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Votre avis sur Winnie-The-Pooh: Blood And Honey ?
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Adapter les films de notre enfance en film d’horreur pourquoi pas mais en faire une daube pareille…
Le scénario a ni queue ni tête. Tuer par frustration. Meurtre sans intérêt et gratuit ! Les costumes en plastique sont d’un ridicule. Quel dommage, le film aurait pu être prometteur….
Le scénario a ni queue ni tête. Tuer par frustration. Meurtre sans intérêt et gratuit ! Les costumes en plastique sont d’un ridicule. Quel dommage, le film aurait pu être prometteur….
Jorik V
Alors franchement, ce film d’horreur gore détient la palme du postulat le plus improbable, pour ne pas dire ridicule, de l’année. Mais, au final, pourquoi pas et il faut avouer que la curiosité prend le dessus pour tout amateur de film d’horreur. On vous laisse en juger : Winnie l’Ourson et Porcinet seraient devenus complètement fous et psychopathes après que leur ami humain Jean-Christophe les abandonne dans la forêt. Sans nourriture, ils auraient dévoré leur amis (donc Tigrou ou encore Coco Lapin) et ne supporteraient plus les hommes. Devenus des ermites misanthropes ayant fait le vœu de ne plus dire un mot, ils seraient devenus cannibales et psychopathes. Alors quand une bande de jeunes bimbos viennent se ressourcer dans un chalet près de leur habitat, elles vont en faire les frais. Un slasher complètement perché donc, propice à des délires bis ou, pourquoi pas, une bonne surprise au premier degré emplie de terreur. Malheureusement, « Winnie l’ourson : du sang et du miel » ne va jamais dans l’une ou l’autre des directions, laissant continuellement l’impression d’avoir la pellicule entre deux bobines. Et c’est d’autant plus dommage qu’après un prologue animé nous mettant dans le bain en nous faisant avaler cette idée de départ totalement farfelue, les premières séquences sont plutôt réussies : ambiance anxiogène, aspect et univers visuel soigné qui a de la gueule, musique grandiloquente du meilleur effet, ... Bref, ce slasher pour le moins original démarre, étonnamment sous les meilleurs auspices.
Pourtant, sur la durée, la blague ne fonctionne qu’à moitié, voire pas du tout. La faute, comme on l’a esquissé plus haut, à un traitement bancal qui n’ose jamais aller vers la série B crasse, extrême et malpolie à la « The Sadness » ou « Massacre à la tronçonneuse » mais qui ne va pas non plus dans le second degré total et la gaudriole bis ou Z comme les films Trauma de l’époque. On navigue toujours entre deux eaux, ce qui a donc pour effet qu’on n’a jamais vraiment peur et qu’on ne rit pas pour autant non plus. Mais le gros problème de « Winnie l’ourson, du sang et du miel » est sans conteste le mauvais jeu des actrices qui jouent les bimbos victimes. Sans aucune personnalité, bêtes et superficielles, leurs personnages ne sont que de la chair à détruire pour Winnie et Porcinet. A la limite, soit... Mais leur acting est tellement mauvais dans des situations censées être flippantes que cela nous déconnecte de toute tension. Dommage, car certains meurtres ont vraiment de la gueule et le design des boogeyman dégénérés que sont Winnie et Porcinet, entre humains et animaux en mode horreur, est plutôt pertinent. Alors le film est court, ça peut être amusant une soirée entre potes un samedi soir, mais le potentiel n’est clairement pas exploité et la tonalité de l’ensemble bien trop hésitante. En revanche, Rhys Waterfield est très doué derrière la caméra et il ne serait guère étonnant qu’il soit récupéré par Hollywood sous peu.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Pourtant, sur la durée, la blague ne fonctionne qu’à moitié, voire pas du tout. La faute, comme on l’a esquissé plus haut, à un traitement bancal qui n’ose jamais aller vers la série B crasse, extrême et malpolie à la « The Sadness » ou « Massacre à la tronçonneuse » mais qui ne va pas non plus dans le second degré total et la gaudriole bis ou Z comme les films Trauma de l’époque. On navigue toujours entre deux eaux, ce qui a donc pour effet qu’on n’a jamais vraiment peur et qu’on ne rit pas pour autant non plus. Mais le gros problème de « Winnie l’ourson, du sang et du miel » est sans conteste le mauvais jeu des actrices qui jouent les bimbos victimes. Sans aucune personnalité, bêtes et superficielles, leurs personnages ne sont que de la chair à détruire pour Winnie et Porcinet. A la limite, soit... Mais leur acting est tellement mauvais dans des situations censées être flippantes que cela nous déconnecte de toute tension. Dommage, car certains meurtres ont vraiment de la gueule et le design des boogeyman dégénérés que sont Winnie et Porcinet, entre humains et animaux en mode horreur, est plutôt pertinent. Alors le film est court, ça peut être amusant une soirée entre potes un samedi soir, mais le potentiel n’est clairement pas exploité et la tonalité de l’ensemble bien trop hésitante. En revanche, Rhys Waterfield est très doué derrière la caméra et il ne serait guère étonnant qu’il soit récupéré par Hollywood sous peu.
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Yannickcinéphile
Je suis quand même très étonné de la mauvaise note abyssale de ce Winnie l’ourson version horrifique. Pendant que des merdasses Blumhouse arrive à obtenir des scores meilleurs alors que c’est dix fois pires. Ok, la mise en scène est minimaliste, les costumes des créatures sont vraiment foireux, il y a eu 0 effort de fait sur les masques, les décors c’est un coin de forêt et une vague décharge, mais sincèrement, qu’est-ce qu’on en a à faire concrètement ? Winnie the Pooh est un slasher dans la plus pure tradition du genre, ce qui implique un film aussi simple qu’efficace pour divertir. S’il y a plus tant mieux, ce n’est pas le cas ici cependant, s’il y a moins que ça, c’est la cata, mais ce n’est pas le cas de Winnie the Pooh qui s’avère un film généreux et rythmé. L’intro est un peu longue et lente, mais une fois passée, on rentre très vite dans le vif du sujet, et le film concentre tout ce qui fait un slasher efficace. Les meurtres sont nombreux et bien sanglants, parfois rigolos mais toujours gores, les victimes, que des filles sexy, sont exploitées avant tout pour ce potentiel (dès le premier meurtre du groupe !), mais en dépit du côté hyper caricatural des personnages et du jeu parfois approximatif des interprètes, elles ne sont pas inactives et même sans créer quelques surprises, si bien qu’il est difficile de savoir qui va survivre ou pas. On notera d’ailleurs que le film se veut vraiment radical, avec des tueurs impitoyables et quelques petites surprises dans la deuxième partie que l’on voit plus trop dans le cinéma d’horreur mainstream. Par ailleurs, si visuellement le film est perfectible, il y a quand même un côté craspec dans l’image, les décors qui contribue à donner une certaine ambiance, et autre bon point, même si le film est essentiellement nocturne, on voit clair ! Le métrage est par ailleurs court, 1 heure 20, ce qui lui confère un vrai rythme. Ca enchaine, et même si l’intrigue se résume à une course poursuite, c’est ce qu’on attend d’un slasher. Pas de blabla inutile.
Très honnêtement, je ne pige pas la critique négative. Oui ça vole pas haut, oui ça ne révolutionne rien, oui il n’y a que Winnie et Porcinet, oui c’est de l’opportunisme et ça se sent, mais en retour, les meurtres sont nombreux, sanglants, le film est méchant, le rythme efficace, la touche sexy des slashers est bien présente, on a ce qu’on recherche dans ce type de prod. 3.5
Très honnêtement, je ne pige pas la critique négative. Oui ça vole pas haut, oui ça ne révolutionne rien, oui il n’y a que Winnie et Porcinet, oui c’est de l’opportunisme et ça se sent, mais en retour, les meurtres sont nombreux, sanglants, le film est méchant, le rythme efficace, la touche sexy des slashers est bien présente, on a ce qu’on recherche dans ce type de prod. 3.5
Dik ap Prale
Ce petit producteur indé britannique n'a pas tardé à adapter le Winnie de notre enfance, tombé dans le domaine public depuis peu et on le comprend. C'est ainsi qu'il a fait le buzz et c'est fait connaître, malgré tous ses défauts de fabrication et c'est forcément ce même empressement qui l'a trahi. Tout est d'une incroyable faiblesse, comme si le film s'écrivait devant nos yeux avec heureusement pour eux du sang et des accessoires pour faire passer la pillule. C'est dommage car j'y croyais fort et puisqu'il n'y a aucun intérêt à une suite, on reste rêveur face à la suite qui arrive pourtant, avec déjà un restyling des masques et c'est le moins qu'on puisse faire pour pénétrer cet univers. Espérons qu'ils ne mettent pas huit épisodes à nous pondre un bon film.
Ce film n'est pas totalement nul mais ce n'est pas un chef d'oeuvre. L'idée était intéressante mais le scénario n'est pas bien construit, ennuyeux par moment.
Il y a des moments tristes, effrayants et comiques.
Ce film pourrait être rangé dans la catégorie horreur/drame/comique.
Les costumes malheureusement ne sont pas très crédibles et mal fait. On voit que c'est un film à petit budget.
En tout cas on pourra dire que ce film à bien ruiner l'image du gentil Winnie l'Ourson.
spoiler: Une chose que je n'ai pas trouvé crédible dans le scénario est que Winnie et Porcinet ont mangé Bourriquet car sinon ils mouraient de faim pourtant quand on regarde le film en entier on se rend compte que Winnie à l'air invincible comme immortel.
Il y a des moments tristes, effrayants et comiques.
Ce film pourrait être rangé dans la catégorie horreur/drame/comique.
Les costumes malheureusement ne sont pas très crédibles et mal fait. On voit que c'est un film à petit budget.
En tout cas on pourra dire que ce film à bien ruiner l'image du gentil Winnie l'Ourson.
spoiler: Une chose que je n'ai pas trouvé crédible dans le scénario est que Winnie et Porcinet ont mangé Bourriquet car sinon ils mouraient de faim pourtant quand on regarde le film en entier on se rend compte que Winnie à l'air invincible comme immortel.
Si on pouvait être intrigué par la proposition, "Winnie-The-Pooh: Blood And Honey" a très vite fait comprendre que l'on ne devait rien attendre de lui. Au vu du studio de production et des personnes qui étaient en charge du projet, il était compliqué de voir une réelle lueur d'espoir à propos de ce long-métrage. Et finalement, le résultat est même pire que ce que je pensais. C'est une véritable catastrophe, de A à Z ! Je ne sais même pas qu'elle était l'intérêt de réaliser ce film au vu de son rendu. Dès les premières minutes, on sent que l'on est dans un film à petit budget, et le long-métrage ne va jamais chercher à compenser ce problème. Bien au contraire, il va sombrer dans les clichés les plus faciles de ce genre de production. Et quand je parle de cela, je n'ai même pas envie de blâmer le casting au final. Ils sont clairement mauvais, mais vu ce que l'on a demandé de faire, il était compliqué de proposer mieux. Pour être clair, le film n'a aucune histoire et aucun développement, et je ne rigole absolument pas. On connaît tous des films avec de mauvais scénarios, mais même ceux-ci essayent de proposer une histoire, ce qui n'est pas le cas au sein de ce projet. Nos personnages sont introduits en une seule scène, nous n'aurons aucun autre moment pour nous attacher à elles. Dès les scènes suivantes, le film attaque avec son envie de proposer du gore à outrance, au point que cela en devienne gênant. Je veux bien que le gore puisse être intéressant s'il est bien utilisé, mais on a juste la sensation que tout est très gratuit au sein de ce film. Rien ne semble cohérent, et les effets de sang, ainsi que les prothèses pour donner vie à cela ne marche jamais, on ressent très bien qu'il n'y a pas d'argent. Ces séquences essayent vaguement d'être liées entre elles par l'intermédiaire d'une espèce de thématique sur la mort de l'enfance, etc... Mais comme pour tout, on sent plus que cela a été écrit comme un prétexte pour faire du gore. Que ce soit les acteurs, l'écriture, l'ambiance ou la production, rien ne fonctionne. On a tenté de récupérer une licence connue pour en faire un produit violent pour rien. Encore un film complètement bâclé, qui n'est là que pour vous arnaquer. Pour conclure, une honte.
dès le début avec la scène du locuteur qui relatait l'enfance de Jean-Christophe, je trouvais l'histoire "Tiré par les cheveux", j'ai quand même continuer et c'est catastrophique, l'histoire est mauvaise, les acteurs sont très mauvais, et la fin est surtout super merdique! de nos jours vous voulez tout simplement massacrée des bonnes dessins animée, c'est comme pour le fim Arthur, malédiction 2022! accepter que vous êtes a cours d'histoire! arrêter de projeter des connerie insensé!
A quand le 2 ? Un chef d'oeuvre avec des des costumes fantastiques AU BAS MOTS ! Je pourrais être indulgent mais là rien franchement y a rien à dire sur le film... Il est juste nul ...
Winnie L'ourson, dessin animé classique et réussi s'est vu manqué de respect à travers cette tentative de reprise inutile et médiocre.
Le scénario est en carton, les "slashers" sont les personnages du dessin animé : Porcinet, Winnie, Tigrou... Ils sont interprétés par un humain portant un vulgaire masque.
Bref , film à fuire, une suite a été annoncée, ce sera sans doute une des pires sagas d'horreur de l'histoire.
Le scénario est en carton, les "slashers" sont les personnages du dessin animé : Porcinet, Winnie, Tigrou... Ils sont interprétés par un humain portant un vulgaire masque.
Bref , film à fuire, une suite a été annoncée, ce sera sans doute une des pires sagas d'horreur de l'histoire.
Nicothrash
J'adore l'idée ! On aurait pu s'attendre à un bon petit délire bien irrévérencieux, malheureusement après l'entrée en matière étonnante, on tombe dans le navet très rapidement. C'est mal joué et mal écrit et les personnages sont bêtes au possible. On se retrouve finalement face à un vulgaire slasher qui n'amuse même pas et comme il y en a des centaines. Winnie et Porcinet servent simplement d'alibi à une vilaine boucherie, car c'est tout ce qu'il nous reste, un peu de gore, même les masques et maquillages sont navrants. Un raté donc qui n'a que bien peu d'intérêt et aucune fin mais qui a dû suffisamment fonctionner puisque la suite est déjà prévue.
Artriste
Film d'horreur, écrit et réalisé par Rhys Frake-Weterfield, Winnie-The-Pooh : Blood And Honey est un très mauvais long-métrage. L'histoire nous conte la rencontre entre Jean-Christophe, un jeune garçon, et un groupe d'animaux anthropomorphes comprenant Maître Hibou, Coco Lapi, Bourriquet, Porcinet et Winnie L'Ourson, dans la Forêt des rêves bleus, qui s'étaient liés d'amitiés. Seulement, le jeune homme est allé à l'université pour devenir médecin et à cessé de leurs rendre visites. Suite à cet abandon, la bande a alors développée une haine viscérale envers les êtres humains, en particulier envers leur ancien ami. Cinq ans plus tard, leurs retrouvailles va donner lieu à un véritable massacre. Ce scénario, détournant une figure emblématique de la firme aux grandes oreilles, s'avère hélas être particulièrement médiocre et peu plaisant à visionner pendant toute sa durée d'un peu moins d'une heure et demie. L'intrigue est très pauvre et ne fait que reprendre les codes du genre sans apporter un brin d'originalité. Cela est franchement dommage car il aurait été possible de faire quelque chose de bien plus atypique avec un tel matériaux de base. Mais ici, on assiste à un vulgaire récit sans profondeur et proche du nanar. Les scènes s'éternisent et les seuls moments nous sortant de notre torpeur sont les mises à mort violentes. L'ambiance horrifique fait dans le cliché et l'on fini par rire du film, non pas car il est drôle, mais à ses dépends. Cette mascarade est portée par des personnages inintéressants au possible, pour lesquels on a absolument aucune attache. Résultat, on se moque bien de leurs sorts tant ils sont creux. Mais surtout, ils sont très mal interprétés par une distribution sans charisme, ne méritant même pas d'être citée. Avec de tels rôles, difficile de procurer de l'empathie et de l'émotion. D'autant plus que les dialogues sortant de leurs bouches sont absolument pitoyables et risibles. Si le fond est raté, la forme ne réhausse malheureusement pas le niveau. En effet, la réalisation du pseudo cinéaste anglais ne convainc pas. Sa mise en scène est un foireux mélange entre copie du genre et non assimilation de la grammaire cinématographique. Même les transitions sont bâclées. Cependant, point positif, sa caméra évolue dans un environnement boisé appréciable. Mais le plus ridicule provient des masques des animaux tueurs tout simplement absurdes, ne permettant à aucun moment de croire à cette bouffonnerie. Leur aspect est tout simplement pathétique. De plus, sur les cinq promis, seuls deux sont mis en avant. Ce visuel grotesque et mal éclairé est accompagné par une b.o. aux notes dans le ton et plutôt correctes, même si elles sont très loin d'être mémorables. Ce conte cauchemardesque s'achève sur une fin sans idée et carrément inachevée, venant mettre un terme à Winnie-The-Pooh : Blood And Honey, qui, en conclusion, est un film de très mauvaise qualité ne méritant absolument pas qu'on s'attarde dessus tant il n'y a presque rien à sauver.
"Winnie-The-Pooh: Blood And Honey" est un film que j'ai moyennement apprécié. L'idée de faire un long-métrage horrifique sur Winnie l'ourson est assez intéressante mais ça reste que ça de positif. Après la mise en scène pouvait être mieux faite mais certaines choses sont bien trouvé. Les acteurs ne sont pas énormément convaincants, certaines scènes ne sont pas très bien compréhensibles et j'ai l'impression qu'ils n'ont pas réussi à tourner la fin du film.
Frédéric M.
Je trouvais l'idée original et amusante. Certes c'est gore, mais très mal joué et très mal réalisé. C'est vraiment dommage. Heureusement que le film n'est pas long.
Je met 1,5 seulement pour les meurtres qui sont plutôt bien faits et gores mais pour le reste c'est une catastrophe il n'y a rien à sauver , les dialogues sont sans queue ni tête, les réactions des victimes je vous en parle même pas et la tension est totalement absente.Donc fuyez pour ne pas perdre votre temps! 1,5/5.
Fêtons le cinéma
Déconcertant de nullité, Winnie the Pooh: Blood and Honey n’a aucune révision à apporter au conte pour enfants sinon celui de changer les animaux mignons en rednecks assoiffés de sang. L’ouverture choisissait pourtant la forme de l’animation, promettant une relecture horrifique faite d’emprunts et de clins d’œil ; rien de tel pourtant, et l’ensemble tombe dans le téléfilm médiocre où des fantoches, qui ne cessent de répéter leur prénom par peur que le spectateur ne l’oublie, disparaissent dans la forêt, attaqués par des hommes masqués qui les pourchassent à pied ou en voiture (!). L’horreur ne dispose d’aucune maîtrise ni vision singulière, s’abaissant au niveau de la dégueulasserie facile qui n’atteint jamais les effusions sublimes du cinéma gore.
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