Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Elle
par Ophélie Daguin
Noée Abita est saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un bon point du film : la caméra aime Noée Abita.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Pour son premier long-métrage, Victoria Musiedlak fait preuve d’une implacable rigueur d’écriture.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un premier film formidable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Nicolas Bastuck
Première affaire n'est pas un film policier, même s'il en a la couleur et la saveur. L'affaire criminelle qui y est campée n'est que le support d'un récit initiatique dans lequel une jeune femme découvre la noirceur du monde, l'essence de son métier, si difficile, l'amour et la liberté, aussi, et les désillusions qui vont avec.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Noée Abita est parfaite de force fragile et de timidité dans ce rôle de novice qu'elle habite avec une infinie vérité.
Bande à part
par Isabelle DANEL
Noée Abita porte littéralement le film, avec une étonnante candeur mêlée de détermination.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Le meilleur du film tient dans le portrait très intelligemment dessiné de cette jeune femme qui voit dans le métier d’avocate, une forme d'émancipation de son milieu social en tant que fille d’immigrés, une ouverture au monde, avant de se prendre en pleine face une réalité autrement plus violente.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Noée Abita, silhouette délicate, livre une performance puissante, notamment dans ses face-à-face avec Anders Danielsen Lie, dans la peau d’un flic roué et séduisant.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Une première affaire peut faire basculer un destin, anéantir une vocation ou bien construire une jeune fille timide, en l’obligeant à surmonter les coups et blessures auxquels elle avait, jusqu’à présent, échappé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Séduisant et étrangement flottant, ce premier film en forme d'exercice d'équilibriste tient à la fois du portrait impressionniste, de la chronique réaliste, de la fiction judiciaire, voire du précipité érotique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Clément Colliaux
Malgré quelques belles idées inversant le programme du thriller d’enquête, on pourra regretter que cet horizon intime prenne le pas sur l’affaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré ses maladresses, ce coup d’essai intriguant incarné par Noée Abita (vue, notamment, dans Les passagers de la nuit, de Mikhaël Hers) ne laisse pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pascale Vergereau
Noée Abita campe avec justesse cette fille d'immigrés algériens trop tendre, dans ce récit d'apprentissage un peu dispersé de Victoria Musiedlak.
Première
par Nicolas Moreno
En cela, la belle interprétation de Noée Abita fait parfois penser à l’héroïne du récent La Vénus d’argent, tous deux jeunes mais ambitieuses. Ces films parlent avant tout de leurs valeurs profondes, qu’elles finiront bien par imposer au monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Le récit ouvre des pistes intéressantes, sur la fin de l’innocence, l’épreuve de l’émancipation, mais s’effiloche dans trop d’invraisemblances. Le film vaut surtout pour Noée Abita.
Télérama
par Jérémie Couston
Malgré des thèmes très disparates (misère sociale du Nord et initiation sexuelle complexe), le film évite le pathos avec adresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le choix de Noée Abita est à ce titre parfaitement judicieux. On a cependant beaucoup moins aimé la naïveté initiale très appuyée du personnage (voire du récit) qui rend la démonstration du film prévisible, un peu morne et sans réelle émotion.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Bap. T
Parfois maladroit dans son écriture, le film pâtit aussi du choix de son interprète principale, par ailleurs talentueuse : certes, il s’agit ici de mettre en scène une novice et ses fragilités, mais l’innocence qui se dégage de Noée Abita est telle qu’elle peine à rendre crédible son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Malheureusement, c’est par ce mécanisme même que le film pèche : le physique tout en légèreté et la petite taille de la comédienne – qui s’est montrée excellente dans d’autres films – Noée Abita, tout comme la trop grande fraîcheur du personnage font que rien ne fonctionne : ce décalage est trop important, invraisemblable, et on n’y croit pas une seconde.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par S.O.
Aussi engageant soit-il, le casting ne parvient pas à faire passer un scénario trop scolaire dans son développement comme dans le traitement des personnages.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Pour son premier film, V. Musiedlak se propose de montrer le dessillement d’une jeune avocate apprenant à la dure la réalité du métier. Or, ce drame repose sur une protagoniste d’une candeur si désolante qu’il est impossible de croire une seconde à son histoire.
Elle
Noée Abita est saisissante.
Femme Actuelle
Un bon point du film : la caméra aime Noée Abita.
L'Obs
Pour son premier long-métrage, Victoria Musiedlak fait preuve d’une implacable rigueur d’écriture.
Le Figaro
Un premier film formidable.
Le Point
Première affaire n'est pas un film policier, même s'il en a la couleur et la saveur. L'affaire criminelle qui y est campée n'est que le support d'un récit initiatique dans lequel une jeune femme découvre la noirceur du monde, l'essence de son métier, si difficile, l'amour et la liberté, aussi, et les désillusions qui vont avec.
Télé 7 Jours
Noée Abita est parfaite de force fragile et de timidité dans ce rôle de novice qu'elle habite avec une infinie vérité.
Bande à part
Noée Abita porte littéralement le film, avec une étonnante candeur mêlée de détermination.
Culturopoing.com
Le meilleur du film tient dans le portrait très intelligemment dessiné de cette jeune femme qui voit dans le métier d’avocate, une forme d'émancipation de son milieu social en tant que fille d’immigrés, une ouverture au monde, avant de se prendre en pleine face une réalité autrement plus violente.
Le Dauphiné Libéré
Noée Abita, silhouette délicate, livre une performance puissante, notamment dans ses face-à-face avec Anders Danielsen Lie, dans la peau d’un flic roué et séduisant.
Le Monde
Une première affaire peut faire basculer un destin, anéantir une vocation ou bien construire une jeune fille timide, en l’obligeant à surmonter les coups et blessures auxquels elle avait, jusqu’à présent, échappé.
Les Echos
Séduisant et étrangement flottant, ce premier film en forme d'exercice d'équilibriste tient à la fois du portrait impressionniste, de la chronique réaliste, de la fiction judiciaire, voire du précipité érotique.
Libération
Malgré quelques belles idées inversant le programme du thriller d’enquête, on pourra regretter que cet horizon intime prenne le pas sur l’affaire.
Marianne
Malgré ses maladresses, ce coup d’essai intriguant incarné par Noée Abita (vue, notamment, dans Les passagers de la nuit, de Mikhaël Hers) ne laisse pas indifférent.
Ouest France
Noée Abita campe avec justesse cette fille d'immigrés algériens trop tendre, dans ce récit d'apprentissage un peu dispersé de Victoria Musiedlak.
Première
En cela, la belle interprétation de Noée Abita fait parfois penser à l’héroïne du récent La Vénus d’argent, tous deux jeunes mais ambitieuses. Ces films parlent avant tout de leurs valeurs profondes, qu’elles finiront bien par imposer au monde.
Sud Ouest
Le récit ouvre des pistes intéressantes, sur la fin de l’innocence, l’épreuve de l’émancipation, mais s’effiloche dans trop d’invraisemblances. Le film vaut surtout pour Noée Abita.
Télérama
Malgré des thèmes très disparates (misère sociale du Nord et initiation sexuelle complexe), le film évite le pathos avec adresse.
La Voix du Nord
Le choix de Noée Abita est à ce titre parfaitement judicieux. On a cependant beaucoup moins aimé la naïveté initiale très appuyée du personnage (voire du récit) qui rend la démonstration du film prévisible, un peu morne et sans réelle émotion.
Le Journal du Dimanche
Parfois maladroit dans son écriture, le film pâtit aussi du choix de son interprète principale, par ailleurs talentueuse : certes, il s’agit ici de mettre en scène une novice et ses fragilités, mais l’innocence qui se dégage de Noée Abita est telle qu’elle peine à rendre crédible son personnage.
Le Parisien
Malheureusement, c’est par ce mécanisme même que le film pèche : le physique tout en légèreté et la petite taille de la comédienne – qui s’est montrée excellente dans d’autres films – Noée Abita, tout comme la trop grande fraîcheur du personnage font que rien ne fonctionne : ce décalage est trop important, invraisemblable, et on n’y croit pas une seconde.
Télé Loisirs
Aussi engageant soit-il, le casting ne parvient pas à faire passer un scénario trop scolaire dans son développement comme dans le traitement des personnages.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier film, V. Musiedlak se propose de montrer le dessillement d’une jeune avocate apprenant à la dure la réalité du métier. Or, ce drame repose sur une protagoniste d’une candeur si désolante qu’il est impossible de croire une seconde à son histoire.