Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Fort d’une tension parfois irrespirable et d’un malaise tenace, le film fabrique des visions de cauchemar terrifiantes, qui brouillent les repères et bousculent la perception.
Une salutaire sobriété (on ne succombe quasiment jamais aux facilités du jump scare et quand ça arrive, c’est parfaitement maîtrisé) et une exécution franche, en ligne pure, totalement premier degré, sans la moindre trace d’humour et encore moins d’ironie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette interprétation existentielle, doublée de la magistrale interprétation de Sosie Bacon de plus en plus traquée par elle-même, est d’autant plus plausible que Parker Finn réduit les espaces à l’essentiel, comme si l’on ne voyait plus dans chaque lieu (collectif, chez soi, chez d’autres) que son propre boîtier psychique.
Sous les avalanches d'artifices hollywoodiens et autres jump scares crétins survit un film d'épouvante méchant, plutôt malin et parfois franchement flippant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Son minimalisme narratif et formel est à saluer, à une époque où les récits ne cessent de bander les muscles et de perdre leur spectateur dans un labyrinthe de vaine intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Malgré tout, Smile cale dans la manière qu’il a d’exprimer son effroi, rédigeant son petit manuel des outils horrifiques : les jump scare vides de sens, la caution animal domestique sacrifié, les séquences à tiroirs de réalité…
20 Minutes
Ce thriller horrifique signé Parker Finn est diaboliquement efficace.
Le Journal du Dimanche
Fort d’une tension parfois irrespirable et d’un malaise tenace, le film fabrique des visions de cauchemar terrifiantes, qui brouillent les repères et bousculent la perception.
Le Parisien
Quelques saillies bien gore frappent la rétine, et on n’est pas près d’oublier la séquence d’anniversaire du neveu de l’héroïne !
Libération
Une salutaire sobriété (on ne succombe quasiment jamais aux facilités du jump scare et quand ça arrive, c’est parfaitement maîtrisé) et une exécution franche, en ligne pure, totalement premier degré, sans la moindre trace d’humour et encore moins d’ironie.
Positif
Cette interprétation existentielle, doublée de la magistrale interprétation de Sosie Bacon de plus en plus traquée par elle-même, est d’autant plus plausible que Parker Finn réduit les espaces à l’essentiel, comme si l’on ne voyait plus dans chaque lieu (collectif, chez soi, chez d’autres) que son propre boîtier psychique.
Ecran Large
Sous les avalanches d'artifices hollywoodiens et autres jump scares crétins survit un film d'épouvante méchant, plutôt malin et parfois franchement flippant.
Le Monde
Son minimalisme narratif et formel est à saluer, à une époque où les récits ne cessent de bander les muscles et de perdre leur spectateur dans un labyrinthe de vaine intelligence.
Mad Movies
Au scénario et à la réalisation, l'inconnu Parker Finn témoigne d'une qualité de plus en plus rare : la croyance sincère en son sujet.
Les Inrockuptibles
Malgré tout, Smile cale dans la manière qu’il a d’exprimer son effroi, rédigeant son petit manuel des outils horrifiques : les jump scare vides de sens, la caution animal domestique sacrifié, les séquences à tiroirs de réalité…
Le Figaro
Un petit film d'horreur pas bien méchant.