprise.
aVoir-aLire.com
Entre l’autobiographie et l’autodérision, le film de Gad Elmaleh se regarde comme un joyau de tendresse et de tolérance.
Ecran Large
Un peu raté, mais pas mal réussi quand même, Reste un peu a tout de même beaucoup de mérites, dont le principal est de sortir du lot et de poser la plupart des bonnes questions dans les bons termes. Et d'émouvoir, aussi, un peu.
L'Obs
Entre confession autobiographique et comédie de mœurs, l’humoriste enrôle ses vrais parents, des rabbins (dont Delphine Horvilleur) et des prêtres, dans une mise en abyme tenant du docufiction, de la caméra espion, de l’autodérision, qu’on suit avec perplexité, amusement et pas mal de fascination.
La Croix
Mais Gad Elmaleh parvient à émouvoir jusqu’au dénouement qui laisse à penser que son chemin de foi se poursuit avec une part d’intimité qui ne peut se communiquer.
La Voix du Nord
Devant et derrière la caméra, Gad Elmaleh dévoile sa fascination pour la Vierge Marie dans une autofiction drôle, humble et touchante.
Le Journal du Dimanche
L’acteur et humoriste met à contribution sa mère, son père, sa sœur, ses cousins et ses potes dans cette surprenante « crise de foi » où il interroge, avec une finesse mâtinée de drôlerie et d’irrévérence, son rapport aux religions.
Le Monde
Or on ne comprend pas bien ce qui motive ici la décision du personnage, d’autant moins comment un processus a priori aussi intime et bouleversant se retrouve ainsi exposé en une manière de comédie légère. Tel serait le vertige de la célébrité, qui estompe les frontières entre public et privé : Gad Elmaleh aura fini par se prendre pour son personnage, au point de devoir un jour le congédier solennellement.
Sud Ouest
Profond et drôle.
Cahiers du Cinéma
En mettant en scène un désir de conversion au catholicisme avec les codes du « documenteur », Gad Elmaleh cherche à convaincre qu’il est revenu. Mais d’où et de quoi ? Des États-Unis, de l’oubli, d’une forme de désaveu moral et professionnel ? Il ne marque pas tant une différence (de religion, de maturité) qu’il ne tente de construire par la gravité et la mise en danger une unité de soi qui paraisse à la fois plus profonde et renouvelée.
Première
Comme comédien, Gad Elmaleh n’a jamais semblé aussi à l’aise, même si son père David, exceptionnel, lui vole la vedette. Dommage qu’une fin soudain moins fluide et qu’une réalisation sans relief abîment le geste.
Les Inrockuptibles
Tout ce dont il veut nous parler, c’est de ses atermoiements spirituels, qui produiront difficilement un autre effet sur les spectateur·rices que celui d’un caprice narcissique : j’ai toujours senti que la vierge Marie veillait sur moi, comment le faire accepter à ma famille juive ?