Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Joker42
13 abonnés
173 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 30 octobre 2023
Quand on connaît la qualité de ce qui peut se faire par ailleurs en terme d'animation et que l'on paie 10 euros pour voir cela, on est en droit d'être profondément déçu et en colère. Peu importe le travail, peu importe les messages sûrement très positifs que le film veut faire passer, le résultat n'est pas du tout à la hauteur des attentes, et ceci à tous les niveaux : la qualité de l'animation n'est même pas digne de ce qu'il se faisait il y a 15 ans. L'humour est totalement absent ou tombe à plat, les animaux n'ont aucune expression et ne transmettent rien du tout au spectateur, les dialogues donnent l'impression d'avoir été écrit par des enfants et la musique est une contine permanente qui donne plus envie de dormir que de vivre ce qu'il se passe devant nos yeux. Enfin, l'animation est tellement pauvre techniquement parlant que tout est au ralenti (expressions, déplacements des animaux, dialogues, interactions etc.). Le temps passe et soit on regarde sa montre, soit on dors, soit on s'ennuie ou alors par chance on mange nos pop-corns pour faire passer le temps en essayant de comprendre comment une telle pauvreté cinématographique a pu être possible et parvenir jusqu'au grand public.
Youpiiiii... j'attendais ce dessin animé depuis des lustres & hier je l'ai enfin vu & bon sang que je n'ai pas été déçu... l'histoire de ce brave petit beluga m'a touché au cœur et je ne suis pas prêt de l'oublier... c'est beau c'est prenant mais c'est surtout porteur d'un beau message de préservation de la nature et ça, moi j'adore... en plus on retrouve au doublage Ginette Reno, Yves Jacques, Guylaine Tremblay, Marie Therese Fortin et j'en passe et c'est la cerise sur le sunday... longue vie à Katak et aux belugagas !
Jai bien aimé, de l'entraide, de l'amitié... Beaucoup de messages pour les générations futures. L'impacte de l'homme sur la nature. La survie de nos océans.
Laid et pas drôle. Surpris de voir ce film accessible dans de si nombreuses salles. Le fond de l histoire est bien sûr beau mais ce n est quand même pas suffisant. Dommage
Scénario brouillon. Histoire mal raconter. Dessin des animaux bâclés. Le doublage français une catastrophe. Rien de magique rien de féerique. L'aventure c'est surtout d'arriver à finir la scéance
Film d'animation canadien, coréalisé par Christine Dallaire-Dupont et Nicola Lemay, Katak, Le Brave Béluga est un long-métrage convenable. L'histoire nous fait suivre Katak, un jeune béluga vivant paisiblement dans les eaux du fleuve Saint-Laurent au Canada. Moqué par ses camarades à cause de sa couleur grise, il cherche du réconfort auprès de sa maman qu'il ne quitte pas, jusqu'au jour où il apprend que sa grand-mère mourante souhaiterai revoir son amour de jeunesse. C'est alors qu'il part en cachette à sa recherche tout au nord, vers la Grande Banquise. Ce scénario nous plonge pendant environ une heure et quart dans un récit initiatique particulièrement convenu et consensuel. En effet, celui-ci n'est pas très original et sans surprises, mais se laisse tout de même visionner sans déplaisir. On assiste pendant tout ce temps à un voyage rempli d'embûches pour ce courageux béluga qui va croiser la route de nombreuses autres espèces, certaines amicales, d'autres prédatrices. Le ton est globalement enfantin malgré quelques scènes montrant la cruauté du monde animal. Le métrage se veut donc plutôt destiné à un jeune public, les adultes auront plus de mal à y trouver un réel intérêt tant c'est cousu de fil blanc. De plus, tout cela manque de thématiques et de profondeur dans celles-ci, le film faisant passer un message écologique et de tolérance restant en surface. L'ensemble est porté par des personnages appréciables, aux bouilles adorables, entretenant des liens tendres et mignons mais manquant tout de même d'émotions en étant ni suffisamment amusant, ni suffisamment touchant. Certaines séquences procurent tout de même quelques sentiments mais on aurait aimé qu'ils soient plus poignants. Sur la forme, la réalisation du binôme s'avère bonne. Mais ce qui saute au yeux c'est bien la direction artistique tout simplement pas à la hauteur des standards actuels. Les environnements et les animaux manquent cruellement de textures et de détails. Même le fond de l'océan paraît vide. En dépit de ces carences, elle possède tout de même un certain charme et nous gratifie de quelques jolis plans colorés. Mais ça reste globalement bien trop insuffisant esthétiquement, pour ne pas dire indigne de son époque. Ce visuel en demi-teinte est accompagné par une bonne b.o. en accord avec les images, même si ses compositions n'ont que très peu d'impact sur elles et sont loin d'être mémorables. Ce périple maritime s'achève sur une fin attendue mais tout de même réussie venant mettre un terme à Katak, Le Brave Béluga, qui, en conclusion, est un film d'animation correct mais à réserver de préférence à des enfants.
A l’heure où tous les films sont un peu trop ceci ou cela, tout en manquant un peu de ceci ou cela, les films d’animation animaliers n’ont pas à se préoccuper de question de race, de genre ou d’orientation sexuelle au niveaux de leurs protagonistes principaux puisque l’enjeu de visibilité concerne simplement toutes les bestioles qui ne sont pas des chiens, des chats ou n’importe quel quadrupède-star devant lesquelles les foules se pâment dans les zoo…et il existe depuis longtemps un créneau pour les mal-aimés des imagiers animaliers. Ainsi, plutôt que de prendre un singe dans ‘Vivo’, il suffisait de prendre un kinkajou (quitte à le dessiner comme un singe)...et plutôt que de choisir un dauphin dans ‘Katak’, on privilégiera le béluga, ce qui est raccord puisqu’il ne doit pas y avoir beaucoup de dauphins au large des côtes québécoises. Katak, donc, va vivre l’aventure initiatique que vivent tous les animaux animés : il va vaincre ses complexes (il ne blanchit pas assez vite), apprivoiser ses peurs (un orque qui terrorise le coin) et renouer les liens familiaux distendus (il doit retrouver son grand-père parti vivre sous la banquise) : rien de bien original ni de bien méchant mais ‘Katak’ se cantonne à un seul et unique degré de lecture, celui des enfants. D’autre part, je me doute bien que cette production canadienne n’a pas la force de frappe d’un Pixar ou d’un Dreamworks et que l’embouchure du Saint-Laurent ne ressemble sans doute pas à la Grande Barrière de corail mais enfin, le fond de la mer où vit Katak est tellement vide et triste…
Que ça fait du bien de voir un film pour enfant sans bruit insupportable, doux, agréable à regarder, avec une histoire pleine de jolis messages. Les enfants 3 et 5 ans étaient ravis, et très calmes en sortant de la séance.
Très beau film pour toute la famille ! Les enfants (6 et 8 ans) ont adoré. Les adultes aussi car les images sont sublimes et il permet en prime d'aborder une immensité de sujets, du harcèlement au réchauffement climatique. Bref, un film à voir à tout âge.
C’est une petite histoire agréable à regarder en famille. Ils n’ont pas assez développé la relation entre Katak et la fille de Jack Knife (le méchant de l’histoire). C’est un peu dommage …
Visionnage lors d'une séance scolaire. Les avis des adultes étaient unanimes : scénario vide, ennuyeux, dialogues insipides, animation mal faite, d'ailleurs la plupart de mes collègues se sont endormis... mais bizarrement les enfants ont aimé. Alors comme le film était pour eux, on pourra dire que finalement c'est un bon film puisqu'il leur parle. Mais j'avoue que notre petite salle associative nous avait habitués à de la grande qualité les autres années, avec des lectures à plusieurs niveaux et que la déception était bel et bien au rendez-vous.
j’ai tout adoré de ce film, scénario très bon.. en plus de nous sensibiliser à la vie aquatique. Les décors représentant notre côte nord sont réaliste et beau