Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
[...] un film brillant qui se veut autant une démonstration sur la crise économique qui pèse sur les classes ouvrières d’Iran qu’une réflexion hautement esthétique sur le cinéma. Un chef d’œuvre du cinéma iranien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
A partir d’un récit en boucles (la même scène de l’annonce aux employés introduit de nouveaux chapitres), l’auteur de « The Wastetown » théâtralise ce drame social avec un sens du cinéma subjuguant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Un mois après la sortie de "The Wastetown", Ahmad Bahrami métaphorise, avec précision et courage, la condition ouvrière en Iran. Le résultat ? Une nouvelle tragédie intemporelle, dont l'exigence formelle est aussi palpable que le désespoir qui l'habite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Qu’il filme une usine au bord de l’arrêt ou une casse automobile, Ahmad Bahrami semble fasciné par le déchet, vu non pas dans sa nature a priori inerte, mais comme un espace-temps à part entière, un état léthargique où corps, carcasses et murs s’acheminent aussi tranquillement que tragiquement vers la fin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
La sophistication imparable du récit l’emporte sur le maniérisme systématique, tout de travellings coulants, glissants, englobants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pascale Vergereau
Remarquable.
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
[...] au récit en forme de boucle, le spectateur, invité par l’entremise d’un personnage (Ali Bagheri) à la table du patron, peut tout savoir et tout prévoir, si bien que les petites intrigues qui naissent entre les ouvriers semblent jouées d’avance.
Première
par Estelle Aubin
Se joue-là, mieux qu’ailleurs, le drame du capitalisme : le dénuement et le délitement de la communauté. C’est à la fois émacié et magistral.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Comme dans "The Wastetown", l’Iranien Ahmad Bahrami travaille la répétition et l’étire à tel point qu’elle lui permet d’induire la surprise. Jusqu’à une scène finale qui, là encore, éclaire le reste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sur le plan proprement narratif, c’est la fermeture de l’entreprise qui donne lieu à ce qu’on ne nommera qu’à reculons une intrigue, tant politique que sentimentale, mêlant intérêts bien compris des puissants et désespoir des humbles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
[...] un film brillant qui se veut autant une démonstration sur la crise économique qui pèse sur les classes ouvrières d’Iran qu’une réflexion hautement esthétique sur le cinéma. Un chef d’œuvre du cinéma iranien.
L'Obs
A partir d’un récit en boucles (la même scène de l’annonce aux employés introduit de nouveaux chapitres), l’auteur de « The Wastetown » théâtralise ce drame social avec un sens du cinéma subjuguant.
Les Fiches du Cinéma
Un mois après la sortie de "The Wastetown", Ahmad Bahrami métaphorise, avec précision et courage, la condition ouvrière en Iran. Le résultat ? Une nouvelle tragédie intemporelle, dont l'exigence formelle est aussi palpable que le désespoir qui l'habite.
Les Inrockuptibles
Qu’il filme une usine au bord de l’arrêt ou une casse automobile, Ahmad Bahrami semble fasciné par le déchet, vu non pas dans sa nature a priori inerte, mais comme un espace-temps à part entière, un état léthargique où corps, carcasses et murs s’acheminent aussi tranquillement que tragiquement vers la fin.
Libération
La sophistication imparable du récit l’emporte sur le maniérisme systématique, tout de travellings coulants, glissants, englobants.
Ouest France
Remarquable.
Cahiers du Cinéma
[...] au récit en forme de boucle, le spectateur, invité par l’entremise d’un personnage (Ali Bagheri) à la table du patron, peut tout savoir et tout prévoir, si bien que les petites intrigues qui naissent entre les ouvriers semblent jouées d’avance.
Première
Se joue-là, mieux qu’ailleurs, le drame du capitalisme : le dénuement et le délitement de la communauté. C’est à la fois émacié et magistral.
Télérama
Comme dans "The Wastetown", l’Iranien Ahmad Bahrami travaille la répétition et l’étire à tel point qu’elle lui permet d’induire la surprise. Jusqu’à une scène finale qui, là encore, éclaire le reste.
Le Monde
Sur le plan proprement narratif, c’est la fermeture de l’entreprise qui donne lieu à ce qu’on ne nommera qu’à reculons une intrigue, tant politique que sentimentale, mêlant intérêts bien compris des puissants et désespoir des humbles.