Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
The Iron Claw capte comme peu de films le déchirement qu'est la perte d'un être cher et le trou béant que forme son absence.
Première
par Thomas Baurez
La grande faucheuse est là, elle rôde, étreint des corps atrophiés, regarde des frères tomber. Les faits sont là, « dans toute leur laideur », auxquels Durkin, dans un geste paradoxal, restitue la beauté tragique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par M.L.
Portée par des performances spectaculaires, cette tragédie américaine passionne en dressant le portrait d'une fratrie soudée face à l'emprise d'un patriarche délirant et assoiffé de succès.
Télé Loisirs
par M.L.
Un très grand film sur l'illusion du rêve américain.
Voici
par La Rédaction
Du grand cinéma américain.
CNews
par La rédaction
Inspiré de l'histoire vraie des lutteurs Von Erich, ce film transpire la testostérone, sans être dénué d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Culturopoing.com
par Frédérique Lambert
"Iron Claw" autopsie la névrose familiale en démontant l'illusion du mythe viriliste [...]. Il transforme le carnavalesque du ring de catch, ce parent pauvre du ring de boxe, avec ses surnoms et ses démonstrations de force foraines, en l'arène de la plus radicale et antique des tragédies.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Autour du destin des catcheurs Von Erich, Iron Claw montre l’opposition et l’évolution des modèles familiaux par le prisme de deux hommes, un père et son fils.
Ecran Large
par Déborah Lechner
"Iron Claw" évite les écueils du biopic en présentant son histoire comme une prophétie, une tragédie annoncée et patiemment orchestrée, tout en subjuguant par sa mise en scène très expressive et les nombreuses nuances de ses personnages meurtris.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Avec en arrière-plan toute la violence et la pudibonderie de la société américaine, qui voue un culte aussi fervent au Christ qu'aux armes à feux, "Iron Claw" nous interroge sur les codes de la virilité, et sur l'éducation et les conséquences de ce que l'on transmet comme valeurs aux garçons, dressés pour combattre, interdits de sentiments et d'émotions.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans le rôle, Zac Efron, monstre herculéen au regard d’enfant, fascine et émeut. Tout comme cette plongée dans l’Amérique profonde où l’on retrouve la patte insolite du réalisateur de « Martha Marcy May Marlene » : mise en scène énigmatique et fausse malédiction cachant un écheveau de névroses destructrices.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Porté par un très bon casting (Maura Tierney, Jeremy Allen White…), Iron Claw réussit à monter quel est le combat le plus important à mener dans une vie.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Zac Efron, bodybuildé comme ça n’est pas permis, mène la danse avec un regard d’une tristesse à fendre les banquises. (...) Sa virilité en bandoulière, cet acteur jadis anodin rayonne dans cette chronique qui a l’air de surgir du meilleur cinéma indépendant des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Avec Sean Durkin aux manettes, le récit privilégie les tourments physiques et psychologiques endurés par ces jeunes hommes idéalistes, évoquant leur courage et leur résilience face à l'adversité, tout en gratifiant le public de séquences sur le ring très spectaculaires.
Le Parisien
par Michel Valentin
Pas de place à la demi-mesure, les acteurs ont dû s’investir à fond dans leur rôle, et il convient de souligner l’incroyable prestation de Zac Efron, à la carrure (et la coiffure) digne du Hulk vert de la série télé de notre enfance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers l'histoire vraie d'une famille de catcheurs, Sean Durkin signe une saga texane et une réflexion sur la force du destin. Des muscles, de la sueur… et du coeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Drame puissant et sensible, le nouveau film de Sean Durkin raconte l’envers tragique d’une quête de notoriété déshumanisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Outre l’excellente reconstitution des scènes de catch, la grande qualité du troisième film de Sean Durkin, dont on a compris que le thème de prédilection était les mécanismes d’emprise masculine, est de raconter les dégâts de cette paternité toxique sans en grossir le trait, en en laissant décanter les vapeurs à mesure que le film avance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
[...] "Iron Claw" laisse sa marque. Nette, profonde. Celle d’un récit ahurissant, dense, bourré d’idées (les scènes de séduction entre Kevin et sa petite amie Pam évitent brillamment les clichés) et porté par une distribution impeccable. Celle, surtout, d’un film assez inédit et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Joseph Boinay
Un film inégal mais pertinent sur les dégâts du virilisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Une tragédie américaine qui réinvestit les figures imposées du film de sport pour mieux les démolir. Puissant et vibrant.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Durkin refuse toute perméabilité avec la fascinante mais facilement ridicule plasticité de l’époque (les années 1970-80) et du sport qu’il filme, n’exploitant ni la brutalité physique des corps (Zac Efron, particulièrement) ni la fragilité des deux vilains petits canards de l’histoire : le benjamin qui se rêve une vie de musicien et la mère (Maura Tierney) à la voix (ou la vie) empêchée.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Porté par des acteurs remarquables, Iron Claw est toutefois entravé par une mise en scène qui pêche par sa retenue, au point de frôler la platitude.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par J. Ma.
Partant, Sean Durkin signe un film où la tragédie filiale le dispute à l’amour du catch, la performance essentiellement culturiste des acteurs et l’absence de personnages féminins dignes de ce nom à la critique de la virilité. Cet énoncé seul indique les contradictions d’un long-métrage par ailleurs très monocorde tant il manque de subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
CinemaTeaser
The Iron Claw capte comme peu de films le déchirement qu'est la perte d'un être cher et le trou béant que forme son absence.
Première
La grande faucheuse est là, elle rôde, étreint des corps atrophiés, regarde des frères tomber. Les faits sont là, « dans toute leur laideur », auxquels Durkin, dans un geste paradoxal, restitue la beauté tragique.
Télé 2 semaines
Portée par des performances spectaculaires, cette tragédie américaine passionne en dressant le portrait d'une fratrie soudée face à l'emprise d'un patriarche délirant et assoiffé de succès.
Télé Loisirs
Un très grand film sur l'illusion du rêve américain.
Voici
Du grand cinéma américain.
CNews
Inspiré de l'histoire vraie des lutteurs Von Erich, ce film transpire la testostérone, sans être dénué d'émotion.
Culturopoing.com
"Iron Claw" autopsie la névrose familiale en démontant l'illusion du mythe viriliste [...]. Il transforme le carnavalesque du ring de catch, ce parent pauvre du ring de boxe, avec ses surnoms et ses démonstrations de force foraines, en l'arène de la plus radicale et antique des tragédies.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Autour du destin des catcheurs Von Erich, Iron Claw montre l’opposition et l’évolution des modèles familiaux par le prisme de deux hommes, un père et son fils.
Ecran Large
"Iron Claw" évite les écueils du biopic en présentant son histoire comme une prophétie, une tragédie annoncée et patiemment orchestrée, tout en subjuguant par sa mise en scène très expressive et les nombreuses nuances de ses personnages meurtris.
Franceinfo Culture
Avec en arrière-plan toute la violence et la pudibonderie de la société américaine, qui voue un culte aussi fervent au Christ qu'aux armes à feux, "Iron Claw" nous interroge sur les codes de la virilité, et sur l'éducation et les conséquences de ce que l'on transmet comme valeurs aux garçons, dressés pour combattre, interdits de sentiments et d'émotions.
L'Obs
Dans le rôle, Zac Efron, monstre herculéen au regard d’enfant, fascine et émeut. Tout comme cette plongée dans l’Amérique profonde où l’on retrouve la patte insolite du réalisateur de « Martha Marcy May Marlene » : mise en scène énigmatique et fausse malédiction cachant un écheveau de névroses destructrices.
Le Dauphiné Libéré
Porté par un très bon casting (Maura Tierney, Jeremy Allen White…), Iron Claw réussit à monter quel est le combat le plus important à mener dans une vie.
Le Figaro
Zac Efron, bodybuildé comme ça n’est pas permis, mène la danse avec un regard d’une tristesse à fendre les banquises. (...) Sa virilité en bandoulière, cet acteur jadis anodin rayonne dans cette chronique qui a l’air de surgir du meilleur cinéma indépendant des années 1970.
Le Journal du Dimanche
Avec Sean Durkin aux manettes, le récit privilégie les tourments physiques et psychologiques endurés par ces jeunes hommes idéalistes, évoquant leur courage et leur résilience face à l'adversité, tout en gratifiant le public de séquences sur le ring très spectaculaires.
Le Parisien
Pas de place à la demi-mesure, les acteurs ont dû s’investir à fond dans leur rôle, et il convient de souligner l’incroyable prestation de Zac Efron, à la carrure (et la coiffure) digne du Hulk vert de la série télé de notre enfance.
Les Echos
A travers l'histoire vraie d'une famille de catcheurs, Sean Durkin signe une saga texane et une réflexion sur la force du destin. Des muscles, de la sueur… et du coeur.
Les Fiches du Cinéma
Drame puissant et sensible, le nouveau film de Sean Durkin raconte l’envers tragique d’une quête de notoriété déshumanisée.
Les Inrockuptibles
Outre l’excellente reconstitution des scènes de catch, la grande qualité du troisième film de Sean Durkin, dont on a compris que le thème de prédilection était les mécanismes d’emprise masculine, est de raconter les dégâts de cette paternité toxique sans en grossir le trait, en en laissant décanter les vapeurs à mesure que le film avance.
Libération
[...] "Iron Claw" laisse sa marque. Nette, profonde. Celle d’un récit ahurissant, dense, bourré d’idées (les scènes de séduction entre Kevin et sa petite amie Pam évitent brillamment les clichés) et porté par une distribution impeccable. Celle, surtout, d’un film assez inédit et réjouissant.
Télérama
Un film inégal mais pertinent sur les dégâts du virilisme.
aVoir-aLire.com
Une tragédie américaine qui réinvestit les figures imposées du film de sport pour mieux les démolir. Puissant et vibrant.
Cahiers du Cinéma
Durkin refuse toute perméabilité avec la fascinante mais facilement ridicule plasticité de l’époque (les années 1970-80) et du sport qu’il filme, n’exploitant ni la brutalité physique des corps (Zac Efron, particulièrement) ni la fragilité des deux vilains petits canards de l’histoire : le benjamin qui se rêve une vie de musicien et la mère (Maura Tierney) à la voix (ou la vie) empêchée.
Critikat.com
Porté par des acteurs remarquables, Iron Claw est toutefois entravé par une mise en scène qui pêche par sa retenue, au point de frôler la platitude.
Le Monde
Partant, Sean Durkin signe un film où la tragédie filiale le dispute à l’amour du catch, la performance essentiellement culturiste des acteurs et l’absence de personnages féminins dignes de ce nom à la critique de la virilité. Cet énoncé seul indique les contradictions d’un long-métrage par ailleurs très monocorde tant il manque de subtilité.