Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
La réussite du long-métrage tient à la grande intimité de son atmosphère, le film ne changeant de direction que pour les scènes montrant l’institut abandonné : à la clarté du jour très présente dans les entretiens succède alors une ambiance froide et anxiogène, comme si la caméra tentait de sonder les murs délabrés afin d’en faire ressurgir les fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sujet inédit à l’écran, ces Mauvaises filles trouvent entre les mains d’Emerance Dubas la meilleure des ambassadrices.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par S.J.
Un documentaire poignant.
L'Obs
par F.F.
Dans la lignée de « The Magdalene Sisters », un document impitoyable – et poignant – sur un système qui a prospéré à l’ombre de la religion, et qui bafouait la simple humanité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Pauline Mallet
Si la nécessité du cinéma a souvent été remise en question ces deux dernières années, [avec ce film], il n’y a pourtant nul doute que celui-ci permet de laisser une trace indélébile.
Le Figaro
par B.P.
Les pensionnaires, ce documentaire soigné d'Émérance Dubas le prouve, n'en sont pas toutes sorties indemnes. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Un film très fort, qui conte, grâce à des témoignages déchirants et des images poignantes, une époque où ces « mauvaises filles » n’étaient pas considérées comme grand-chose, et devaient lutter contre des traitements inhumains…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Comment filme-t-on l’horreur ? Mauvaises filles d’Émérance Dubas choisit le minimalisme éclairant d’un dispositif réduit. Une caméra flottante et omnisciente déambule dans une belle bâtisse déserte, effritée par le temps, poussière, gravas et papiers peints qui se décollent des murs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Plutôt que de les protéger, la société les a oubliées et n’a jamais rendu de compte. Heureusement, les femmes de ce documentaire, aujourd’hui des grands-mères, ont survécu et témoignent. Bouleversant.
Paris Match
par Yannick Vely
[...] extrêmement fort [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Merci à la cinéaste d’avoir libéré une parole aussi essentielle et de transmettre le récit d’une répression systémique dont ces femmes ont été victimes dans l’indifférence générale.
Transfuge
par Séverine Danflous
La force [du film] réside dans l’écoute, le temps accordé à ces femmes pour replonger dans ces lieux infamants où elles essaient de trouver la paix.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sans parti pris mais avec détermination, Émérance Dubas recueille le témoignage de celles qui, durant plusieurs décennies, ont subi en silence une violence étatisée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Mary Noelle Dana
En donnant la parole à d’anciennes « mauvaises filles », dont la plupart avaient surtout le « défaut » de ne pas rentrer dans le corset moral de leur époque, Émérance Dubas lève le voile sur la sombre réalité des maisons de correction, fermées au milieu des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Céline Rouden et Florence Pagneux
Dans un documentaire, Mauvaises filles, qui sort aujourd’hui en salles, Édith, Éveline, Michèle, Fabienne et Marie-Christine témoignent avec pudeur de ces années d’enfermement où, considérées comme « déviantes » (...). Le film, et c’est sa limite, évacue tout le contexte historique, qui aurait pu donner des clés de compréhension, pour se centrer uniquement sur les témoignages.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
La force des témoignages raconte en détail le sort réservé aux jeunes filles de l’après-guerre dont la vie n’était pas ordinaire et dit beaucoup des vertus de la désobéissance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Explorant la violence systémique longtemps exercée à l’encontre des “mauvaises filles” dans le cadre d’institutions religieuses françaises, ce documentaire, un peu trop sage formellement, offre toutefois des portraits poignants et libère une parole salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Face à ce récit de malheurs, ce qui frappe c’est la résistance dont les adolescentes, puis les femmes, ont fait preuve et comment elles ont réussi à tordre leur destin social pour vivre, malgré tout, leur vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Documentaire poignant sur des femmes qui témoignent de ce qu’elles vécurent adolescentes, dans les années 1960, en maison de correction.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Première
par Thierry Chèze
Emerance Dubas s’y révèle une confesseuse douée mais avec son film aurait gagné à se concentrer sur une seule histoire, sa courte durée de 71 minutes la poussant à en survoler certaines.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Ce documentaire de facture télévisuelle vaut pour ces témoignages courageux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
La réussite du long-métrage tient à la grande intimité de son atmosphère, le film ne changeant de direction que pour les scènes montrant l’institut abandonné : à la clarté du jour très présente dans les entretiens succède alors une ambiance froide et anxiogène, comme si la caméra tentait de sonder les murs délabrés afin d’en faire ressurgir les fantômes.
Franceinfo Culture
Sujet inédit à l’écran, ces Mauvaises filles trouvent entre les mains d’Emerance Dubas la meilleure des ambassadrices.
L'Humanité
Un documentaire poignant.
L'Obs
Dans la lignée de « The Magdalene Sisters », un document impitoyable – et poignant – sur un système qui a prospéré à l’ombre de la religion, et qui bafouait la simple humanité.
La Septième Obsession
Si la nécessité du cinéma a souvent été remise en question ces deux dernières années, [avec ce film], il n’y a pourtant nul doute que celui-ci permet de laisser une trace indélébile.
Le Figaro
Les pensionnaires, ce documentaire soigné d'Émérance Dubas le prouve, n'en sont pas toutes sorties indemnes. A voir.
Le Parisien
Un film très fort, qui conte, grâce à des témoignages déchirants et des images poignantes, une époque où ces « mauvaises filles » n’étaient pas considérées comme grand-chose, et devaient lutter contre des traitements inhumains…
Les Inrockuptibles
Comment filme-t-on l’horreur ? Mauvaises filles d’Émérance Dubas choisit le minimalisme éclairant d’un dispositif réduit. Une caméra flottante et omnisciente déambule dans une belle bâtisse déserte, effritée par le temps, poussière, gravas et papiers peints qui se décollent des murs.
Ouest France
Plutôt que de les protéger, la société les a oubliées et n’a jamais rendu de compte. Heureusement, les femmes de ce documentaire, aujourd’hui des grands-mères, ont survécu et témoignent. Bouleversant.
Paris Match
[...] extrêmement fort [...].
Positif
Merci à la cinéaste d’avoir libéré une parole aussi essentielle et de transmettre le récit d’une répression systémique dont ces femmes ont été victimes dans l’indifférence générale.
Transfuge
La force [du film] réside dans l’écoute, le temps accordé à ces femmes pour replonger dans ces lieux infamants où elles essaient de trouver la paix.
aVoir-aLire.com
Sans parti pris mais avec détermination, Émérance Dubas recueille le témoignage de celles qui, durant plusieurs décennies, ont subi en silence une violence étatisée.
Bande à part
En donnant la parole à d’anciennes « mauvaises filles », dont la plupart avaient surtout le « défaut » de ne pas rentrer dans le corset moral de leur époque, Émérance Dubas lève le voile sur la sombre réalité des maisons de correction, fermées au milieu des années 1970.
La Croix
Dans un documentaire, Mauvaises filles, qui sort aujourd’hui en salles, Édith, Éveline, Michèle, Fabienne et Marie-Christine témoignent avec pudeur de ces années d’enfermement où, considérées comme « déviantes » (...). Le film, et c’est sa limite, évacue tout le contexte historique, qui aurait pu donner des clés de compréhension, pour se centrer uniquement sur les témoignages.
Le Monde
La force des témoignages raconte en détail le sort réservé aux jeunes filles de l’après-guerre dont la vie n’était pas ordinaire et dit beaucoup des vertus de la désobéissance.
Les Fiches du Cinéma
Explorant la violence systémique longtemps exercée à l’encontre des “mauvaises filles” dans le cadre d’institutions religieuses françaises, ce documentaire, un peu trop sage formellement, offre toutefois des portraits poignants et libère une parole salutaire.
Libération
Face à ce récit de malheurs, ce qui frappe c’est la résistance dont les adolescentes, puis les femmes, ont fait preuve et comment elles ont réussi à tordre leur destin social pour vivre, malgré tout, leur vie.
Sud Ouest
Documentaire poignant sur des femmes qui témoignent de ce qu’elles vécurent adolescentes, dans les années 1960, en maison de correction.
Première
Emerance Dubas s’y révèle une confesseuse douée mais avec son film aurait gagné à se concentrer sur une seule histoire, sa courte durée de 71 minutes la poussant à en survoler certaines.
Télérama
Ce documentaire de facture télévisuelle vaut pour ces témoignages courageux.