Un jour avant la saison des pluies : Critique presse
Un jour avant la saison des pluies
Note moyenne
3,9
9 titres de presse
Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Culturopoing.com
L'Humanité
L'Obs
Le Monde
Libération
Positif
Les Fiches du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
La mise en scène, d’une grande élégance et d’une grande virtuosité, joue l’enfermement tout en échappant en permanence au théâtre filmé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
La sortie de quatre films inédits de Mani Kaul est un véritable événement, tant a été négligée ici l'oeuvre du plus audacieux auteur du Nouveau cinéma indien des années 60 - 70.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Le sens du récit est ténu dans ce cinéma, dont les histoires racontées se résument au strict minimum ; l’art de Mani Kaul se caractérise par son abstraction, par un sens très particulier de la temporalité, faisant du figement, de l’immobilité une dialectique en soi, s’intéressant moins à la progression des récits (la stagnation se situe également à cet endroit-ci) qu’à la contemplation des visages, des regards fixant par leur manque patent d’émotions un monde face auquel ils ne peuvent rien, qui édicte ses règles absurdes contre lesquelles la résistance semble impossible.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mani Kaul filme avec grâce et poésie le désarroi des femmes du peuple incomprises.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Son recours à une majorité de plans fixes qu’il recompose parfois d’un très léger mouvement de caméra ainsi que son image géométrique et poétique font de Kaul un auteur moderne, faussement contemplatif, dont le cinéma est acéré et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
La splendeur de ce cinéma y prend un tour insoupçonné : méandre mental et cage de reflets, l’image s’y confond avec l’inconsistance de l’être, traduisant l’incertitude fondamentale de sa présence terrestre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Nathalie Dray
[...] objets étranges et mystérieux, visuellement superbes mais peu aimables, tant ils encapsulent le spectateur dans un univers faisant fi de toute narration, étirant le temps avec une lenteur extrême confinant à l’hypnose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Hubert Niogret
Mani Kaul veut éliminer toute spectacularisation, toute complaisance émotionnelle, pour aboutir à une description d’atmosphères, grâce à une grande rigueur du découpage, qui lui permet d’aller à l’essentiel, grâce aussi à une pureté du langage héritée de Robert Bresson, qu’il n’a cessé de citer comme référence pour son propre travail.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Tiré d’une pièce de théâtre importante de l’après-guerre, le film reste trop éthéré, même si sa beauté plastique et poétique restitue les rapports tragiques entre l’art et la vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
La mise en scène, d’une grande élégance et d’une grande virtuosité, joue l’enfermement tout en échappant en permanence au théâtre filmé.
Cahiers du Cinéma
La sortie de quatre films inédits de Mani Kaul est un véritable événement, tant a été négligée ici l'oeuvre du plus audacieux auteur du Nouveau cinéma indien des années 60 - 70.
Culturopoing.com
Le sens du récit est ténu dans ce cinéma, dont les histoires racontées se résument au strict minimum ; l’art de Mani Kaul se caractérise par son abstraction, par un sens très particulier de la temporalité, faisant du figement, de l’immobilité une dialectique en soi, s’intéressant moins à la progression des récits (la stagnation se situe également à cet endroit-ci) qu’à la contemplation des visages, des regards fixant par leur manque patent d’émotions un monde face auquel ils ne peuvent rien, qui édicte ses règles absurdes contre lesquelles la résistance semble impossible.
L'Humanité
Mani Kaul filme avec grâce et poésie le désarroi des femmes du peuple incomprises.
L'Obs
Son recours à une majorité de plans fixes qu’il recompose parfois d’un très léger mouvement de caméra ainsi que son image géométrique et poétique font de Kaul un auteur moderne, faussement contemplatif, dont le cinéma est acéré et mélancolique.
Le Monde
La splendeur de ce cinéma y prend un tour insoupçonné : méandre mental et cage de reflets, l’image s’y confond avec l’inconsistance de l’être, traduisant l’incertitude fondamentale de sa présence terrestre.
Libération
[...] objets étranges et mystérieux, visuellement superbes mais peu aimables, tant ils encapsulent le spectateur dans un univers faisant fi de toute narration, étirant le temps avec une lenteur extrême confinant à l’hypnose.
Positif
Mani Kaul veut éliminer toute spectacularisation, toute complaisance émotionnelle, pour aboutir à une description d’atmosphères, grâce à une grande rigueur du découpage, qui lui permet d’aller à l’essentiel, grâce aussi à une pureté du langage héritée de Robert Bresson, qu’il n’a cessé de citer comme référence pour son propre travail.
Les Fiches du Cinéma
Tiré d’une pièce de théâtre importante de l’après-guerre, le film reste trop éthéré, même si sa beauté plastique et poétique restitue les rapports tragiques entre l’art et la vie.