Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Tina Slatter a signé l’un des meilleurs films d’espionnage de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
En passant de la réalité à la fiction, l'effet de contraste et d'aberration est saisissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Tirée de l’authentique transcription de l’interrogatoire d’une lanceuse d’alerte, Reality est à la fois un fin portrait d’une jeune femme, un film politique et un huis clos policier éloigné des clichés habituels.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Derrière son thriller politique à combustion lente, "Reality" offre une plongée inconfortable dans l'horreur d'un pouvoir implacable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Marguerite Baux
Un film limpide et percutant.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette histoire vraie témoigne de la complexité des rapports entre le pouvoir, les renseignements et le grand public. Intéressant.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Tiré de l’authentique transcription des faits, ce film impressionne par sa forme simple tout en abordant une affaire d’État aux retombées essentielles pour la démocratie américaine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Au-delà du thriller, un incroyable et dérangeant exercice de style portée par une jeune comédienne en plein éclosion.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Plutôt connue pour ses rôles dans des séries à succès, Sydney Sweeney porte ici l’un de ses premiers rôles principaux au cinéma avec une authenticité louable. Un jeu tout en finesse qui réussit à retranscrire tout ce qu’une personne de notre époque vit, endure, subit ou agit, sur le plan physique, mental ou même politique.
Le Figaro
par E. S.
À partir de ce matériau où rien n'est inventé, mais où tout est stupéfiant, Tina Satter met en scène un condensé de l'Amérique post-11-Septembre. Sydney Sweeney joue tout en nuances Reality Winner, lanceuse d'alerte au profil paradoxal.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Diablement efficace.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Tina Satter signe une œuvre en partie fascinante, en équilibre permanent entre le film-concept et la charge politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Pas besoin de distordre la réalité pour la rendre placidement inquiétante. Le film la retranscrit de la manière la plus mimétique possible, sans nettoyer le dialogue des scories de la conversation originale, ces plaisanteries et répétitions avec lesquelles infléchir les nuances de malaise et amplifier l’impression d’une banalité qui se détraque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Anne Dastakian
Excellent et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thierry Chèze
Et tout cela est porté, par une Sydney Sweeney exceptionnelle dans le rôle de cette jeune femme à la normalité désarmante et sa manière de faire apparaître peu à peu ses ambiguïtés, ses zones d’ombre, sa complexité. Vous l’aviez aimée dans Euphoria et White Lotus, vous allez l’adorer dans Reality, avec enfin sur grand écran un rôle à la hauteur de son talent !
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Marie-Pierre Galinon
La tension est palpable et le suspense à fleur de peau tout au long de cet étonnant et très réussi premier film.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Le procédé fait de Reality un film d’enquête particulier, mais qui ne serait guère qu’un exercice de style sans cette caméra cernant au plus près une tension de plus en plus pesante entre les protagonistes, au rang desquels Sydney Sweeney tire magnifiquement son épingle du jeu, jonglant entre force de caractère et fragilité.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Camille Brun
Tiré de l'enregistrement de l'audition de Reality Winner, une lanceuse d'alerte, ce drame millimétré fait habilement monter le malaise chez le spectateur.
Voici
par La Rédaction
Un grand petit film.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Fascinant et stressant, porté par une actrice principale absolument formidable, Reality plonge le spectateur dans les troubles démocratiques des États-Unis mis à mal par l’administration Trump.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Si la manière et les intentions semblent limpides, Reality s’avère toutefois plus complexe. En même temps que la situation, il met en scène le processus de fabrication de documents d’État, au point que l’écran de cinéma se confond à l’occasion avec celui de l’ordinateur sur lequel est tapé le verbatim.
Critikat.com
par Valentin Denis
Le film, inégal, donne néanmoins l'occasion à Sydney Sweeney de déployer son jeu protéiforme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Ce qui distingue ce film d’un docudrama, c’est l’interprétation de Sydney Sweeney, présente dans chaque plan, ébouriffante ; et l’actualité de Trump sur le même sujet, et, du coup, l’invraisemblable paralysie de la justice américaine face à un ex-président clairement délinquant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Pauline Mallet
Un premier long-métrage remarquable.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un portrait traité sans empathie, mais implacable.
Le Parisien
par La Rédaction
Relevant de l’exercice de style, ce film a une fâcheuse tendance à insister lourdement sur le fait que tout ce qui y est dit est vrai. Reste le récit édifiant et inquiétant d’un interrogatoire à charge, et surtout la performance à contre-emploi de Sydney Sweeney, l’une des héroïnes de la série « Euphoria », dans le rôle de Reality.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
Tina Slatter a signé l’un des meilleurs films d’espionnage de ces dernières années.
CinemaTeaser
En passant de la réalité à la fiction, l'effet de contraste et d'aberration est saisissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Tirée de l’authentique transcription de l’interrogatoire d’une lanceuse d’alerte, Reality est à la fois un fin portrait d’une jeune femme, un film politique et un huis clos policier éloigné des clichés habituels.
Ecran Large
Derrière son thriller politique à combustion lente, "Reality" offre une plongée inconfortable dans l'horreur d'un pouvoir implacable.
Elle
Un film limpide et percutant.
Femme Actuelle
Cette histoire vraie témoigne de la complexité des rapports entre le pouvoir, les renseignements et le grand public. Intéressant.
La Croix
Tiré de l’authentique transcription des faits, ce film impressionne par sa forme simple tout en abordant une affaire d’État aux retombées essentielles pour la démocratie américaine.
La Voix du Nord
Au-delà du thriller, un incroyable et dérangeant exercice de style portée par une jeune comédienne en plein éclosion.
Le Dauphiné Libéré
Plutôt connue pour ses rôles dans des séries à succès, Sydney Sweeney porte ici l’un de ses premiers rôles principaux au cinéma avec une authenticité louable. Un jeu tout en finesse qui réussit à retranscrire tout ce qu’une personne de notre époque vit, endure, subit ou agit, sur le plan physique, mental ou même politique.
Le Figaro
À partir de ce matériau où rien n'est inventé, mais où tout est stupéfiant, Tina Satter met en scène un condensé de l'Amérique post-11-Septembre. Sydney Sweeney joue tout en nuances Reality Winner, lanceuse d'alerte au profil paradoxal.
Le Point
Diablement efficace.
Les Fiches du Cinéma
Tina Satter signe une œuvre en partie fascinante, en équilibre permanent entre le film-concept et la charge politique.
Libération
Pas besoin de distordre la réalité pour la rendre placidement inquiétante. Le film la retranscrit de la manière la plus mimétique possible, sans nettoyer le dialogue des scories de la conversation originale, ces plaisanteries et répétitions avec lesquelles infléchir les nuances de malaise et amplifier l’impression d’une banalité qui se détraque.
Marianne
Excellent et passionnant.
Première
Et tout cela est porté, par une Sydney Sweeney exceptionnelle dans le rôle de cette jeune femme à la normalité désarmante et sa manière de faire apparaître peu à peu ses ambiguïtés, ses zones d’ombre, sa complexité. Vous l’aviez aimée dans Euphoria et White Lotus, vous allez l’adorer dans Reality, avec enfin sur grand écran un rôle à la hauteur de son talent !
Public
La tension est palpable et le suspense à fleur de peau tout au long de cet étonnant et très réussi premier film.
Rolling Stone
Le procédé fait de Reality un film d’enquête particulier, mais qui ne serait guère qu’un exercice de style sans cette caméra cernant au plus près une tension de plus en plus pesante entre les protagonistes, au rang desquels Sydney Sweeney tire magnifiquement son épingle du jeu, jonglant entre force de caractère et fragilité.
Télé Loisirs
Tiré de l'enregistrement de l'audition de Reality Winner, une lanceuse d'alerte, ce drame millimétré fait habilement monter le malaise chez le spectateur.
Voici
Un grand petit film.
aVoir-aLire.com
Fascinant et stressant, porté par une actrice principale absolument formidable, Reality plonge le spectateur dans les troubles démocratiques des États-Unis mis à mal par l’administration Trump.
Cahiers du Cinéma
Si la manière et les intentions semblent limpides, Reality s’avère toutefois plus complexe. En même temps que la situation, il met en scène le processus de fabrication de documents d’État, au point que l’écran de cinéma se confond à l’occasion avec celui de l’ordinateur sur lequel est tapé le verbatim.
Critikat.com
Le film, inégal, donne néanmoins l'occasion à Sydney Sweeney de déployer son jeu protéiforme.
L'Obs
Ce qui distingue ce film d’un docudrama, c’est l’interprétation de Sydney Sweeney, présente dans chaque plan, ébouriffante ; et l’actualité de Trump sur le même sujet, et, du coup, l’invraisemblable paralysie de la justice américaine face à un ex-président clairement délinquant.
La Septième Obsession
Un premier long-métrage remarquable.
Le Journal du Dimanche
Un portrait traité sans empathie, mais implacable.
Le Parisien
Relevant de l’exercice de style, ce film a une fâcheuse tendance à insister lourdement sur le fait que tout ce qui y est dit est vrai. Reste le récit édifiant et inquiétant d’un interrogatoire à charge, et surtout la performance à contre-emploi de Sydney Sweeney, l’une des héroïnes de la série « Euphoria », dans le rôle de Reality.