Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Le documentaire qu’en tire Camille Ponsin est incroyable. Le réalisateur, tout en délicatesse, comme on recueille des larmes, image ces paroles – scènes de vie paisibles et arrivée des barbares – par des extraits de films dont beaucoup ont été tournés en 16 mm par Marie-José Tubiana elle-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Nécessaire, beau et tragique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le réalisateur Camille Ponsin filme Marie-José Tubiana, ethnologue, photographe et réalisatrice qui accueille et aide des réfugiés du Darfour. Un documentaire formidable.
Télérama
par Marie Cailletet
Alternant séquences dans son « bureau », fragments des films qu’elle avait tournés dans les années 1960 et archives insoutenables d’exactions, le film jette une lumière crue sur un génocide à bas bruit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Recueillir la parole des réfugiés du Darfour et leur donner accès à une vie chez nous. Voilà l’indispensable travail de Marie-José Tubiana.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Le film touche par son étrange sérénité : sa temporalité est celle du grand âge. Il restitue une conscience géographique et historique, précaire car individuelle, qui tente de contrer, si loin du Darfour, l’effacement de ces populations.
Le Figaro
par É.N.
À 90 ans, même si elle est à la retraite, l'ethnologue Marie-José Tubiana continue à défendre les réfugiés du Darfour. Le documentaire scrute à la loupe le quotidien d'une sacrée personnalité. Coups de téléphone, recueil de témoignages, elle n'arrête pas. On aimerait vieillir comme ça.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Certes austère et statique, le récit à vertu pédagogique enchaîne les témoignages poignants face caméra et dresse le portrait d’une femme qui émeut par sa sagesse et son humanisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Jamais mièvre et toujours vif.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Le documentaire qu’en tire Camille Ponsin est incroyable. Le réalisateur, tout en délicatesse, comme on recueille des larmes, image ces paroles – scènes de vie paisibles et arrivée des barbares – par des extraits de films dont beaucoup ont été tournés en 16 mm par Marie-José Tubiana elle-même.
Le Monde
A ne pas manquer.
Les Fiches du Cinéma
Nécessaire, beau et tragique.
Sud Ouest
Le réalisateur Camille Ponsin filme Marie-José Tubiana, ethnologue, photographe et réalisatrice qui accueille et aide des réfugiés du Darfour. Un documentaire formidable.
Télérama
Alternant séquences dans son « bureau », fragments des films qu’elle avait tournés dans les années 1960 et archives insoutenables d’exactions, le film jette une lumière crue sur un génocide à bas bruit.
Bande à part
Recueillir la parole des réfugiés du Darfour et leur donner accès à une vie chez nous. Voilà l’indispensable travail de Marie-José Tubiana.
Cahiers du Cinéma
Le film touche par son étrange sérénité : sa temporalité est celle du grand âge. Il restitue une conscience géographique et historique, précaire car individuelle, qui tente de contrer, si loin du Darfour, l’effacement de ces populations.
Le Figaro
À 90 ans, même si elle est à la retraite, l'ethnologue Marie-José Tubiana continue à défendre les réfugiés du Darfour. Le documentaire scrute à la loupe le quotidien d'une sacrée personnalité. Coups de téléphone, recueil de témoignages, elle n'arrête pas. On aimerait vieillir comme ça.
Le Journal du Dimanche
Certes austère et statique, le récit à vertu pédagogique enchaîne les témoignages poignants face caméra et dresse le portrait d’une femme qui émeut par sa sagesse et son humanisme.
Première
Jamais mièvre et toujours vif.