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Lydia Zemm
1 critique
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0,5
Publiée le 15 octobre 2022
Première fois de ma vie ou nous étions pressés que le film se termine! Nul nul et nul ! Déçu 😏 aucune action mise à part peut être 2/3 scènes de 10 secondes avec du suspence ou de « la peur »
Je n’ai absolument pas accroché avec ce film. Je suis restée uniquement parce que j’espérais qu’il allait y avoir une amélioration mais malheureusement il y en a pas eu. Un film sans aucune originalité et surtout sans histoire. C’était une succession d’imagés mais sans rien derrière. Je regrette de l’avoir regardé.
Que ce fut long.. aucun rythme, scénario vu et revue. Comme d'habitude dans ce genre de film, concours des adolescents pour crier le plus fort quand une scène supposée faire peur arrive..
Idée sympathique mais histoire nul, seul les screamer sont un peu effrayant, les effets spéciaux sont nul, tres peu réaliste et la forme final du monstre /esprit ressemble juste a une grande grand mere moche, nul a ne pas regarder, la fin essaie de nous surprendre mais est très prévisible.
L’idée semblait certes un peu mince mais nous apparaissait relativement intéressante. En l’occurrence, faire un film basé sur un sourire maléfique et effrayant et ainsi développer une intrigue à partir de ce gimmick. Cela aurait pu être hasardeux et vain mais on a bien eu droit à un film de genre basé sur un jeu d’ado de cour de récré (« Action ou vérité ») et un autre sur une plateforme destinée à appeler les morts (« Ouija »). Certes, tous deux étaient des navets mais on n’était pas à l’abri d’une bonne surprise avec ce « Smile » et le marketing comme la bande-annonce donnaient envie d’y croire. Malheureusement, si le résultat n’est pas complètement à mettre à la poubelle comme les deux torchons cités juste avant, il n’y pas grand-chose de positif ni de mémorable à se mettre sous les dents, aussi voyantes soient-elles de par ce sourire qui donne son titre au film.
Au programme de ce « Smile », on aura donc une ouverture plutôt sympathique et anxiogène à base de suicide plutôt hard et extrême, constituant l’une des meilleures séquences du film mais peu surprenante puisque vendue à grand renfort de publicité. Une autre en milieu de bobine qui fait son petit effet (la séquence avec la psy) et un court final très réussi et qui fait vraiment peur (ce que tout le reste du film ne parvient pas vraiment, à moins d’être sensible ou de n’avoir jamais vu un film d’horreur de sa vie). D’ailleurs, hormis cette dernière séquence vraiment impressionnante et terrifiante qui a en plus le bon goût de ne pas terminer le film avec un happy end, on est plutôt face à un film fantastique vaguement horrifique qu’à un véritable film d’horreur ou film gore qui fout les pétoches. Quant à l’abus de jump scares inutiles et ridicules, mieux vaut en rire tellement cela devient lassant, prévisible et ridicule...
« Smile » peut compter sur l’investissement de son actrice principale, Sosie Bacon, très convaincante, mais alors pour le reste... Les seconds rôles jouent comme des endives et Jessie Usher (le A-Train de la série « The Boys ») en est le parfait exemple. En revanche, les images d metteur en scène novice Parker Finn sont soignées et ces cadrages à l’envers tout comme ses plans très épurés sont plutôt de bon goût. Si ce n’est ces quelques qualités, pas grand-chose à signaler pour ce produit de série, balisé jusque dans son déroulement programmatique à base de malédiction et d’enquête pour en venir à bout. Et que c’est long! Deux heures pour un film d’horreur comme celui-là (qui n’est pas « Hérédité » ou « The Empty Man ») c’est beaucoup trop. On s’ennuie pas mal en milieu de bobine faute d’avoir quelque chose de nouveau ou d’effrayant à se mettre sous la dent. Bref, revoyez plutôt le récent « Barbarian » qui, lui, propose quelque chose d’inédit et de véritablement stimulant.
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"Smile", sa bande annonce, son affiche et son synopsis m'ont fortement alléché. Les premières minutes sont d'ailleurs plutôt prometteuses. C'est bien joué, bien réalisé et le concept parait a priori fort. Pourtant, "Smile" montre assez vite ses limites. L'idée de base rappelle fortement celle du "It follows" de David Robert Mitchell mais avec un traitement bien moins subtile et intelligent. Les mécaniques horrifiques sont aussi bien moins efficaces. L'ambiance s'est rapidement mis en place mais s'est détérioré petit à petit à force de clichés et de ressorts usés jusqu'à la moelle. J'en retiendrai tout de même de bons effets spéciaux et quelques passages joliment trashouilles. Le résultat n'est malheureusement pas à la hauteur de mes attentes mais reste honorable et surtout bien au dessus de la plupart des autres productions de ce genre.
Sourire ? Quelques images, une scène probante et nous voilà embarqué : une bande-son et musicale atypique et stridente comme une craie crissant sur un tableau noir, un réalisateur qui pousse ses images jusqu'au bout de leur logique et se fait plaisir, un sujet qui nous laisse avec plein de questionnements à l'esprit. Le cinéma horrifique ne parle pas assez de psychiatrie. Une simple apparition souriante ? La force de frappe de Smile, ainsi que son succès amplement mérité, est de ne pas innover pour innover, créer un concept pour jouer avec, seulement en surface. Et grâce à cela le film n'a pas son pareil pour distiller l'angoisse et transformer le quotidien de notre héroïne en cauchemar tangible. Et il bénéficie de son style particulier et de son atmosphère propre, d'un bel équilibre scénaristique également. Smile est une oeuvre prenante qui génère une toute nouvelle mythologie, loin du slasher à base de croque-mitaine miteux, loin de cette vulgaire mode du film de démons aux scénarios passés à la photocopieuse, le film insère une mécanique nouvelle, bénéficiant tout autant du prodigieux travail de sa comédienne principale. Même si on retombe forcément sur nos pieds à de multiples reprises (les dessins, le chat disparu, la malédiction qui se transmet, l'enquête...), le film marque un point essentiel : il se refuse à toutes explications trop poussives, reste évasif et laisse le spectateur s'approprier son concept. Il se trouve ainsi une véritable raison d'être, un valeur psychologique vitale : car selon moi, le véritable méchant du film n'est autre que le traumatisme en lui-même ; tous les traumatismes. bonne surprise de l année !
Ces apparitions souriantes sont terrifiantes, le réalisateur parvient à mettre en place une ambiance anxiogène et Sosie Bacon est formidable, retranscrivant à merveille cette lente descente aux enfers... Dommage que le film cède à la facilité du jump scare par moments.
"Smile", une bonne surprise de cette fin d'année, qui fera passer l'envie de sourire. Une histoire angoissante à souhait, drame traumatique et horrifique bien mené. A l'image de "The ring", le final appelle une suite. Outre la maladresse classique du rejet systématique de l'entourage le plus proche, voilà un réalisateur à suivre.
Trop classique dans la forme et trop previsible dans le dénouement, Smile se veut à contrario bien réaliser et efficace dans les scènes de "jumping scare".
J ai vu Smile comme un croisement entre It Follows et destination finale, mais en moins bien. Smile a pour lui une scène d’introduction ultra efficace peut être même trop car le film ne retrouvera par la suite jamais la même puissance. J ai apprécié le fait que la malédiction s attaque à une psychiatre qui va du coup perdre pied et l ambiance de paranoïa et d oppression qui se met en place autour d elle (même si pour le coup cet aspect aurait gagné à être plus poussé). Dommage que le film ne s abaisse à utiliser quelques poncifs du genre et qu il ne soit pas plus méchant mais pour un premier film il y a déjà un certain savoir faire.
Ça faisait un petit moment qu'on avait pas eu l'honneur de découvrir un vrai bon film d'épouvante. C'est chose faite avec "Smile" qui sans révolutionner le genre réussit tout de même à innover un tant soit peu. Le scénario quoique plutôt classique dans son schéma narratif fait largement le job, bien aidé par une ambiance sonore de qualité et chose rare, la plupart des jump scares fonctionnent parfaitement. On regrettera simplement une actrice principale un rien agaçante et une longueur mal dosée, deux heures n'étaient en effet pas nécessaires pour faire le tour du sujet. Au final, un métrage horrifique réussi et un bon plaisir au visionnage, on en redemande !
Un bon début, intéressant, qui part vite en vrille, en Parano et en un peu trop paranormal, pour être vraiment cru et accepté. Au final, un film d'horreur moyen, voir pas mal, mais sans rien avoir d'exceptionnel, de plus ...
Un film "d'horreur" qui n'en n'es pas vraiment un, se focalisant surtout sur la descente dans la folie, le tout agrémenté de touches surnaturelles et quelques screamers. Le fait que le personnage principal soit psychiatre et soit confronté au même pathologies qu'elle est censée soigner apporte un peu d'attrait à un scénario plutôt convenue, bien que Gothika ait le même point de départ. Ensuite des films comme It follows, The ring, ont exactement le même schéma tactique, a savoir fragilisé psychologiquement son personnage principal avant d'en terminer, même l'excellent Jusqu'en enfer de Sam Raimi a le même postulat, rendre fou son héroïne auprès des autres avec des visons pour l'isoler mentalement . Bref ce Smile bien que pas complètement inintéressant n'apporte vraiment rien d'original qui n'ait pas déjà été fait ailleurs, ça se regarde mais c'est loin d'être transcendant.
Pour un premier long métrage, je trouve ça plus que réussi. Alors, bien sûr, les puristes pourront tirer à boulets rouges sur les nombreux emprunts aux classics du genre, mais il n'empêche que c'est bien fait. Il y a tellement de choses qui a été produit dans le style, qu'être original relève de l'exploit. Cependant, même si beaucoup a été fait, bien peu voir trop peu a été bien fait ! Smile est un bon mix entre "The ring", "Le témoin du mal", et un classic de la possession démoniaque. Parker Finn jongle assez bien et dans un bon rythme avec les scènes de scénario, les jump scare et les scènes d'angoisse. Car oui, ce film est angoissant. Une ambiance assez lourde s'installe tout au long du film, accentuée par une bande son minimale assez barrée et flippante. On ne peut passer à côté de la performance de Sosie Bacon, puisque tout le film repose sur ses épaules. Sa tombée dans la Psychose étant assez bien rendue à l'écran. Bien que l'intrigue soit assez réchauffée pour que l'histoire en devienne prévisible, la réalisation de qualité pourra vous faire passer outre les nombreux emprunts au genre, si vous arrivez à faire preuve d'indulgence bien sûr... On aurait peut être apprécié qu'il pousse le bouchon un peu plus loin, notamment sur les scènes où Rose se perd entre les visions et la réalité, mais je suis un grand gourmand et je ne lui en tiendrais pas rigueur. Parker Finn sans révolutionné le genre propose néanmoins une œuvre très efficace dans le style, et au milieu de toutes les productions ratées, il est plaisant de tomber sur un film qui arrivera tout de même à vous faire frissonner. A regardé absolument dans le noir et avec un son optimal. Bon film à tous !